Imprimez des objets en 3D prend encore beaucoup de temps, trop de temps. Vous le savez, le temps c'est de l'argent. Il n'est pas rare d'avoir des impressions de plus de 12H si vous souhaitez imprimer une pièce de plus de 10 cm2. Cela réduit la compétitivité de cette technologie.
Les imprimantes 3D présentent de nombreux avantages, notamment une précision, une vitesse, une efficacité et une productivité accrue. Cependant, elles présentent également certains inconvénients, comme le nombre limité de matériaux, de couleurs, de tailles et de formes.
La consommation d'électricité des imprimantes 3D est supérieure à 225 W (0.225 KW) et le coût moyen de l'électricité en Espagne est actuellement de 0.12 €/KW. De plus, il y a les coûts du software, bien qu'il existe des programmes de base de l'environnement open source qui permettent d'imprimer en 3D gratuitement.
Sous l'effet de la température les matières plastiques se dégradent formant des Composés Organiques Volatiles (COV) et des particules de très fines granulométries nommées particules ultrafines (PUF). L'ABS dégage, par exemple, du styrène et du formaldéhyde qui peuvent avoir des effets cancérogènes.
Dans le cadre de l'étude publiée cette année, il a été déterminé que de nombreuses imprimantes 3D génèrent des particules ultrafines, de la taille de nanoparticules. Celles-ci peuvent être facilement inhalées par la personne en contact avec la machine et pourraient éventuellement atteindre son système pulmonaire.
Le tarif impression 3D standard est de 10€ HT de l'heure (matière incluse dans la majorité des cas car parfois la matière est extrêmement chère, comme le PEEK par exemple.
La fabrication additive pour tout le monde
Par exemple, cette technologie est de plus en plus utilisée dans le médical, l'automobile, l'architecture, l'aéronautique ou encore l'agriculture. Les possibilités offertes par l'impression 3D sont infinies !
Parmi les domaines dans lesquels la 3D apportera une réelle valeur ajoutée au cours des prochaines années, figurent en bonne place l'aérospatiale, la construction, l'automobile, l'électronique, l'agroalimentaire et l'industrie pharmaceutique.
Le Bioprinting (ou Bio-impression) correspond à l'utilisation des imprimantes 3D dans le domaine médical.
Cette méthode permet d'imprimer des objets avec des formes complexes. Plus précisément, l'imprimante 3D agit en frittant les couches de poudres une par une. Le laser de la machine doit fritter le lit de poudre préchauffé pour fabriquer le produit que vous voulez avoir.
Lorsqu'elle est utilisée à l'échelle industrielle, l'impression 3D est appelée fabrication additive (FA), par opposition aux procédés de fabrication soustractive traditionnels comme le fraisage CNC. Cette technologie, inventée au début des années 1980, existe depuis environ quatre décennies.
Les principales technologies d'impression 3D basées sur de la poudre sont le frittage sélectif par laser (connu sous le nom SLS pour Selective Laser Sintering) et la fusion sélective par laser (ou SLM, pour Selective Laser Melting).
L'impact économique se fait ressentir : la conception et la réalisation des produits coûtent moins cher, le temps consacré à la fabrication est nettement moins important et les coûts de production et de logistique sont réduits. La chaine de production est donc révolutionnée.
Tout d'abord, faites chauffer la buse à la bonne température, et retirez tout le filament de l'imprimante. Ensuite, faites tourner le moteur de l'extrudeur manuellement et nettoyer avec un petit outil très fin (type pince à épiler) les rainures de l'engrenage de l'extrudeur pour enlever les résidus de plastiques.
Types d'imprimantes 3D : frittage laser sélectif (SLS) fusion laser sélective (SLM) fusion par faisceau d'électrons (EBM)
Une autre excellente façon de gagner de l'argent avec une imprimante 3D est d'entrer sur le marché pour les produits faits maison et l'artisanat personnalisé. Certaines entreprises ont commencé à offrir des produits dans ce domaine en utilisant l'impression 3D et cela a conduit à de nombreux succès.
Les plus courantes sont les peintures à l'huile, les vernis, les laques et les acryliques, qui fonctionnent bien avec l'ABS et le PLA pour la plupart. Si vous débutez, nous vous conseillons la peinture à l'acrylique, qui sèche vite et qui se nettoie bien à l'eau.
Le PLA ne présente pas de dangers physiques (c'est-à-dire liées aux propriétés physico-chimiques), toxiques ou écotoxiques au sens règlementaire. Ses chaînes longues en font une macromolécule qui ne répond pas aux critères de classification des substances dangereuses.
Composants électriques non-fixés = DANGER
La thermistance peut ainsi sortir toute seule du bloc de chauffe, provoquer une mauvaise détection de la température et faire surchauffer la cartouche jusqu'à provoquer un incendie.
La consommation
Certaines imprimantes 3D de petit volume peuvent ne consommer que 20 W environ en fonctionnement. Contrairement aux imprimantes classiques, même en veille, la consommation peut être importante : plus de 10 W pour certaines.
Émissions non toxiques et inodores
Le PETG est non toxique et inodore, ce qui le rend parfait et sûr à utiliser dans presque tous les environnements.