En effet, la technologie présente des inconvénients qu'on ne peut plus ignorer. On constate que plusieurs technologies polluent l'environnement, c'est le cas de la voiture qui produit des CO2. L'ordinateur est difficilement recyclable tandis que l'industrie qui s'occupe du développement technique détériore la nature.
Presque toutes les technologies populaires allant du téléphone à la voiture ont pour objectif final de réduire l'effort des humains. Un deuxième avantage, c'est la communication et la mobilité. Les systèmes de communication modernes ont réduit radicalement le temps de communication entre deux personnes.
De ce point de vue, on peut dire que ces nouveautés technologiques sont nécessaires et bénéfiques pour nous. Mais elles entraînent aussi la pollution, les catastrophes écologiques, la disparition de certaines d'espèces animales et végétales et cela montre que notre planète est malade et maltraitée par les hommes.
Mais le progrès peut aussi générer des dangers : utilisation néfaste de la science, destruction, anarchie, crise sociale …
La science ne doit pas être laissée exclusivement aux scientifiques. Elle ne devient dangereuse qu'à condition que nous oubliions de nous en préoccuper et d'interroger moralement et politiquement les objectifs qu'on lui donne. La science ne devient dangereuse que si nous nous en désintéressons.
Elle est donc co-responsable du réchauffement climatique, de la dégradation généralisée de l'environnement et indirectement des catastrophes «naturelles» et des instabilités politiques et conflits qui résultent de la compétition pour l'accaparement des ressources.
Directs ou indirects, les impacts possibles de la science, de la technologie et de la recherche sont donc variés. Ils peuvent être classés en trois grandes familles : les impacts technologiques, économiques et sociaux.
Le physicien et cosmologue britannique a estimé lundi que le XXIe siècle allait être un des siècles les plus dangereux pour l'humanité, rapporte la BBC. En cause selon lui, la science et la technologie qui représentent des menaces pour son existence.
La science, aujourd'hui, est devenue partie intégrale de notre vie. Les connaissances que nous possédons et les technologies mises au point proviennent à peu près tous de la science. Sommes-nous plus heureux à l'aide de celle-ci.
désagrément, embarras, ennui, importunité.
La science a pour objet de comprendre et d'expliquer le monde et ses phénomènes au départ de la connaissance, dans le but d'en tirer des prévisions et des applications fonctionnelles.
Inconvénients et risques de la technologie
La technologie a des inconvénients qu'on ne peut plus ignorer. Bon nombre de technologies polluent l'environnement d'une façon ou d'une autre. La voiture produit son lot de CO2 ; l'ordinateur est difficilement recyclable ; et l'industrie pollue la nature.
Le progrès technique a pour effet de substituer du capital au travail et entraîne une destruction d'emplois. Dès lors, une part plus importante des gains de productivité obtenus grâce aux innovations rémunère la propriété du capital au détriment des salaires, augmentant ainsi les inégalités de revenus.
Sans surprise, on mentionne que passer trop de temps devant un écran entraîne de l'obésité ainsi qu'une augmentation des risques de souffrir de diabète de type 2, de maladies cardiaques et d'accidents vasculaires cérébraux. Ils ont aussi des impacts psychosociaux négatifs chez les enfants et les adolescents.
Anaximandre, premier scientifique | Canal U.
La technologie a engendré une multitude de risques de sécurité, comme l'hameçonnage, le piratage psychologique et l'extorsion de renseignements confidentiels. Une fois que vous connaîtrez ces nouveaux risques technologiques, vous aurez déjà parcouru la moitié du chemin pour les éviter.
La limite de la science est atteinte lorsque l'on est pas en mesure de reproduire un resultat ou une experience scientifique (pour diverse raisons tel que manque d'argent, etc..).
Elle peut nous montrer un meilleur moyen de fabriquer certaines choses, mais elle ne peut pas nous empêcher de nous en servir pour notre propre destruction ou celle de la civilisation. Un plus grand progrès moral est la seule protection e/ficace, dit du Nouy dans La Destinée Humaine.
Selon une étude du WWF, le sucre est l'une des cultures les plus nocives pour la planète. En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Toute science se fait en se heurtant à ses propres limites. La question « la connaissance scientifique a-t-elle des limites ? » paraît donc recevoir une première réponse simple : la science se définit dans sa démarche par le franchissement de ses propres limites qui font obstacle au savoir.