La répartition est la suivante: 270 joueurs première série (260 joueuses), 12 000 joueurs deuxième série (4 000 joueuses), 80 000 joueurs 3e série ( 20 000 joueuses) et 210 000 joueurs 4e série (70 000 joueuses). Le classement médian est 30/3.
Les échelons de cette série, du plus faible au plus élevé, sont : 40, 30/5, 30/4, 30/3, 30/2, 30/1. Ensuite, il y a la troisième série avec six classements : 30, 15/5, 15/4, 15/3, 15/2, 15/1. Puis la seconde série : 15, 5/6, 4/6, 3/6, 2/6, 1/6, 0, -2/6, -4/6, -15, les trois derniers étant des classements négatifs.
Le classement 40 constitue le tout premier classement. Il existe 3 possibilités pour obtenir le classement 40 : être licencié et participer à une épreuve homologuée en simple (tournoi, TMC, rencontre par équipes etc.). Même si le joueur perd son match (hors WO), il sera automatiquement classé 40.
La 4ème serie du classement du tennis
La 4ème série contient les classements de tennis 40,30/5,30/4,30/3,30/2,30/1 , on est 40 lorsqu'on gagne un match de tennis , 30/5 pour deux matchs de tennis gagnés et ensuite il faut calculer ses victoires selon des normes (Voir calcul de votre classement ).
Le problème des joueurs de 3ème série est qu'ils se situent mentalement entre la « chévritude » de l'immense armée des 4ème série (près de 75% des classés en France), qui sont en général trop mauvais pour prendre la compétition vraiment au sérieux – à part quelques énergumènes qui ont définitivement abandonné toute ...
Le classement est calculé à partir du bilan de chaque joueur dans toutes les compétitions officielles, en fonction principalement du classement des joueurs qu'il aura battu, et dans une moindre mesure du classement des joueurs qui l'auront battu.
Pour gagner un jeu, il faut inscrire au moins quatre points. Mais alors qu'il serait logique de compter 1, 2, 3…, les tennismen et women disent 15, 30 et 40. Ce décompte particulier vient du jeu de paume, ancêtre du tennis, inventé dit-on par des moines français et largement popularisé pendant la Renaissance.
Il existe différentes catégories d'âge, valables tout au long de l'année sportive et déterminées en fonction de l'année de naissance du licencié : Jeunes (7 ans et moins, 8 ans, 9 ans, 10 ans, 11 ans, 12 ans, 13/14 ans, 15/16 ans, 17/18 ans), Seniors et Seniors Plus (+ 35 ans, + 40 ans, + 45 ans, + 50 ans, + 55 ans, + ...
Le principe du classement
Les victoires acquises sur le terrain apportent des points au joueur pour son calcul. Les points apportés par une victoire dépendent du classement de l'adversaire (désormais au jour du match). Meilleure est la victoire, plus le nombre de points apporté est important.
Le premier du classement est le joueur qui, au cours des précédentes 52 semaines, a accumulé le plus de points ATP. Ceux-ci sont décernés selon la catégorie des tournois auxquels le joueur participe, ainsi que sa performance au sein de chacun de ces tournois.
La façon de compter au tennis (15/30/40/Jeu) vient, naturellement, du jeu de Paume où l'on comptait les points de la manière suivante : 15/30/45/Jeu.
Benjamins : 10 à 11 ans. Minimes : 12 à 13 ans. Cadets : 14 à 15 ans. Juniors : 16 à 17 ans.
Le match de tennis Isner – Mahut, qui s'est joué dans le cadre du premier tour du simple messieurs du tournoi de Wimbledon 2010, est devenu le plus long match de tennis professionnel, que ce soit en durée de jeu, en nombre de jeux (183) ou en nombre de points (980).
Le tennisman suisse Roger Federer, 41 ans, vainqueur de 20 tournois du Grand-Chelem, a annoncé sa retraite sportive ce jeudi dans un communiqué. La fin d'une longue carrière de 24 ans qui aura fait de lui l'une des légendes de ce sport. Il raccrochera définitivement à l'issue de la Laver Cup, fin septembre.
Cette étrange expression vient de la prononciation du mot français "oeuf" pour signifier "zero". Avec le temps, "l'oeuf" est devenu "love".
En 2002, en double, un set particulier appelé super tie-break est disputé lorsque le score est de un set partout. La première équipe à remporter au moins dix points avec deux points d'écart gagne le match. Cette règle a été employée la première fois à l'Open 13 en 2002.
Étymol.
Empr. à l'angl. let « obstruction, arrêt » employé comme terme de jeux de raquettes (1871 ds NED) pour désigner l'entrée en contact de la balle avec un obstacle (le filet, au jeu de tennis, d'où le terme net « filet ») dans certaines conditions réglementaires prévoyant de refaire le service.
Cela permet de s'offrir un temps de concentration avant le service à proprement parler. Cela permet de tester le rebond de la balle, ce qui influence le type de service que le joueur fera. Cela facilite la création d'un axe vertical passant de la main vers le sol : cela renforce la stabilité.
Le tennis est un sport où vous devez être impliqué physiquement sur chacune des frappes. Il est très difficile de bien centrer la balle sur la raquette, d'exécuter une volley percutante ou de réussir un smash de qualité si vous n'êtes pas bien positionné et installé pour la frappe.
L'ancêtre du tennis a été inventé au Moyen Âge par des moines français qui cherchaient à faire un peu d'exercice dans leur cloître. Ce sport s'appelle alors le jeu de paume, et il devient si populaire en France que même les rois y jouent.
Avec un tie-break de 46 points, Opelka et Isner entrent dans l'histoire. Les Américains Reilly Opelka et John Isner ont disputé le tie-break le plus long de l'histoire de l'ATP Tour depuis 1990, la nuit dernière à l'Open de Dallas. Opelka s'est finalement imposé 24-22.