Sur le plan économique, la démarche RSE impacte la stratégie managériale puisqu'elle participe à l'anticipation des risques, à l'amélioration de l'efficacité et à l'optimisation des coûts. Elle est un vecteur de pérennisation de l'activité de l'entreprise, sur le moyen et long terme.
Alors que les entreprises ont de plus en plus de mal à recruter et à garder leurs collaborateurs, la RSE peut être une aide précieuse. En travaillant sur la qualité de vie au travail, sur la non-discrimination de leurs salariés, sur l'égalité hommes-femmes… elles améliorent l'accueil de leurs collaborateurs.
En conclusion, la RSE et la digitalisation offrent tous deux des avantages et des inconvénients pour une entreprise. La RSE peut améliorer la réputation, l'engagement des employés et la gestion des risques, mais elle peut également impliquer des coûts supplémentaires et des défis de conformité.
La RSE est donc un vecteur de marque employeur. Elle favorise la fierté d'appartenance. La démarche contribue également à l'amélioration des conditions de travail. Intégrer les principes de Responsabilité Sociétale au centre de la stratégie et des pratiques de l'entreprise est donc un gage de pérennité.
La contribution au développement local ; Les relations et conditions de travail ; Les bonnes pratiques des affaires ; La protection des consommateurs.
La Responsabilité sociétale des entreprises a pour objectif principal de développer la qualité de vie des salariés et des interlocuteurs de chaque entreprise.
Ces 3 piliers RSE sont : économique, social et environnemental. C'est sur ces axes que la stratégie de développement durable d'une entreprise va se baser et à partir desquels les plans d'action vont être créés.
Les principaux risques encourus par une entreprise qui se lance dans la mise en place d'une démarche RSE peuvent être : un risque juridique, puisque certains engagements peuvent mettre votre entreprise ou un salarié à mal vis-à-vis de la loi, des autorités administratives, du droit du travail ou du droit des affaires.
Absence de normes et de régulations
Manque de clarté : les entreprises peuvent avoir du mal à savoir quelle est la bonne approche à adopter en l'absence de normes claires. Cela peut les empêcher de mettre en place des pratiques RSE solides et efficaces.
la lutte contre l'exclusion sociale ; le respect des droits humains ; l'octroi de bonnes conditions de travail et l'amélioration du bien être des salariés (formations, communication, qualité de vie au travail…) ; le renforcement de l'égalité des chances et de la diversité.
La RSE devrait, dans un avenir plus ou moins proche, tendre vers un renforcement de la gestion des données détenues par les entreprises en incitant ces dernières à former aux enjeux du numérique les dirigeants, salariés et autres acteurs de l'entreprise.
L'exercice permettant d'identifier vos enjeux RSE consiste à conduire une analyse de matérialité. Autrement dit, il s'agit de faire ressortir les enjeux « matériels » (pertinents) pour l'entreprise. Dans un second temps, ces enjeux sont croisés avec les attentes des parties prenantes internes et externes.
La RSE permet également d'améliorer la marque employeur, d'attirer les talents, de renforcer l'engagement et l'adhésion des collaborateurs et de réduire le turn-over et le taux d'absentéisme ; …
S'agissant des outils, ils se rassemblent autour des 3 piliers RSE : social, environnemental et économique. Certains agissent sur plusieurs piliers, les outils multidimensionnels, d'autres se concentrent sur un seul pilier, les outils unidimensionnels.
Quels sont les 3 piliers de la RSE ? La responsabilité sociale des entreprises est un concept large qui peut prendre de nombreuses formes selon l'entreprise et le secteur d'activité. La RSE est souvent divisée en 3 catégories : les impacts environnementaux, la responsabilité sociale et les responsabilités économiques.
En d'autres termes, la RSE c'est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Une entreprise qui pratique la RSE va donc chercher à avoir un impact positif sur la société tout en étant économiquement viable.
Le référentiel a deux objectifs principaux : Accompagner les entreprises de la filière logistique dans une démarche de responsabilité sociétale, et tout particulièrement les TPE, PME et ETI.
Cette loi PACTE rend obligatoire pour toutes les entreprises la prise en « considération des enjeux sociétaux et environnementaux de son activité » (Article 1833 du Code Civil).
L'absence de définition collective claire de la « responsabilité » de l'entreprise. Voilà le fond du problème, la raison pour laquelle la RSE ne fonctionne pas. C'est que nous n'avons jamais défini collectivement ce qu'était la « responsabilité » de l'entreprise.
Les actions RSE sur le plan économique
soutenir l'économie locale en faisant appel à des partenaires locaux (fournisseurs, transporteurs…) acheter local et faire appel aux circuits courts, acheter responsable en se tournant vers des produits et des fournisseurs respectueux de l'environnement.
Reporting RSE : qui est concerné par l'obligation ? Les SA sont les principales sociétés concernées dès lors que leur total bilan ou CA et leur effectif dépassent les seuils suivants : 20 millions d'€ de bilan ou 40 millions d'€ de CA et 500 personnes pour les sociétés cotées.
Comment analyser la RSE d'une entreprise ? L'analyse de la RSE d'une structure passe par un diagnostic RSE. Cela consiste, dans un premier temps, à mesurer le niveau de maturité de l'entreprise en matière de RSE. Effectivement, évaluer et suivre la progression de vos actions est crucial pour s'assurer de son évolution.