Pour lutter contre l'excision des solutions existent : l'éducation des hommes et des femmes, l'aide des interprètes, le soutien des responsables religieux, la participation active des exciseuses traditionnelles, la pratique de simulacres d'excisions permettront de sauver les enfants tout en évacuant en douceur des ...
Parmi celles-ci on distingue les conséquences immédiates (hémorragie, infection, traumatisme psychologique, décès) des conséquences à moyen et long termes (douleurs, troubles de la sexualité, infections à répétition et complications lors de l'accouchement).
Les mutilations génitales féminines menacent la vie des filles. Les conséquences sont nombreuses et violentes. L'excision peut entraîner de graves hémorragies allant jusqu'au décès. Elle peut également entraîner des complications lors des grossesses et des accouchements, causer une infertilité.
Principaux faits. Les mutilations sexuelles féminines recouvrent toutes les interventions incluant l'ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme ou toute autre lésion des organes génitaux féminins qui sont pratiquées pour des raisons non médicales.
L'excision des filles existait bien avant l'lslam, dans diverses régions d'Afrique, en Égypte, dans la Vallée du Nil et au bord de la Mer Rouge. L'infibulation était pratiquée sous l'Empire romain, et viendrait des peuples de la Mer Rouge.
Des pays comme la Somalie, l'Érythrée, le Soudan, l'Égypte, la Guinée, la Sierra Leone, le Mali et Djibouti présentent des taux d'excision élevés.
Par définition, l'excision est l'ablation d'une partie ou de la totalité des organes génitaux externes de la femme.
Cette expression désigne plusieurs procédés consistant à faire l'ablation de certaines parties de l'appareil génital féminin et à mutiler les organes sexuels des jeunes femmes de façon permanente sans aucune raison médicale.
Atteinte volontaire à l'intégrité physique d'une personne entraînant la perte d'un membre ou d'un organe. (La mutilation peut être une circonstance aggravante de certaines infractions [tortures et actes de barbarie, viol, violences, délaissement d'enfant, enlèvement, séquestration, etc.].
Une atteinte majeure et irréversible d'un membre ou d'une fonction organique caractérise une infirmité permanente au sens de l'article 222-9 du code pénal. Par un arrêt du 24 novembre 2021, la Cour de cassation revient sur la caractérisation des notions de mutilation et d'infirmité permanente.
Sur plus de 500 signalements, la grande majorité ne correspondent pas à des actes de cruauté d'origine humaine. Des investigations portent encore sur environ 80 cas. Aucun individu, qui aurait pu commettre une série de mutilations similaires, n'a pour l'heure été appréhendé. C'était la sage macabre de l'été 2020.
La circoncision est une intervention chirurgicale qui consiste à enlever le prépuce qui recouvre le gland du pénis. Cette opération est pratiquée sous anesthésie et ne dure en général que quelques minutes. Chez les bébés de 6 mois ou moins, l'intervention est faite sous anesthésie locale.
La circoncision masculine est l'une des interventions chirurgicales les plus anciennes et les plus courantes qui soient connues ; elle est entreprise généralement pour marquer son identité culturelle ou son appartenance religieuse.
24 consiste à exciser la pointe du clitoris, voire le clitoris tout entier, ainsi qu'une partie ou l'ensemble des tissus adjacents (petites lèvres). Le type 3 est l'infibu- lation ou «circoncision pharaonique» et consiste à exciser, non seulement le clitoris et les petites lèvres, mais aussi les grandes lèvres.
Si votre fils devrait avoir un petit phimosis plus tard il existe toujours la possibilité d'appliquer une crème avec un dermocorticoïde pour lui permettre de décalotter sans douleur.
Sauf nécessité médicale, pour pratiquer la circoncision il vaut mieux attendre que l'enfant ait atteint l'âge de 1 an, moment où il sera plus mature sur le plan physiologique.
Comment l'éviter? "Le frein, c'est la partie de peau qui retient le prépuce sur le gland, détaille Antoine Spath. Quand une force trop importante s'exerce pendant la pénétration, cela tire sur le frein qui peut alors céder. C'est très impressionnant car il y a beaucoup de sang mais ce n'est pas très grave en soi.
Une fois le prépuce (lohatsitsy en malgache) enlevé, l'assemblée crie « 'zay no vita e ! » (C'est fini !) et le grand-père maternel mange le bout de peau avec de la banane, symbole de fertilité et de virilité.
En 1989, cette Académie a commencé à avancer l'argument selon lequel la circoncision réduisait légèrement les risques d'infection du tractus urinaire (ITU), du cancer du pénis ainsi que certaines infections sexuellement transmissibles (IST)32.
La circoncision, aussi appelée posthectomie, est une intervention chirurgicale qui consiste à enlever le prépuce qui recouvre le gland du pénis. Cette opération facultative est pratiquée sous anesthésie et ne dure généralement que quelques minutes.
D'abord, le sentiment dans la population et chez les médecins que la circoncision améliore la vie sexuelle et préviendrait les maladies vénériennes…
Elle est le plus répandue dans le monde musulman et juif, aux États-Unis et dans certaines parties de l'Asie du Sud-est et de l'Afrique. Elle est relativement rare en Europe, en Amérique latine, dans des parties de l'Afrique australe et la plupart des pays d'Asie.
La Bible fait remonter la circoncision au début de l'histoire religieuse, lorsque Abraham a dû la pratiquer sur son propre corps et sur son fils Ismaël, l'ancêtre éponyme des Arabes.