Les impacts environnementaux négatifs sont les altérations de l'environnement qui nuisent à la fois à l'environnement naturel et à la santé humaine.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
L'impact des facteurs environnementaux en chiffres
La pollution de l'air ambiant est un des facteurs pour lesquels l'impact est le plus connu. Ainsi, Santé Publique France attribue à la pollution aux particules fines 40 000 décès et 7 000 aux oxydes d'azote chaque année dans l'hexagone.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, « la pollution atmosphérique représente désormais le plus grand risque sanitaire environnemental au monde. » En effet, elle est responsable d'environ 3,7 millions de morts chaque année (selon une étude de 2012).
L'élevage plus polluant que l'aviation
On y découvre qu'en 2019, l'agriculture était le deuxième poste d'émissions de GES du pays, représentant à elle seule "19% du total national", soit 83,1 mégatonnes d'équivalent CO2. Et la quasi-majorité d'entre elles proviennent de l'élevage (48%).
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
En français, l'impact correspond souvent aux effets négatifs d'une action, d'un évènement, d'une construction ou d'un changement de contexte : impacts environnementaux (effets sur les écosystèmes, les services écosystémiques, les espèces, etc. ), impacts sanitaires (effets sur la santé), impacts psychosociaux, impacts ...
Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de ...
Voici quelques exemples de la dégradation ou de la destruction d'écosystèmes par l'activité humaine : Il existe aussi des causes naturelles de destructions (comme par exemple les tremblements de terre, les éruptions volcaniques, les ouragans ou encore les pollutions au radon), sur lesquelles l'Homme a peu de prise.
Ces cinq causes sont désormais bien identifiées : le changement d'usage des terres et de la mer, l'exploitation directe de certains organismes, le changement climatique, la pollution, et les espèces exotiques envahissantes. Les changements d'usage des terres et de la mer.
Bien que les activités humaines pèsent très fortement sur le sol et ses fonctions écologiques, elles n'ont pas toujours un impact négatif. Les agriculteurs savent par exemple améliorer la qualité de certains sols par le biais d'une agriculture raisonnée en faveur de la biodiversité.
L'agriculture peut aussi agresser le sol en provoquant son tassement par le passage d'engins de plus en plus lourds. Le sol compacté ne laisse passer ni l'eau, ni l'air et la faune des recycleurs du sol (par exemple, les vers de terre) diminue.
L'impact social se définit comme la transformation des parties prenantes, de la société et de l'environnement à la suite d'activités spécifiques exercées par une entité. Parmi les transformations, on notera : – Des effets négatifs: pollution, gaspillage, émissions de gaz à effet de serre, chômage, dépression, etc.
Cependant, nous pouvons distinguer deux types d'environnement : l'environnement naturel et l'environnement construit. La différence est que le premier se produit naturellement, tandis que le second est l'environnement que l'homme a modifié. Dans ce sens, on peut parler de paysages naturels et de paysages culturels.
Le risque environnemental peut se matérialiser par une pollution de l'eau, de l'air ou encore des sols, des sous-sols ou des eaux souterraines du site lui-même. Pour gérer ce type de risque, l'entreprise peut prendre différentes mesures. Tout d'abord, l'entreprise doit prendre des mesures préventives.
Nous associons souvent la pollution à l'industrie, aux transports et à la production d'énergie, qui sont des sources importantes, mais près de 50 % des pressions sur la nature liées à la pollution proviennent des émissions agricoles dans l'air, l'eau et le sol.
L'augmentation des déchets domestiques ou industriels rejetés par l'homme modifie les milieux et les rend parfois impropres à la vie. La diversité des espèces animales et végétales s'en trouve diminuée. La France produit chaque année 580 millions de tonnes de déchets.
"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
Les scientifiques conviennent que la planète se réchauffe plus rapidement que jamais en raison des grandes quantités de gaz à effet de serre que l'homme rejette dans l'atmosphère, notamment par la combustion d'énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz), l'utilisation des voitures et l'abattage des forêts.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
Le réchauffement climatique
Les gaz à effet de serre, dus à la combustion du pétrole, du gaz et du charbon qui servent entre autre à produire de l'électricité et de la chaleur participent à la pollution de la planète et sont la principale cause du réchauffement climatique actuel.
Entre 2010 et 2020, le réchauffement de la planète s'est largement imposé comme la principale préoccupation environnementale des Français (+ 23 points). Ce sujet devance désormais nettement la pollution de l'air et les catastrophes naturelles et atteint en 2020 un niveau record.