Certains des pays les plus pauvres au monde, comme le Cambodge, l'Éthiopie, le Bangladesh et l'Ouganda ont d'ailleurs réduit d'au moins deux tiers le taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans. Entre 2000 et 2015, 50 millions de vies ont pu être sauvées.
par Atlasocio.com | Mis à jour le 02/01/2020
Les États possédant les taux de mortalité infantile des enfants de moins de 5 ans les plus élevés du monde sont la Somalie, le Nigeria, le Tchad, la Centrafrique, et la Sierra Leone.
Selon les chiffres de l'UNICEF, « en 2017, 50 % des décès d'enfants de moins de 5 ans dans le monde ont eu lieu en Afrique subsaharienne et 30 %, en Asie du Sud-est. Un enfant sur 13 meurt avant son cinquième anniversaire en Afrique subsaharienne. Dans les pays à revenu élevé, ce chiffre chute à un enfant sur 185. »
Depuis 1990, le taux de mortalité des moins de 5 ans a baissé de 59% à l'échelle mondiale, passant de 93 à 38 pour 1000 naissances vivantes en 2019. Cela équivaut à 1 enfant sur 11 qui meurt avant d'atteindre l'âge de 5 ans en 1990, contre 1 enfant sur 27 en 2019.
Une étude montre que, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, la mortalité infantile a augmenté en France depuis 2012. Parmi les causes de ce phénomène, la pauvreté et le manque d'accès aux soins.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
Taïwan : un des taux de natalité les plus bas au monde.
Avec un taux de fécondité de près de 7 enfants par femme, le Niger est le pays avec le plus haut taux de fécondité, suivi du Mali.
total: 2 décès/1.000 naissances normales (2018 est.)
Pour améliorer le taux de mortalité infantile des nourrissons de moins d'un an, il ne suffit pas d'une campagne de vaccination, il faut une approche systémique, qui prenne en compte la nutrition, l'accès à l'eau et à la santé, mais aussi l'éducation et la protection des populations, et particulièrement des femmes ...
L'alimentation complémentaire des jeunes enfants, c'est-à-dire la prise d'aliments en plus de l'allaitement, est un important outil de prévention de la malnutrition et réduit la mortalité infantile.
La mortalité infantile désigne les décès d'enfants âgés de moins d'un an.
total: 49,8 décès/1.000 naissances normales (2018 est.)
Le taux de fécondité varie de moins de 1,35 à 1,9 enfant par femme dans les pays européens en 2017. La moyenne dans les pays de l'Union européenne est de 1,59 enfant par femme.
La République de Zambie est un des pays où l'on fait le plus d'enfants au monde.
Françaises et Roumaines en tête de classement
En 2019, les Françaises ont le taux de fécondité le plus élevé de l'UE, avec 1,86 enfant par femme. L'INSEE estime ce chiffre à 1,84 en 2020. Elles sont suivies des Roumaines, avec 1,77.
Contraception, instabilité des unions et incertitude économique.
Même dans certains pays antinatalistes l'avortement est strictement réglementé : c'est par exemple le cas du Bangladesh, du Mexique et du Pakistan.
La crise sanitaire est la cause principale de cette chute des naissances. La crainte de perdre son travail, le stress et la perte de confiance en l'avenir sont autant de facteurs qui ont pesé sur les Italiens.
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.
Le buffle d'Afrique
Etant l'un des plus gros mammifères d'Afrique, il est tout à fait de taille à défoncer un lion. Mais attention, il ne le fait pas gratuitement. Le buffle, lui, il tue des lions seulement pour se défendre, ou défendre sa progéniture.
La plupart des cas rapportés de mangeurs d'hommes sont des tigres, des léopards, des lions et des loups, ainsi que des crocodiliens.