Nous distinguons trois facteurs qui influencent le comportement des personnes : Les talents intrinsèques. Les compétences et capacités acquises avec le temps. L'environnement dans lequel se trouve la personne.
Les facteurs d'influence ne sont pas nécessairement négatifs ou positifs intrinsèquement : ils doivent être considérés au regard de chaque habitat / espèce / fonctionnalité afin de voir dans quel sens ils l'influencent le cas échéant (une pression potentielle identifiée n'exerce pas obligatoirement d'influence).
Les déterminants de la personnalité sont à la fois génétiques, biologiques, et environnementaux. En effet, la différenciation du tempérament, qui serait en grande partie héritée, en personnalité stable et cohérente, se fait en interaction avec l'environnement.
Les comportements sont de différents types : publics, privés, innés, acquis, associatifs.
Tous les changements de personnalité et de comportement ne sont pas dus à des troubles mentaux. Ils peuvent également être causés par des drogues (notamment en cas de sevrage ou d'effets secondaires), des troubles qui touchent principalement le cerveau ou des troubles systémiques affectant le cerveau.
On dit qu'une personne est lunatique lorsqu'elle change brusquement et fréquemment d'humeur et de caractère. Il faut néanmoins distinguer ce comportement en dents de scie (sautes d'humeur) des véritables troubles bipolaires (ex-troubles maniaco-dépressifs) qui sont des troubles psychiatriques reconnus.
Il existe une très forte interaction entre le comportement et la pensée. S'il est évident que la pensée influence le comportement, l'on sait aujourd'hui que le comportement influence de façon certaine la pensée. Les techniques de manipulation les plus efficaces sont basées sur ce principe, baptisé congruence.
Le comportement de l'individu est ainsi influencé par sa personnalité, ses émotions et la perception de son environnement (1), mais il est aussi déterminé par une prédisposition à agir: l'attitude (2).
Repérez la colère dans une mâchoire crispée ou des lèvres retroussées. Le langage corporel est tout aussi négatif si la personne croise soudain les bras et les jambes ou détourne le regard. Observez le regard. La personne peut vous mentir si elle évite de croiser votre regard ou si elle vous fixe trop intensément.
Les auteurs mettent donc en évidence deux types d'influence : L'influence normative qui existe pour ne pas ternir son image auprès d'autrui ou envers soi-même. L'influence informationnelle qui dit que la majorité a raison.
Une étude de la Nothwestern University classe les personnalités selon quatre grands types : "réservé", "égocentrique", "moyen" et "modèle".
Concrètement, si vous souhaitez influencer les comportements d'une personne, l'idée d'utiliser l'autorité ou la persuasion pourrait vous venir à l'esprit. Seulement si l'autorité est efficace pour changer un comportement, il suffit que le radar soit passé pour que la vitesse ré-augmente aussi tôt.
«Un environnement bien aménagé favorise les bons comportements chez l'enfant, car il répond à ses besoins. De plus, il aide l'enfant à évoluer dans les différentes sphères de son développement (cognitif, physique, social, émotif et affectif), dans le respect de son unicité».
Chaque jour, nos comportements sont influencés par les normes sociales qui nous entourent. En agissant selon les normes sociales, l'individu agit en conformité avec les comportements les plus consensuels et ainsi reçoit de l'approbation de son groupe.
QUELLE EST LA DÉFINITION DE CES FACTEURS? Ces facteurs correspondent aux caractéristiques psychologiques qui peuvent mener à un niveau de jeu préjudiciable, tels les traits de personnalité, les styles d'adaptation, la perception de soi, les croyances sur le jeu et la présence de troubles de santé mentale.
Trouvez une distraction. Essayez d'exprimer à l'écrit ce qui vous met en colère. L'écriture peut aider à contrôler la colère et à éviter les réactions violentes. Tapez ou criez dans un oreiller lorsque vous êtes seul.
Ils comprennent l'agitation, l'agressivité, l'inhibition, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC), les phobies, les désordres alimentaires (anorexie, boulimie…), l'hyperactivité, les addictions à l'alcool, au tabac, à la drogue, au jeu, au travail, au sexe, à Internet…
Objectifs de la conduite du changement :
anticiper et de réduire les facteurs de rejet des collaborateurs, réduire les coûts et le temps liés à une transition, favoriser l'esprit collaboratif au sein de l'entreprise, etc.
La conduite du changement doit disposer de moyens suffisants pour exister, mais le but est d'obtenir des résultats. La conduite du changement permet d'accompagner les collaborateurs et de leur faire accepter le changement, lorsqu'un ou plusieurs projet(s) créent une rupture dans leurs pratiques habituelles.