Un trouble cognitif peut avoir diverses causes : vieillissement, traumatisme cérébral, maladie, etc. Lorsqu'elle est liée à l'âge, cette dégradation des capacités reste le plus souvent modérée et n'évolue pas fatalement vers la démence.
Le handicap cognitif est la conséquence de dysfonc- tionnements des fonctions cognitives1 : troubles de l'attention, de la mémoire, de l'adaptation au chan- gement, du langage, des identifications perceptives (gnosies) et des gestes (praxies).
Symptômes & conséquences
Les difficultés ont un retentissement sur la motivation, l'autonomie et l'ouverture aux autres. Certaines personnes sont marquées par une grande fatigabilité, une somnolence, d'autres au contraire, par une agitation.
étude des activités psychologiques supérieures (perception, attention, mémoire, langage, processus intellectuels).
Parlez lentement et calmement, avec des mots simples, des phrases courtes, une consigne à la fois, en accompagnant vos paroles de gestes pour faciliter leur compréhension; Soyez patient et ne lui coupez pas la parole brusquement. Aidez votre proche à terminer ses phrases.
Les principaux facteurs de risque de chutes observés chez les sujets ayant des troubles cognitifs sont les troubles de l'équilibre et de la marche, les anomalies de la vision, la malnutrition, les effets iatrogènes médicamenteux, la peur de tomber, l'instabilité neurocardiovasculaire (en particulier l'hypotension ...
Pour poser un diagnostic de démence, un professionnel de la santé devra faire plusieurs autres tests, comme des analyses de sang particulières, des IRM du cerveau (simples ou avec des substances radioactives selon le cas), ou une ponction lombaire avec dosage des protéines du liquide céphalo-rachidien.
Le test de l'horloge est utilisé pour la détection précoce et le suivi d'une démence. Sa publication originale par Shulman et al. date de 1993. [1] Il teste la visuoconstruction, la mémoire, la perception spatiale, les fonctions exécutives et la résolution de problèmes.
Comme l'ensemble du corps, le cerveau vieillit au fil des ans. On parle alors de vieillissement cérébral, auquel est associé le déclin cognitif. Nous commençons à perdre des neurones (les cellules cérébrales) très tôt, vers l'âge de 20 ans pour certaines fonctions.
Le vieillissement constitue l'un des principaux facteurs de risque des troubles cognitifs. S'ils peuvent être légers et n'altérer que superficiellement la mémoire des personnes âgées, ces troubles peuvent toutefois évoluer vers la perte d'autonomie et la démence. D'où l'importance d'une prise en charge précoce…
Les troubles cognitifs du déprimé se manifestent par un désintérêt, une lenteur à la prise de décision, des difficultés d'attention, de concentration et une perte de l'incitation à agir.
L'Académie américaine de neurologie recommande de pratiquer 150 minutes d'activité physique par semaine après 65 ans pour améliorer la mémoire.
La perte de mémoire, ou amnésie, peut se situer à différents niveaux : l'amnésie rétrograde caractérisée par l'oubli des souvenirs antérieurs au début de la maladie, c'est-à-dire des faits anciens ; l'amnésie antérograde se traduisant par l'oubli des événements au fur et à mesure qu'ils se présentent.
Le diagnostic du trouble cognitif s'effectue par son médecin, psychiatre ou neurologue. A l'aide d'examens du cerveau et des capacités du patient, ils sont les mieux à même de juger de la sévérité du trouble, et assurer un suivi régulier.
Le mieux reste encore d'être bienveillant, de montrer à votre proche le plus d'affection possible, de par vos mots, déjà, mais aussi avec des gestes tendres. Ainsi, il/elle comprendra que, malgré sa maladie, il/elle est toujours, à vos yeux, votre père, mère, conjoint.
Voici des médicaments qui peuvent aider avec les troubles cognitifs: stimulants pour améliorer la concentration et la mémoire. antidépresseurs, si les troubles cognitifs sont causés ou aggravés par la dépression. médicaments pour atténuer la somnolence si vous prenez des opioïdes contre la douleur, comme la morphine.
Il faut plutôt s'inquiéter quand l'entourage vous met en garde contre votre attitude : pertes de mémoires fréquentes et sur des sujets que vous maîtrisez habituellement, attitudes bizarres, rangements improbables, troubles du langage et de l'orientation dans des lieux que vous maîtrisez parfaitement jusqu'à présent.
Dans ce cas, le trouble peut servir à combler le besoin (les cris pouvant servir à remplir un mode intérieur devenu vide), à communiquer un besoin (les cris pouvant servir à communiquer une douleur physique ou une souffrance telle que la solitude, l'angoisse ou la dépression), ou à exprimer la frustration qui résulte ...
La mémoire est une fonction cognitive qui nous permet de saisir, stocker, puis rappeler des informations perçues. C'est facile à comprendre. Même si le mécanisme de la trace mnésique et de sa consolidation reste du domaine de la recherche.
sont les capacités de notre cerveau qui nous permettent notamment de communiquer, de percevoir notre environnement, de nous concentrer, de nous souvenir d'un événement ou d'accumuler des connaissances.
connaissance à partir de stimulations, d'expérimentations, de renforcements. Permettent l'accès à l'autonomie. Se déclinent en besoins : –de communication, –de considération (image de soi, dignité), –Idéologiques (valeurs), –de structures (les institutions).