Tardif (1992) affirme que les trois catégories de connaissances portent respectivement sur les faits, les règles et les principes (déclaratives), le comment faire (procédurales), et le quand et pourquoi (conditionnelles).
Article détaillé : Anthropologie. Pour l'anthropologue, la première connaissance est celle que les hommes ont d'eux-mêmes et de leur environnement, et qui, dans les sociétés primitives, assure leur survie quotidienne. C'est aussi cette connaissance qui structure le groupe humain.
La connaissance humaine se situe sur deux plans ; le premier plan comprend celle qui est basée sur l'activité sensorielle et qui a son principe d'activité propre : l'esprit - « spiritus » ; le second plan comprend la connaissance intellectuelle à laquelle les sens ne participent plus directement et dont le principe est ...
La connaissance vulgaire ou ordinaire est produite tant par les médias, les professions, que par le public non spécialisé, en manifestant des propriétés conditionnées par son usage courant.
La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences.
La connaissance se cherche, se trouve, s'enseigne, s'acquiert : il s'agit d'une activité à la fois individuelle et collective. Une connaissance donnée est construite sur un ensemble de concepts.
La théorie de la connaissance s'intéresse à la transmission des savoirs d'un individu sachant vers un individu ou un collectif apte et volontaire pour apprendre.
Une base de connaissances n'est pas simplement un espace de stockage de données, mais peut être un outil d'intelligence artificielle pour prendre des décisions intelligentes. Diverses techniques de représentation des connaissances, notamment les cadres et les scripts, représentent les connaissances.
La meilleure connaissance est celle qui mène les hommes vers les hommes.
Spinoza y présente trois grands « genres de connaissance » : 1) la con- naissance par imagination, qui est inadéquate et se subdivise en connaissance par expérience vague et en connaissance par signes (ou par ouï-dire) ; 2) la connaissance par raison ou notions communes, qui est adéquate ; et 3) la science intuitive, ...
Si le ressouvenir des formes intelligibles constitue pour Platon la connaissance parfaite ou la science (ἐπιστήμη), il n'en demeure pas moins que dans la République Platon reconnaît divers niveaux ou degrés de connaissance : la connaissance sensible, la connaissance mathématique et la connaissance dialectique ou ...
La connaissance s'applique aux savoirs théoriques et techniques qui s'acquièrent par formation, expérience professionnelle ou extra-professionnelle. La compétence ajoute une dimension pratique, l'habileté de mise en œuvre des connaissances en une situation bien spécifique.
Ce qui est n'existe pas indépendamment de la pensée qui le perçoit. Le point de départ de la connaissance n'est donc pas tant, à proprement parler, l'expérience que ce dont nous faisons l'expérience, ce dont nous nous apercevons; le rapport à autre chose est toujours doublé d'un rapport à soi.
Selon Training Industry : “Les connaissances procédurales font référence aux connaissances nécessaires à l'exécution d'une activité ou d'une tâche spécifique”. Ce type de connaissances peut donc également être appelé “connaissances pratiques ou connaissances opérationnelles”.
Connaissance : Bachelard définissait la connaissance comme la réponse à une question. Cela signifie que la connaissance s'élabore par les scientifiques qui posent les bonnes questions, expérimentent et font des conclusions transmises à d'autres individus.
« La connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information. » — Albert Einstein.
L'objet de la connaissance constitue en quelque sorte une limite jamais atteinte. Par ailleurs, le sujet lui-même n'est pas donné une fois pour toutes. Il évolue au contact de la réalité, il élabore de nouveaux instruments de connaissance qui modifient, à des degrés divers, sa manière d'appréhender l'objet.
« Les connaissances déclaratives, procédurales et conditionnelles ».
La connaissance ne réside pas dans le contenu, elle réside dans la méthode par laquelle on accède à ce contenu. Dans le Ménon, Socrate illustre cette différence par une analogie : celle de deux hommes qui doivent se rendre à une même destination (Larisse, une ville située au nord d'Athènes).
Les limites constructives sont relatives à l'impossibilité de construire un discours scientifique qui échappe à tout doute et qui repose sur des fondements sûrs. Les limites prédictives montrent l'impossibilité de prévoir certains phénomènes avec une précision arbitraire sur une échelle de temps indéterminée.
Qui a dit : L'imagination est plus importante que la connaissance.
Connaissance désignerait l'acte psychologique (et pas seulement de la pensée) qui pose un objet en tant que distinct du sujet, avec l'impression de pénétrer et de « comprendre » cet objet de connaissance. Mais aussi le contenu de celle-ci (« les connaissances »).
Sur le plan sémantique, connaître, c'est avoir la connaissance de l'existence d'une chose, c'est l'identifier, la tenir pour réelle; tandis que savoir, c'est avoir une connaissance approfondie d'une chose qui résulte d'un apprentissage, c'est avoir dans l'esprit un ensemble d'idées et d'images constituant des ...