Les impacts environnementaux de l'industrie de la mode ont de multiples visages, mais on peut citer les suivants : Les émissions de gaz à effet de serre : le secteur est responsable de l'émission de 2% des gaz à effet de serre à l'échelle mondiale.
La mode permet de rassembler des individus qui vont aller vers les mêmes désirs ou faire les mêmes choix. Elle véhicule des valeurs comme le changement, l'éphémère, le nouveau, le moderne, le dernier cri, l'original, le fortement médiatisé, l'élitisme, le luxe…
Cette industrie de la mode génère des tonnes et des tonnes de tissu jetées, brûlées ou déversées dans des décharges. Pas moins de 73 % des matériaux entrant dans la fabrication des textiles finissent leur vie dans des décharges ou sont incinérés.
En résumé, l'industrie de la mode : Émet, selon différentes sources, entre 2% et 10% des émissions mondiales de CO2 (un gaz à effet de serre qui aggrave le changement climatique) Pollue l'environnement → la teinture des textiles est la 2e plus grosse source de pollution de l'eau au monde.
Climat et environnement : des victimes de la mode
Selon l'Ademe, en 2050, le secteur textile émettrait même 26 % des émissions globales de gaz à effet de serre si les tendances actuelles de consommation se poursuivaient.
Puisqu'elle met en œuvre le volume, la matière, la couleur etc..., la mode peut-être définie comme un art. Elle s'adresse à nos sens, nos émotions, notre intellect. Elle nous inspire, crée une atmosphère et peut jouer sur notre état d'esprit.
Historiquement, la mode est liée à une volonté de différenciation entre les classes sociales. Lorsque les plus riches souhaitaient démontrer leur puissance politique, économique et sociale, les vêtements et accessoires constituaient alors un véritable principe d'affirmation.
Le secteur de la mode emploie 75 millions de personnes à travers le monde. L'industrie du textile dite « jetable » a des conséquences sociales : exploitation des enfants, des femmes, salaires précaires et conditions de travail indécentes.
Manière de vivre, de se comporter, propre à une époque, à un pays : Se conformer à la mode de chez nous. 2. Manière passagère de se conduire, de penser, considérée comme de bon ton dans un milieu, à un moment donné : La mode des vacances à la ferme. La mode des cheveux courts.
La fast fashion est loin d'être sans conséquences pour la Planète. On estime aujourd'hui que l'industrie du textile figure parmi les industries les plus polluantes et est responsable de 4% des émissions de Gaz à Effet de Serre soit plus que les vols internationaux et le trafic maritime réunis.
Quel est l'impact de la mode sur les jeunes ? La mode vestimentaire est un moyen pour les adolescents d'exprimer leur statut social, de rejoindre une communauté ou d'appartenir à un groupe. L'adolescent tente de démontrer sa personnalité ou de l'extérioriser à travers son style vestimentaire.
UN FACTEUR D'INTEGRATION. Facteur d'intégration, les marques peuvent intégrer mais aussi exclure les adolescents de leur groupe social, c'est en effet un facteur important pour s'intégrer dans un groupe de pair (ensemble formé par des individus dont le statut social est identique).
Influencés par les professionnels de la mode et les publicitaires, qui savent parfaitement comment jouer sur nos désirs et comment nous rendre un vêtement absolument indispensable. Ils nous raconte une histoire à travers des vêtements, ils savent comment associer des émotions à une image, à un look.
La mode a un impact sur l'environnement en termes d'émissions de CO2 et est également responsable de 35% des microfibres plastiques rejetées dans les océans et de 20% de la pollution industrielle des eaux (3).
Le Moyen âge, date des premiers phénomènes de mode
Les apparences vestimentaires au début du XIIème siècle étaient devenues un signe de rang social. Ce fut le cas en France et en Italie. La révolution vestimentaire avait fait qu'au XIVème siècle, on osait commencer à porter des vêtements sans l'armure.
La mode : une activité commerciale
Certains créateurs voient d'abord dans la mode son aspect commercial. Ainsi, Rei Kawakubo, Miucca Prada ou encore Karl Lagerfeld défendent l'idée que la mode n'est pas de l'art, même si celle-ci est créative et inspirée. Cependant, certains jouent sur l'ambiguïté.
La fast fashion détruit l'environnement
En 2050, le secteur textile émettrait même 26 % des émissions globales de gaz à effet de serre si les tendances actuelles de consommation se poursuivent (source : ADEME). Le textile est donc le troisième secteur le plus consommateur d'eau dans le monde.
Elle représente environ 1/3 de la pollution microplastique (des particules de plastique inférieures à 5 millimètres) des océans. Elle entraîne aussi un énorme gaspillage qui se produit aussi bien avant l'achat (15% du tissu d'un vêtement serait gâché pendant sa fabrication) qu'après l'achat.
Au rayon des tendances, la mode automne hiver 2022-2023 mélange des bons basiques revisités et des petites nouveautés. Au programme, on retrouve des imprimés forts comme le pied de poule ou les carreaux qui s'invitent sur les vestes, les pantalons, les jupes et même les accessoires de mode.
4) Pourquoi suit-on la mode ? - pour se distinguer des autres ; donc signaler son originalité personnelle, signaler ses refus, ses rejets sociaux, politiques, et, en même temps : - par conformisme, parce qu'on n'a pas de personnalité propre, et qu'il est plus simple de suivre ce que d'autres ont pensé à notre place.
Selon plusieurs experts, 20% de la pollution de l'eau industrielle dans le monde est due au traitement et à la teinture des textiles. Cela fait de l'industrie de la mode l'une des plus polluante pour l'eau. Enfin, l'industrie de la mode est aussi l'une de celle qui utilise le plus d'électricité dans le monde.