Les limites du benchmarking Une équipe entière doit généralement être dédiée au projet : c'est synonyme de coûts importants pour l'entreprise. Ensuite, le succès du benchmark est conditionné par le comportement et la dynamique des collaborateurs.
Les limites du benchmarking
Le benchmarking permet rarement de trouver de nouvelles idées mais dans le meilleur des cas il autorise l'innovation en adaptant à son secteur d'activité les bonnes idées d'autres secteurs.
En gestion de projet, le benchmarking améliore les processus de prise de décision et met en évidence l'efficacité des stratégies de management des projets. Cette méthode détermine le niveau actuel de maturité d'un projet tout en identifiant ses déficiences ainsi que d'éventuelles pistes d'améliorations.
On relève quatre types de benchmarks : le benchmark interne, le benchmark compétitif, le benchmark fonctionnel, et le benchmark horizontal.
Le benchmark est une stratégie d'entreprise basée sur l'analyse comparative. Cet outil de comparaison permet de mesurer la performance d'une société sur son secteur économique. En effet, le principe d'un benchmarking est de se comparer aux autres afin d'en tirer le plus de bénéfices.
Avantage : Identifie les mesures ou indicateurs de performance des organisations ou des concurrents les plus performants. Désavantage : Ne tient pas compte du contexte d'affaires et ne permet pas de documenter les processus qui sont à l'origine des performances.
Le benchmark est un outil de comparaison qui sert à évaluer la performance d'une entreprise sur son secteur économique et la comparer aux meilleurs acteurs du secteur. Cet outil d'amélioration continue se base sur un processus d'évaluation par rapport à un ou plusieurs modèles reconnus.
Benchmark, aussi appelé benchmarking, est un terme anglais qui peut être traduit par les mots référence, étalon ou repère. Le benchmark est en effet une technique marketing basée sur l'analyse comparative.
Il permet de se comparer aux modèles stratégiques concurrents et déduire des pistes d'optimisation. Une fois réalisé, le benchmarking doit être partagé avec les collaborateurs de la société concernée pour justifier les changements à opérer.
L'analyse comparative consiste à repérer les meilleures pratiques (résultats obtenus) des leaders de l'industrie et à comparer ensuite votre propre rendement au leur.
Votre benchmark digital doit ainsi se conclure par un résumé de vos observations (éléments saillants, enseignements fonctionnels, types de contenus, mais aussi, si besoin, un état des lieux technique).
La société Benchmark Carbide fabrique des fraises et alésoirs en carbure de tungstène. La société est située à Springfield, Massachusetts, aux Etats-Unis. «Notre marque est très réputée et nous fabriquons des outils de qualité depuis 1996,» nous indique Paul St Louis, propriétaire de la société.
Le benchmark, aussi appelé “benchmarking”, est une technique marketing pour mesurer les performances d'une entreprise concurrente afin de trouver les meilleures méthodes pour améliorer vos produits et/ou services et devenir ou rester le leader de votre secteur.
Une stratégie de benchmarking consiste à analyser les prix de la concurrence, avec un objectif clair : comprendre la position concurrentielle de sa propre offre par rapport à celle des concurrents.
Les objectifs d'un benchmarking
Cette pratique vise l'amélioration générale des activités et des stratégies de la boîte sur le marché, face à ses concurrents. Au cours de l'étude concurrentielle, les bonnes pratiques à appliquer pour améliorer le positionnement et déterminer les erreurs à éviter se font plus évidentes.
Les enquêtes salariales sont l'un des outils les plus couramment utilisés pour réaliser un benchmark de salaire. Ces enquêtes sont réalisées par des cabinets de conseil en ressources humaines, des associations professionnelles et des organismes gouvernementaux, et sont souvent proposées sous forme de rapports payants.
Les quatre types d'analyse de données sont :
Analyse descriptive. Analyse diagnostique. Analyse prédictive. Analyse prescriptive.