Bouffées de chaleur, démangeaisons génitales, pertes blanches. Développement anormal de l'endomètre, pouvant se traduire par des saignements intermittents (voir Attention). Rarement : douleurs des seins, rétention d'eau, augmentation des triglycérides, pancréatite.
Si des effets secondaires se manifestent, ils peuvent le faire n'importe quand pendant l'hormonothérapie, tout de suite après ou quelques jours, voire quelques semaines plus tard. Il arrive que des effets secondaires apparaissent des mois ou des années à la suite de l'hormonothérapie (effets tardifs).
Le tamoxifène fait partie des traitements adjuvants du cancer du sein : on le propose après une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour réduire les risques de récidive du cancer en présence d'une tumeur hormono-dépendante.
Si la plupart des femmes peuvent supporter la prise de ce traitement, l'hormonothérapie entraîne des effets secondaires difficiles à vivre : bouffée de chaleur, fatigue, prise de poids...
Les traitements du cancer du sein font-ils vraiment grossir ? « Oui ! » répondent un grand nombre de lectrices d'Amoena Life. « Peut-être, » disent les experts. Par exemple, selon l'association britannique Cancer Research UK, moins de dix pour cent des femmes sous tamoxifène prendraient du poids.
Il conviendra plutôt de diminuer les apports énergétiques en favorisant les fruits et légumes et en limitant les aliments gras et sucrés. De plus, dans la mesure du possible, la pratique de 30 minutes d'activité physique quotidienne adaptée est conseillée.
Les médicaments utilisés pour une hormonothérapie du cancer du sein comprennent le tamoxifène (Nolvadex-D, Apo-Tamox) ainsi que les inhibiteurs de l'aromatase comme le létrozole (Femara), l'anastrozole (Arimidex) et l'exémestane (Aromasin). Ces médicaments peuvent causer une perte temporaire de poils et de cheveux.
la présence d'effets secondaires liés au traitement par Tamoxifène (douleurs articulaires et musculaires, fatigue) ; d'autres problèmes de santé ; l'absence de chimiothérapie lors du traitement du cancer du sein ; Le fait de vivre seule.
Prendre le médicament au coucher. Attention, si les bouffées de chaleur vous empêchent de dormir, prendre le médicament le matin. Ces effets s'atténuent en général avec le temps. Si ce symptôme persiste, en parler avec votre médecin.
Une étude menée par des médecins-chercheurs français montre que les femmes jeunes qui arrêtent leur hormonothérapie, traitement de référence des cancers du sein hormonodépendants, voient leurs risques de rechute et d'apparition de métastases se multiplier très rapidement.
Cette prolongation permet surtout une diminution du risque de cancer controlatéral (1,4% vs 3,2%), sans effet sur la SG et avec une augmentation des risques, notamment osseux. La diminution du risque de récidive à distance est faible (4,4% vs 5,5%) (12).
L'harpagophytum
Les douleurs articulaires font partie des effets secondaires de l'hormonothérapie les plus fréquents. L'harpagophytum possède des propriétés anti-inflammatoires reconnues. Il est préférable de prendre cette plante sous forme d'extraits secs, sous forme de gélules ou de comprimés.
Le traitement par hormonothérapie provoque chez 20 à 50 % des patientes des douleurs musculosquelettiques qui débutent le plus souvent durant les premiers mois de traitement. Elles peuvent s'atténuer en quelques semaines, voire quelques mois et cessent après le traitement.
Le cancer du sein touche chaque année près de 60 000 femmes en France et, dix ans après le premier diagnostic, 15 à 20 % de ces cancers récidivent. Parmi eux, les cancers du sein dits "triple négatif" sont les plus à risque.
Inconfort abdominal/pelvien, ballonnements. Les effets secondaires suivants sont très rares, contactez votre médecin s'ils surviennent : Douleur au bas-ventre sévère. Nausées, vomissements sévères. Troubles visuels Les grossesses multiples et la formation de kystes ovariens sont possibles.
Des effets secondaires peuvent se manifester n'importe quand pendant la radiothérapie, tout de suite après ou quelques jours voire quelques semaines plus tard. La plupart disparaissent habituellement de quelques semaines à 2 mois après le traitement.
Privilégiez les aliments bénéfiques à notre santé (fruits, légumes, féculents de préférence complets, poissons…) Limitez la consommation de produits sucrés, salés et gras. L'équilibre alimentaire ne se construit pas sur un repas ou une journée mais plutôt sur la semaine.
Exemestane (Aromasine™)
Sa prescription après 2 ou 3 ans de tamoxifène, est plus efficace que le tamoxifène seul pendant 5 ans en situation adjuvante et est considéré comme un traitement de première intention au stade métastatique. Il est actif à la dose d'un comprimé à 25 mg par jour.
Pour se motiver, on sait aussi qu'un exercice régulier d'endurance (marche nordique, vélo, rameur ou natation) en aérobie (il faut pouvoir parler et presque chanter) pratiqué au moins 30 minutes par jour réduit les récidives d'au moins 30 %.
La rechute est liée à une destruction incomplète des cellules cancéreuses lors du premier traitement. Ces cellules vont se multiplier et peuvent rester « dormantes » pendant des mois ou des années, ce qui explique les récidives tardives(2).
La fatigue est rarement due à un seul facteur. Il s'agit généralement d'une combinaison de facteurs associés à votre cancer ou son/ses traitements.
L'hormonothérapie est un traitement efficace dans la lutte contre le cancer du sein hormonodépendant, bien que certaines patientes tendent à la refuser par crainte de ses effets secondaires, parfois lourds et irréversibles.
Contrairement à la chimiothérapie ou à la radiothérapie, qui cherchent à tuer rapidement les cellules cancéreuses, l'hormonothérapie vise à entraîner leur mort à plus long terme en créant un milieu hormonal qui leur est défavorable.
Les médicaments à base de Minoxidil freinent la chute des cheveux et stimulent leur croissance. Il peut convenir tout autant aux femmes qu'aux hommes touchés par la calvitie. Posologie : Proposé sous forme liquide, le Minoxidil s'applique 1 à 2 fois par jour sur les parties dégarnis du cuir chevelu.