Comme tout vaccin, celui pour prévenir l'infection contre le virus Monkeypox (variole du singe) peut comporter des effets secondaires légers (douleurs autour du point d'injection, ou gonflements, maux de tête, douleurs musculaires ou nausées le plus fréquemment) qui disparaissent rapidement après l'injection.
La vaccination antivariolique n'est plus obligatoire depuis 1979. Cela est dû à l'éradication de la maladie.
Les doses de rappel doivent être administrées tous les dix ans au personnel de laboratoire pour lequel le risque d'exposition est continu.
Les vaccins utilisés
La vaccination contre la variole a pris fin en France et dans l'ensemble de l'Union européenne en 1984.
La variole est une maladie très contagieuse et mortelle provoquée par le virus de la variole. Cette maladie est maintenant considérée comme éradiquée. Il n'y a pas eu de cas de variole signalé depuis 1977. La contamination se fait par inhalation de l'air exhalé ou des expectorations émanant d'une personne infectée.
La variole présente d'abord des symptômes semblables à ceux de la grippe (forte fièvre, fatigue, maux de tête, maux de dos). Des douleurs abdominales et des vomissements peuvent également survenir. Les symptômes apparaissent habituellement entre 7 et 19 jours à la suite de l'exposition au virus.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
L'utilisation des vaccins antivarioliques est recommandée par la Haute autorité de santé (HAS) dans la mesure où les vaccins contre la variole ont une efficacité contre les orthopoxvirus dont le virus Monkeypox.
La variole existait sous 2 formes : la variole majeure et la variole mineure. Plus de 90% des cas de varioles étaient caractéristiques excepté la forme hémorragique et la forme maligne. La mortalité de la variole majeure était de plus de 30 % alors que celle de la mineure ne dépassait pas 1%.
Louis XVI et l'inoculation de la variole : quatre bulletins de santé royaux (24, 25, 26 et 29 juin 1774)
Selon les experts, le vaccin peut aider à protéger les personnes s'il est administré avant l'exposition au virus, et réduire le risque d'infection ou de maladie grave s'il est administré rapidement après une exposition.
si vous avez été vacciné dans l'enfance contre la variole avant 1980 : vous devez recevoir une seule dose de vaccin contre la variole du singe, sauf pour les personnes immunodéprimées (3 doses). pour les enfants cas contacts de moins de 18 ans, la vaccination doit être envisagée au cas par cas.
Le 11 octobre 2022 la HAS a complété ses recommandations : la vaccination préventive doit aussi être proposée aux femmes vivant avec un homme ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) à très haut risque d'exposition au virus (HSH et personnes trans rapportant des partenaires sexuels multiples, personnes en ...
Aucun médicament spécifique n'a été testé cliniquement pour améliorer la santé des patients atteints de la variole, car la maladie a été éradiquée. Les antibiotiques ne sont d'aucune efficacité contre les virus et les antiviraux n'ont pas été testés.
- Le virus de la variole est aujourd'hui conservé au centre de contrôle des maladies d'Atlanta (Etats-Unis) et dans un centre de recherche russe, à Novossibirsk. La France n'en dispose plus depuis l'an dernier, mais il n'est pas exclu que certains pays aient conservé la souche.
Administration du vaccin contre la variole
La vaccination est réussie si une petite boursouflure apparaît après environ 7 jours. Dans le cas contraire, la personne reçoit une autre dose.
Le vaccin a été fabriqué à l'origine à partir de lésions cutanées de vaches inoculées par la vaccine (ou cowpox en anglais). La pulpe vaccinale ainsi obtenue, broyée et tamisée, était inoculée par scarification cutanée aux patients.
Une petite cicatrice peut demeurer après la guérison, qui peut prendre de 2 à 5 mois. Le vaccin BCG provoque souvent une enflure du ganglion lymphatique qui se trouve sous l'aisselle ou au-dessus de la clavicule – il s'agit d'une réponse immunitaire tout à fait normale.
Cela semble être le cas pour la déficience en ribose-5-phosphate isomerase, une maladie métabolique pour laquelle le seul patient connu est né en 1984, ce qui en fait virtuellement « la maladie la plus rare ».
Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
La bactérie, un staphylocoque blanc dont le nom savant est Staphylococcus epidermidis, est apparentée au staphylocoque doré (Staphylococcus aureus) résistant à l'antibiotique méticilline (le SARM) plus connu et plus mortel. La bactérie S. epidermidis est naturellement présente sur la peau.
Dans la plupart des cas, si vous avez déjà eu la varicelle une fois, vous ne l'aurez plus. C'est ce qu'on appelle l'immunité permanente. Toutefois, dans de rares cas, une personne peut l'attraper une deuxième fois, surtout si elle était très jeune lorsqu'elle l'a eue la première fois.
La variole est une maladie extrêmement contagieuse due au virus de la variole, un orthopoxvirus. La mortalité est d'environ 30%. L'infection naturelle a été éradiquée.
Toutefois, dans les cas de varicelle, les lésions sont surtout concentrées sur le tronc, alors que les éruptions dues à la variole sont davantage présentes sur le visage, sur les bras et sur les jambes. Les symptômes de la variole sont beaucoup plus importants (par ex.
? Vaccination contre la variole du singe
Une vaccination avec un vaccin de 3e génération peut être proposée aux personnes identifiées comme contacts à risque, ainsi qu'aux professionnels de santé exposés au risque sans mesure de protection individuelle.