Une étude très sérieuse de l'université de l'Oregon révèle qu'une molécule flavonoïde présente dans la bière augmenterait les capacités cognitives en stimulant les fonctions cérébrales. Cette même molécule miraculeuse pourrait réduire l'obésité, l'hypertension ou encore la sénilité.
Une consommation trop importante pourrait ainsi : Augmenter les risques de survenue de nombreux cancers, dont tous les cancers des voies digestives (bouche, œsophage, estomac, côlon …) et le cancer du sein. Favoriser la survenue de maladies cardiovasculaires. Être une des principales causes de cirrhose.
«Le National Institute on Alcohol Abuse and Alcoholism recommande aux femmes de ne pas consommer plus d'un verre par jour, et le double pour les hommes; soit une quantité qui dépasse le niveau de consommation associé dans notre étude à une diminution du volume cérébral», précise Henry Kranzler, chercheur en psychiatrie ...
D'autres études démontrent que la bière permet de réduire les risques de faire un AVC (accident vasculaire cérébral). Le xanthohumol, un antioxydant présent dans cet alcool, permet de diminuer le risque de contracter un cancer de la prostate. Enfin, la bière serait un meilleur antidouleur que le paracétamol.
Les cancers
L'alcool est un cancérigène avéré (groupe 1) classé comme tel depuis 1988 par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Le risque de développer certains cancers augmente à partir d'un verre d'alcool quotidien quel que soit l'alcool consommé qu'il s'agisse de vin, de bière ou d'alcool fort.
En effet, la levure qui entre dans la composition de cette boisson (alcoolisée ou non) assure une teneur en gaz carbonique. D'où la présence des petites bulles dans un verre ou une bouteille de bière. Le gaz carbonique dans l'organisme a pour effet de faire gonfler le ventre s'il est absorbé en excès.
La bière est bonne pour les reins et le cœur.
Une étude finlandaise a démontré que la bière élimine les dépôts de calcium au niveau des reins et donc diminue le risque de calculs rénaux. En facilitant le transit elle permet aussi une élimination plus rapide des calculs.
La bonne bière ne se déguste jamais trop froide. On évite par exemple de la servir glacée car le palais sera anesthésié par le froid et vous ne ressentirez aucune subtilité d'arômes et saveurs. Si votre bière sort du réfrigérateur, attendez entre 5 et 10 minutes avant dégustation pour qu'elle se réchauffe légèrement.
Les résultats d'une étude américaine publiée démontrent que l'alcool, et en particulier la bière, seraient impliqués dans le développement de la goutte, une maladie inflammatoire des articulations, et ce même lorsqu'ils sont consommés avec modération.
Consommation excessive de la bière : les effets sur le foie
Étant interrompue, la première conséquence est la formation d'un dépôt de graisse à l'intérieur des cellules hépatites, appelée stéatose. Si la consommation excessive persiste, il s'ensuit une destruction des cellules du foie.
La bière faciliterait les érections
Selon elle, et à raison d'une pinte par jour, cette quantité de fer stimulerait la production de globules rouges et leur circulation. Un phénomène qui faciliterait les érections, permettant ainsi l'augmentation de leur fréquence et leur durée.
Le vin, la bière et les spiritueux contribuent tous à un endormissement rapide (en termes plus techniques, ils "réduisent la latence d'endormissement") mais les experts sont unanimes: en buvant avant le coucher, on risque de se réveiller au milieu de la nuit et de dormir moins profondément.
Consommé en excès et sur au moins cinq ans, il peut par exemple engendrer de la rigidité artérielle. Cela fait en sorte que les artères perdent leur capacité à se dilater ou à se contracter en réaction aux fluctuations de pression sanguine, exerçant ainsi une pression indue sur le muscle cardiaque.
Outre la gueule de bois du lendemain matin, l'alcool peut affecter tant la santé physique que la santé mentale. À long terme, boire trop d'alcool peut augmenter le risque de cancer, de démence, de maladie cardiaque et d'accident vasculaire cérébral.
Ainsi, les buveurs modérés (un verre par jour pour une femme, un à deux pour un homme) auraient 25 à 45% de risques de moins de faire une attaque cardiaque. La bière favoriserait en effet le bon cholestérol, qui améliore la prévention des maladies cardiovasculaires.
La dose quotidienne maximale de bière à ne pas dépasser se situerait entre 300 et 450 millilitres pour les hommes et 300 millilitres pour les femmes, selon les résultats d'une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.
L'alcool détruit les nerfs, d'où l'état de fatigue
Mais la fatigue chronique apparaît surtout chez les buveurs invétérés, autrement dit les alcooliques. En effet, l'alcool attaque à la fois les neurones et les cellules du foie. Or ce sont les neurones qui stimulent le fonctionnement des muscles.
La consommation d'alcool, qu'elle soit occasionnelle ou régulière a tendance à fatiguer l'organisme, surtout que cela vous a rendu malade, votre corps est fatigué et a besoin de récupérer. Il est conseillé de boire de l'eau pour aider l'organisme à éliminer.
En versant sa bière dans un verre, on permet au gaz carbonique contenu dans le liquide de s'échapper. Ce processus permet aux arômes de la bière de se développer. Aussi, le collet de mousse permet la conservation de ses arômes.
Une bière se boit à "bonne température", soit entre 2° et 3°C pour les bières à fermentation basse comme les bières de tradition allemande (les Pils par exemple) et entre 6° et 8°C pour les bières à fermentation haute (comme les bières d'abbaye, les Triple, les Trappistes, les Ales, les Stouts).
Portez votre bière à la température recommandée sur la bouteille et servez-la dans un verre adapté à son style (préalablement rincé à l'eau froide et non séché). C'est important car cela lui permettra de libérer au mieux ses arômes et au col de mousse de se former correctement.
La bière est bonne pour le cœur
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
La bière est riche en vitamine B et en silicium, et ce sont des substances qui renforcent la santé des cheveux et stimulent leur croissance.
Une consommation régulière de bière est associée au risque de cancer de la prostate. Boire de la bière à tous les jours, sur une longue période, est associé à un risque d'être atteint d'un cancer de la prostate agressif, selon une étude menée auprès de 3927 hommes du grand Montréal.