Depuis quelques années, la multiplication des outils de participation citoyenne est effective. Les budgets participatifs, les plateformes de collectes d'avis ou encore les applications qui permettent de discuter avec vos élus. Autant d'outils qui permettent plus de dialogues et de transparence dans la vie politique.
Acte civique, vote, participation à un dispositif de concertation… Les formes de participation citoyenne à l'échelle locale sont variées et tendent encore à se diversifier. Les dispositifs existants peuvent constituer de véritables leviers pour mobiliser les habitants et favoriser l'engagement sur le territoire.
La participation citoyenne est un exercice qui favorise une expression individuelle et collective, informée et argumentée, avec pour finalité de nourrir la décision publique. La caractéristique principale de la participation est d'amener chacun à s'exprimer en tant qu'acteur de l'intérêt général.
À quoi sert la participation citoyenne ? Concrètement, participer à une concertation, c'est apporter son regard ou son expérience sur un sujet, exprimer et confronter ses convictions, construire un diagnostic partagé et des solutions communes.
Les dispositifs de participation citoyenne visent à redonner une place aux citoyens dans la fabrique de la politique publique, en les associant aux prises de décision. Ils recréent des espaces de dialogue collectifs, où sont partagées des informations et une culture commune des enjeux publics.
Si vous cherchez à faire participer votre communauté de citoyens, il est essentiel de mettre en place un projet inclusif qui représente sa diversité. Toutes les voix doivent avoir la même importance, et des efforts particuliers doivent être faits pour donner du coffre à ceux qui ne sont généralement pas entendus.
La citoyenneté se définit par la participation à la vie collective. Une notion de collectivité qui va souvent de pair avec l'idée de solidarité, d'entraide et d'écoute. Ainsi, si l'engagement citoyen et associatif est une initiative individuelle au départ, il permet de mener des actions pour le bien dans la société.
Mobiliser et inciter les citoyens à passer à l'action en s'engageant à réaliser quotidiennement des gestes en faveur du climat et à soutenir les populations vulnérables dans leur développement.
La participation citoyenne peut se définir comme un processus d'engagement obligatoire ou vo- lontaire de personnes ordinaires, agissant seules ou au sein d'une organisation, en vue d'influer sur une décision portant sur des choix significatifs qui toucheront leur communauté.
La citoyenneté est le fait pour un individu, pour une famille ou pour un groupe, d'être reconnu officiellement comme citoyen, c'est-à-dire membre d'une ville ayant le statut de cité, ou plus générale d'un État. En France en 1789, le mot citoyen a remplacé celui de bourgeois.
La mise en place d'un dispositif de participation est obligatoire pour les entreprises qui emploient plus de 50 salariés par mois, au cours des cinq dernières années. Notez que les entreprises qui ne remplissent par ces critères, peuvent tout de même mettre en place la participation de façon volontaire.
La mise en place d'un régime de participation doit obligatoirement résulter d'un accord conclu entre l'employeur et les salariés ou leurs représentants (sauf dans les entreprises de moins de 50 salariés où en cas d'échec des négociations, le régime de participation peut être mis en place unilatéralement par l'employeur ...
La mise en place d'un accord de participation suppose une négociation avec le personnel ou les partenaires sociaux. Dans les petites entreprises, il peut être instauré unilatéralement par l'employeur. Les accords de branche peuvent quant à eux simplifier les démarches de l'employeur dans les petites entreprises.
2/ Les conditions de la réussite
Une démarche participative pour être fructueuse doit être adaptée au contexte (métiers, culture et valeurs, sujet spécifique, etc.) et ouverte (associant tous les niveaux et tous les acteurs concernés).
L'égalité des droits entre les citoyens
La démocratie doit donc protéger les citoyens contre l'arbitraire ou l'abus du pouvoir. Cela repose en premier lieu sur une égalité des droits entre les citoyens. Toute démocratie implique en effet un système politique où tous les citoyens sont soumis aux mêmes lois.
En démocratie représentative, c'est le corps des élus dans son ensemble qui exerce la souveraineté. Les élus n'ont donc de légitimité qu'au sein de l'assemblée qu'ils constituent. Cette caractéristique explique l'importance du débat au sein de l'assemblée, de la discussion censée faire naitre la meilleure solution.
Favoriser l'expression, questionner des sujets : journal, web radio, etc. Adopter une posture neutre, ne pas donner son avis. Accompagner, ne pas faire à la place de, donner à voir, à expérimenter. Créer des partenariats locaux.
Elle amène les élèves à prendre conscience de leur influence sur l'environnement (espace, lieux physiques, matériel) et de leur relation à l'autre. Parce que le civisme s'apprend. Les règles du vivre-ensemble ne sont pas innées. Elles sont apprises, donc elles s'enseignent.
Les valeurs citoyennes sont, sans être exhaustives, la civilité, le civisme, la solidarité, l'intégrité, le patriotisme, la tolérance, la paix, la sauvegarde de l'intérêt général, le savoir vivre collectif, l'ordre public, le respect du bien public et les bonnes mœurs.
Le bon citoyen est celui qui refuse de laisser par désintérêt ou empathie, les autres choisir à sa place. La citoyenneté conférant à celui qui la détient, l'accès à l'ensemble des droits civiques et politiques, lui permet de jouer un rôle décisif dans un régime démocratique.