L'arrosage non suffisant et l'arrosage excessif entraînent des problèmes de sol, des maladies des racines et du gazon, des carences nutritionnelles et une diminution du rendement des plantes.
L'aspect positif de l'irrigation découle de l'intensification de la production des cultures vivrières et fourragères sur les terres les plus fertiles, permettant à un pays d'atténuer la pression sur les terres marginales actuellement sous cultures pluviales ou pâturages.
Les solutions proposées pour pallier le manque d'eau sont coûteuses et contre productives à long terme : mise à disposition gratuitement de plus grande quantité d'eau pour l'irrigation agricole, à l'aide d'aménagements à l'inverse coûteux (barrages et autres retenues), avec interdiction pour les particuliers d'arroser ...
L'irrigation constitue un outil de gestion efficace contre les aléas des précipitations. Elle permet de choisir des variétés à haut rendement en appliquant les fertilisants nécessaires, ainsi que les traitements de lutte contre les ravageurs et d'autres intrants, et rend ainsi ces cultures économiquement intéressantes.
Il existe trois types principaux : irrigation de surface, irrigation par aspersion, et micro irrigation. La quantité d'eau diminue depuis l'irrigation de surface jusque la micro irrigation.
Les premières traces d'irrigation remontent à environ 5000 ans avant JC en Mésopotamie (Irak et Iran actuels). Ces terres semi arides situées entre le Tigre et l'Euphrate ont été irriguées par les flots de l'Euphrate pendant que le Tigre servait de déversoir final.
Cette technique consiste à apporter l'eau sous faible pression jusqu'aux racines et à la distribuer au compte-goutte, à l'aide de petits tuyaux, posés sur le sol ou enterrés. Les goutteurs peuvent être externes (à poser), en ligne ou en gaine. On irrigue avec précision et l'on fait des économies d'eau considérables.
L'arrosage non suffisant et l'arrosage excessif entraînent des problèmes de sol, des maladies des racines et du gazon, des carences nutritionnelles et une diminution du rendement des plantes.
Pourquoi irriguer ? L'irrigation agricole et artificielle est utilisée afin d'augmenter les rendements : L'irrigation améliore les rendements des terres agricoles par l'apport de l'eau nécessaire à une forte croissance. L'irrigation est combinée la plupart du temps à un apport d'intrants chimiques (fertilisants...).
Voici trois moyens simples pour savoir quand irriguer ou ne pas irriguer. On peut d'abord apprécier l'humidité du sol au toucher : le sol plutôt sec devra être irrigué, tandis que celui plutôt humide pourrait attendre quelque temps avant d'être arrosé.
Qu'est-ce que la pollution de l'eau? On appelle pollution de l'eau toute modification chimique, physique ou biologique de la qualité de l'eau qui a un effet nocif les êtres vivants la consommant. Quand les êtres humains consomment de l'eau polluée, il y a en général des conséquences sérieuses pour leur santé.
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L'eau d'irrigation est apportée par ruissellement à partir des fossés du champ sans vrai contrôle par des digues ou par d'autres méthodes limitant le mouvement de l'eau (Schwab et al 1993). Cette façon de faire est souvent comparée à une inondation sauvage.
Les principales cultures irriguées sont le maïs (41% des surfaces irriguées) et les céréales (17% des cultures irriguées). L'irrigation est présente sur l'ensemble du territoire, mais elle est surtout développée dans le Sud-Ouest, le Centre, l'Alsace et le Sud-Est (d'après IRSTEA, 2012).
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Durée du tour d'eau
– Débit par arbre = 6 goutteurs x 2 L/h = 12 L/h. – Nombre d'arbres par hectare (1 ha = 10 000 m2) = 10 000 m2 / (7 m x 7 m) = 204 arbres. – Débit par hectare = 204 arbres x 12 L/h/arbre = 2 448 L/h/ha = 2,5 m3/h/ha. – Taille du poste = 6 m3/h / 2,5 m3/h/ha = 2 ha 40.
L'irrigation consiste à arroser une plante lorsque celle-ci en a besoin pour rester en vie et se développer. Les besoins en eau de la plante sont assurés par la réserve en eau du sol, la pluie et l'irrigation. Sur la région Ile-de-France comme ailleurs, la nécessité d'irriguer est en constante augmentation.
Irrigation localisée des vergers
Ces solutions, basées sur des micro-asperseurs, sont conçues pour irriguer la zone racinaire des arbres. Ce type d'irrigation laisse l'espace entre les rangs de cultures à sec et est connu pour utiliser l'eau et les nutriments de la manière la plus efficace.
Les systèmes d'irrigation par aspersion projettent un jet d'eau atomisée dans l'air, qui retombe ensuite sur le sol sous forme de gouttes, comme s'il s'agissait de pluie.
Pour un arrosage ultra-précis, le système d'arrosage goutte à goutte, ou arroseur micro-percé, est le plus efficace. Il est notamment conseillé pour les potagers, les haies ou les massifs de fleurs. L'eau s'égoutte lentement vers les racines des plantes grâce à bec ou des tuyaux percés de petits trous.
La micro-irrigation ou l'irrigation localisée, se fait au goutte-à-goutte, c'est une technique très économe puisqu'elle ne consomme que ce dont la plante a besoin Effectivement, l'eau est amenée directement au pied de la plante, pourtant il doit être filtrée afin de ne pas boucher les goutte-à-goutte.
L'irrigation localisée ou micro-irrigation consiste à distribuer l'eau par un réseau de canalisations sous faible pression, apportant l'eau à un voisinage limité des plantes cultivées. C'est la méthode d'irrigation la plus efficace aujourd'hui.