Déficit intellectuel léger : il correspond à un score de QI situé entre 50 et 69. Déficit intellectuel moyen : le score de QI est compris entre 35 et 49. Déficit intellectuel grave : le QI est situé entre 20 et 34. Déficit intellectuel profond : le QI est alors inférieur à 20.
La « déficience intellectuelle » est définie par un déficit de l'intelligence et des limitations du fonctionnement adaptatif apparaissant avant l'âge adulte.
La CIH (Classification Internationales des Handicaps) a été créée en 1980, à l'aide du modèle du Docteur Philip Wood qui définit le handicap en 3 points généraux : - La déficience psychologique, physiologique ou anatomique.
La loi du 11 février 2005 reconnaît différents types de handicap dont le handicap moteur, sensoriel (auditif et visuel), mental, cognitif et psychique.
Déficit intellectuel léger : il correspond à un score de QI situé entre 50 et 69. Déficit intellectuel moyen : le score de QI est compris entre 35 et 49. Déficit intellectuel grave : le QI est situé entre 20 et 34. Déficit intellectuel profond : le QI est alors inférieur à 20.
Le handicap mental
Appelé aussi déficience intellectuelle, il correspond selon l'OMS à "une capacité sensiblement réduite de comprendre une information nouvelle ou complexe, et d'apprendre et d'appliquer de nouvelles compétences (trouble de l'intelligence).
Les déficiences associées les plus fréquemment déclarées sont les déficiences viscérales et métaboliques (46 % de la population des déficients visuels), les déficiences motrices (43 %), les déficiences intellectuelles ou du psychisme (41 %) ainsi que les déficiences auditives (35 %).
Epilepsie, troubles moteurs, sensitifs, syndrome cérébelleux, des anomalies des paires crâniennes avec en particulier des troubles de l'odorat sont très classiques. Les déficiences cognitives sont de loin les plus fréquentes, elles sont responsables du « handicap invisible « des patients [6].
LA CLASSIFICATION INTERNATIONALE DES HANDICAPS
Pour décrire les maladies et leurs conséquences, Wood a proposé un modèle descriptif formé de quatre plans d'expérience. Les phénomènes morbides ou psychopathologiques se situent sur le plan de la maladie.
Le handicap psychique est la conséquence de maladies mentales (à ne pas confondre avec le handicap mental – voir plus loin –) entrainant un déficit relationnel, des difficultés de concentration, une grande variabilité dans la possibilité d'utilisation des capacités alors que la personne garde des facultés ...
Retard général de développement (ex. : motricité fine, communication et compréhension,…). Manque de stratégies cognitives dans la résolution de problèmes. Difficulté à percevoir, discriminer et encoder les stimuli pertinents. Difficulté à comprendre rapidement des informations nombreuses et complexes.
1 Le retard mental ou la déficience intellectuelle regroupe un ensemble de conditions très diverses dans lesquelles l'enfant ou l'adolescent a un fonctionnement intellectuel nettement inférieur à la moyenne, qui a débuté avant l'âge de 18 ans et qui limite son adaptation dans différents domaines importants.
La trisomie 21 est la plus fréquente des causes de déficience mentale et sa prévalence était de une pour 700 naissances dans les années 1990, avant le développement du diagnostic prénatal. Les études de séquençage récentes du chromosome 21 estiment à 329 le nombre de gènes portés par ce chromosome.
Critères diagnostiques
Des limitations significatives du fonctionnement intellectuel. Des limitations significatives du comportement adaptatif. Apparition de ces limitations durant la période développementale.
Le trouble du spectre de l'autisme (autisme) et la déficience intellectuelle sont tous deux des limitations fonctionnelles permanentes. Ces déficiences peuvent affecter tous les groupes, quels que soient leur race, ethnicité ou situation socioéconomique. Ce ne sont pas des maladies.
Le handicap mental ne se guérit pas, mais une action éducative, thérapeutique et pédagogique adaptée peut en réduire les conséquences et apporter à la personne qui en est atteinte la plus grande autonomie possible.
Exemples de maladies invalidantes : La sclérose en plaques, le sida, le diabète, l'hypertension artérielle, l'asthme, l'épilepsie, le cancer. La spondylarthrite est la forme classique d'un groupe de maladies regroupées sous le nom de spondylarthropathies.
Ce qui caractérise une personne handicapée est donc la gravité et la persistance dans le temps de son incapacité ainsi que les risques de rencontrer des obstacles dans son quotidien. Pour sa part, le terme « personne en situation de handicap » réfère au modèle conceptuel du processus de production du handicap.
Des causes variées
Il peut présenter des troubles émotionnels comme l'instabilité, l'excitation ou l'hyperémotivité. Les causes sont variées : accidents de la vie, problèmes neurologiques, anomalies chromosomiques ou maladies génétiques.
Considéré jusqu'à récemment en France comme une forme de psychose infantile, l'autisme est identifié à présent comme un handicap d'origine neuro biologique, se manifestant par des altérations de la communication et des interactions sociales, des comportements et centres d'intérêt restreints et répétitifs.
Symptômes & conséquences
Les difficultés ont un retentissement sur la motivation, l'autonomie et l'ouverture aux autres. Certaines personnes sont marquées par une grande fatigabilité, une somnolence, d'autres au contraire, par une agitation.
Le handicap mental (parfois appelé retard mental dans le langage courant) est un trouble généralisé perçu avant l'âge adulte, caractérisé par un déficit et un dysfonctionnement cognitif dans au moins deux fonctionnements adaptatifs.
Ainsi, maladies mentales, maladies psychiatriques, troubles mentaux, troubles psychiques sont des termes différents pour dire la même chose. Les maladies mentales sont actuellement classées par symptômes, en ne tenant pas compte du contexte d'émergence de ces symptômes.