Le gout des aliments est relativement préservé. Technique relativement risquée car une stérilisation mal réalisée peut être très dangereuse (intoxication alimentaire) Il faut avoir un minimum de matériel : bocaux, étuve, très grande casserole. Altération de certaines vitamines sensibles à la température.
Inconvénients : le séchage à basse température est difficile à réaliser avec le four traditionnel de la cuisine. Il faut veiller à protéger les produits séchés de l'humidité et de la lumière (pour qu'ils gardent leur couleur).
La congélation des aliments conserve leur saveur et leur texture, et ne nécessite aucun traitement supplémentaire. Le seul inconvénient est que les aliments congelés sont un peu plus longs à préparer.
Elle enlève parfois aux produits de la saveur. Elle provoque la perte des vitamines oxydables, en particulier de la vitamine C. On arrête l'activité des micro-organismes, on arrête de façon irréversible la vie cellulaire. L'activité microbienne est impossible à – 10°C.
Inconvénients de la pasteurisation
Une fois ouverts, ils doivent être consommés dans les plus brefs délais, comme des aliments stérilisés. Contrairement à la stérilisation, la pasteurisation ne tue pas les spores. Des modifications physiques et chimiques continuent donc de se produire.
La conservation garantit la continuité de l'approvisionnement alimentaire, au-delà de la saison des récoltes. Comme la préservation a la capacité d'assurer une longue durée de vie aux produits, elle permet de prévenir un gaspillage excessif, ce qui contribue de manière significative à l'économie d'un pays.
La congélation et la surgélation sont les méthodes de conservation les plus efficaces, et celles qui altèrent le moins les propriétés du produit. De plus, toutes deux permettent la conservation de l'aliment pendant une période prolongée, de plusieurs mois a plusieurs années.
Le fumage permet : Un mode de cuisson simple, procurant une saveur originale et riche grâce à l'essence de bois choisie. Une meilleure conservation des aliments.
Lors d'une décongélation, les bactéries toujours vivantes bénéficient de conditions encore plus favorables à leur prolifération : réchauffement de la température. Cette prolifération est accélérée lors d'une longue décongélation à température ambiante ou d'une cuisson rapide à faible température par exemple.
La lyophilisation a tout de même quelques inconvénients. Les produits obtenus ont perdu leur couleur, ils sont très friables et très sensibles à l'oxydation, sans parler de leur coût élevé.
C'est le cas du riz blanc, des pâtes sèches à base de blé dur, de la farine de blé, de la fécule de maïs (maïzena), des lentilles, des haricots secs, des pois chiches… Parfaitement protégés de l'humidité et des parasites, ils se conservent pendant des décennies.
On peut conserver des aliments par le froid, que ce soit par congélation à -12°, ou par surgélation à -40° voire -50°. Au froid, les micro-organismes ne sont pas tous tués mais sont tous endormis. Lorsque l'on décongèle l'aliment, ils se réveillent et peuvent donc à nouveau proliférer.
Autres méthodes de conservation des aliments
Le traitement à ultra-haute température (UHT). Le conditionnement sous atmosphère modifiée (emballage étanche). La déshydratation et le séchage. La lyophilisation.
Une augmentation des cancers : Une surconsommation de produits industriels riches en sucre, en sel et en gras serait à l'origine d'un grand nombre de cancers. De plus, ces aliments industriels sont riches en additifs et autres substances chimiques incriminés dans la survenue d'un grand nombre de cancers.
D'autres sites parlent de 3 à 4 mois pour les poissons en filets ou les crustacés. Concernant les plats cuisinés industriels, les recommandations de nombreux sites de santé vont de 18 à 24 mois, contre 3 à 4 mois pour les plats cuisinés maison.
Jambon, bacon, poitrine fumée, lard, viandes séchées se font dans ce type de fumoir. Certains fumoirs fument à chaud, à plus de 55 °C. Cela permet, en plus du fumage, la cuisson des viandes. Ils conviennent d'avantage pour les grosses pièces de viandes fumées comme les côtes de bœuf, les grosses pièces de volaille.
La viande au barbecue n'est pas excellente pour la santé, personne ne l'ignore. La fumée du bois ou du charbon de bois contient des substances hautement nocives.
Le tabagisme, actif et passif, augmente l'intensité, la durée et la fréquence des crises d'asthme chez l'adulte et augmente le risque d'infections pulmonaires (bronchite, pneumonie).
Lentilles, haricots blancs, rouges ou noirs, petits pois, pois chiches… : nourrissants et riches en protéines végétales, les légumineuses en conserve se gardent longtemps et peuvent être utilisés de milles façons différentes en cuisine et sont parfaits pour varier les plaisirs au fil des jours !
L'hygiène alimentaire n'était pas rigoureuse à l'époque. « Au Moyen Âge, il y avait déjà des moyens de conserver les aliments, que ce soit en les séchant, en les salant ou en les conservant dans de la graisse, du sucre ou du miel. » Plus étonnant encore, on disposait déjà de glacières.
Conditions de conservation. La température, l'air, l'humidité et la lumière sont des facteurs qui interviennent dans la conservation. Les conditions de stabilité sont différentes suivant les médicaments, qui sont plus ou moins fragiles, et suivant la forme du médicament (comprimé, solution, etc.)
Action d'imprégner une denrée (viande, poisson) de sel, pour en favoriser la conservation. 2. Méthode utilisée pour conserver les peaux avant la mise en fabrication à la tannerie. (Outre le saupoudrage de sel, on effectue aussi le salage par immersion dans un bain de saumure, ou saumurage.)
- Goût et apparence : les produits lyophilisés ont le même goût et la même apparence que les produits frais. La lyophilisation ne rétrécit pas et ne durcit pas l'aliment, mais conserve son arôme, sa forme, sa saveur... Une fois réhydratés, les produits alimentaires sont comme frais.