L'Afrique perd 4 millions d'hectares de forêts par an, soit deux fois plus que la moyenne mondiale. Si la déforestation peut permettre d'augmenter les surfaces arables, la productivité qui en résulte n'est pas durable, du fait de l'épuisement des sols qui perdent leurs substances nutritives.
Ils couvrent l'intégralité des enjeux du développement durable tels que le climat, la biodiversité, l'énergie, l'eau mais aussi la pauvreté, l'égalité des genres, la prospérité économique ou encore la paix, l'agriculture, l'éducation...
L'Afrique subsaharienne sera la région du monde où la croissance sera la plus lente en 2021. La région devrait connaître une croissance de 3,4 %, portée par la reprise de l'économie mondiale, l'augmentation des échanges commerciaux, la hausse des prix des produits de base et un retour des entrées de capitaux.
De nombreux défis se posent avec acuité à l'Afrique, notamment la croissance démographique, les défis environnementaux, les défis politiques ainsi que la mise en place du développement durable.
La bonne gouvernance est la solution aux problèmes du continent africain. Les défis en matière de paix et de sécurité traduisent surtout des problèmes de gouvernance, tels la gestion des élections. Même les problèmes liés au terrorisme, à la gestion de la diversité, au développement ont trait à la gouvernance.
1) Pourquoi l'Afrique refuse-t-elle de se développer ? Son constat est clair : le sous-développement africain commence par le sous-développement de la perception de soi et du monde extérieur, par l'immobilisme des mentalités et se perpétue par le retour des Africains lettrés aux valeurs du terroir, sans condition.
La mauvaise gouvernance freine le développement en Afrique.
Les dirigeants africains ont approuvé un programme décennal de production et de consommation durable pour favoriser une utilisation plus efficace des ressources énergétiques. Selon l'Organisation mondiale du tourisme, quelque 7,7 millions de personnes travaillent dans les secteurs du tourisme et des voyages en Afrique.
Commerce international.
Le commerce reste le principal outil dont l'Afrique dispose pour participer et s'in- tégrer pleinement à l'économie mondiale. Cependant, son offre est concentrée sur un nombre limité de produits de base pour lesquels sa part de marché diminue.
Nouvelles technologies et Internet constituent la première courroie de transmission de la mondialisation et de l'intégration en Afrique. Ils facilitent la transmission de l'information, et les échanges d'idées à l'échelle planétaire. C'est l'aire du « travail sans frontière », disent les africains.
En conséquence, cette mesure pourrait nuire gravement à la croissance économique et rendre presque impossible l'effort visant à mettre fin à l'extrême pauvreté. Selon la CEA, le COVID-19 pourrait faire chuter les recettes d'exportation de combustibles de l'Afrique à environ 101 milliards de dollars en 2020.
Une liste des enjeux du développement durable
Changements climatiques et atmosphériques. Biodiversité et écosystèmes. Transition agricole et alimentaire. Transition énergétique.
Elles répondent aux objectifs généraux suivants : éradiquer la pauvreté sous toutes ses formes et dans tous les pays, protéger la planète et garantir la prospérité pour tous (voir : trois piliers du développement durable).
Le projet territorial de l'Agglo doit répondre aux cinq finalités de développement durable suivantes : Lutter contre le changement climatique. Préserver la biodiversité, protéger les milieux et les ressources. Assurer une cohésion sociale et une solidarité entre les territoires et les générations.
35Par ailleurs, la lente croissance économique, l'instabilité, le sous-emploi, les inégalités, la monoproduction, la dépendance économique et politique sont des facteurs qui caractérisent le sous-développement africain ; mais ce ne sont pas des déviations du modèle idéal, celui des pays industrialisés.
Les trois piliers du développement durable qui sont traditionnellement utilisés pour le définir sont donc : l'économie, le social et l'environnement.
Ces organismes sont la Banque africaine de développement, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le Fonds international de développement agricole (FIDA) et la Banque mondiale.
L'un des principaux atouts du continent africain reste ses nombreuses ressources naturelles. L'Afrique possède un des sous-sol les plus riches du monde : on y trouve de l'or, des diamants, du charbon, du gaz naturel, du fer, de l'uranium ou encore de la bauxite.
Des facteurs géographiques peuvent également expliquer le sous-développement : l'aspect massif du continent africain, le caractère peu propice à la navigation de côtes rectilignes empêchant l'échange, à la différence des conditions favorables trouvées en Méditerranée par les Phéniciens ou les Grecs.
La formulation d'un modèle économique rénové et original est une nécessité pour le continent africain. Le modèle post-colonial de développement, frappé du triple sceau de l'extraversion, du mimétisme et de la non-appropriation sociale a vécu.
L'enjeu est à la fois économique, social et sociétal. Aujourd'hui, la période est propice au développement des entreprises en Afrique, car les ressources naturelles dont nous disposons sont encore largement inexploitées.
Une organisation politique : monarchie, oligarchie, république, théocratie, tyrannie, démocratie… -Une forme de société par exemple, nobles, chevaliers, plèbe, esclaves…