L'insuffisance rénale chronique est toujours la conséquence d'une maladie qui détériore progressivement le fonctionnement des reins. En France, les deux causes principales de l'insuffisance rénale chronique sont le diabète de type 1 comme le diabète de type 2 et l'hypertension artérielle.
"Le rein fabrique moins d'EPO (érythropoïétine) et donc moins de globules rouges, ce qui provoque une anémie, un essoufflement, une fatigue".
Le citron accélère la formation de calculs
Dans les reins, le danger provient de l'oxalate présent dans le zeste du citron. L'oxalate, en quantité trop importante, a un effet antioxydant sur les tissus du corps.
Des chercheurs ont découvert un lien entre pathologies rénales et importante consommation de viande rouge. D'autres sources de protéines seraient donc à privilégier, telles que la viande de volaille ou le poisson.
La carotte est diurétique
Grâce à sa richesse en potassium, la carotte est un légume que l'on classe dans la catégorie des diurétiques naturels. A ce titre, elle est idéale pour drainer le foie, nettoyer les reins, lutter contre la rétention d'eau et les calculs rénaux.
Boire beaucoup d'eau, 1 L et demi par jour, eau de source la plus pure possible (extrait sec à 180° le plus bas possible, autour de 20, c'est indiqué sur toutes les étiquettes). Faire des tisanes de plantes comme la verge d'or, la busserole, l'ortie qui sont diurétiques.
Le est bon pour le foie et les reins.
Deux tests sont utilisés pour vérifier la présence ou non d'une maladie du rein. Un test sanguin vérifie votre DFG (votre débit de filtration glomérulaire), qui explique comment vos reins effectuent le filtrage. Un test de l'urine, pour vérifier l'albumine dans le urine, un signe de lésions rénales.
L'hydratation. Les reins servent à trier les déchets et les toxines présents dans le sang. Pour aider les reins, il faut les drainer, or, le meilleur moyen de favoriser ce drainage est de boire de l'eau. Pour rester hydraté, il faut boire 6 à 9 verres d'eau en dehors des repas.
Les résultats montrent que les consommateurs de café auraient une diminution du risque de maladie rénale chronique (débit de filtration glomérulaire estimé (DFGé) <60mL/min/1,73m2) par rapport à ceux qui n'en consommaient pas.
Il est donc recommandé de limiter la consommation de fruits et légumes riches en potassium comme la banane, l'orange, les pruneaux, les pommes de terre, les tomates, l'avocat, etc.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.
Il soulage les infections urinaires
Pour prévenir les infections, on leur conseille de boire beaucoup d'eau et de consommer des aliments diurétiques comme le poireau. Ce légume, sous forme de bouillon par exemple, aide à éliminer l'acide urique. Il est excellent pour les reins et le foie.
La consommation de produits laitiers, en particulier de ceux allégés en matières grasses, est associée à une diminution du risque de développer la maladie rénale chronique.
Quel type d'eau ? Plate ou gazeuse, peu importe. Peu minéralisée (type Evian®, Volvic®, Cristaline®, Mont Roucous®) si l'alimentation est bien équilibrée par ailleurs. Riche en calcium (Contrex®, Hépar®, Courmayeur®) si la consommation de produits laitiers est trop faible (moins de 2 à 3 par jour).
Protéines – Selon le stade de votre maladie rénale, vous devrez peut-être limiter l'apport en protéines, ou au contraire en consommer davantage. Parmi les sources de protéines au petit-déjeuner : 100 g de yogourt, ¼ tasse de fromage cottage, 1-2 œufs, 1 c. à soupe de beurre d'arachides.
L'eau est la meilleure boisson pour la santé des reins. La recommandation officielle est de boire de 1,5 à 2 litres par jour. C'est l'équivalent de 8 verres d'eau par jour.
La vitamine D active agit directement sur l'augmentation de l'absorption intestinale et la réabsorption tubulaire rénale de calcium, augmente la résorption osseuse et inhibe la sécrétion de PTH. Un déficit prolongé en vitamine D est la cause du rachitisme chez l'enfant et de l'ostéomalacie chez l'adulte.