On retrouve le bar en quantité à l'automne mais aussi le merlan, l'aiglefin, le congre, la barbue ou la seiche. L'hiver, on mange avec plaisir le lieu, le colin, le chinchard ou la lotte. C'est aussi l'occasion de consommer à nouveau des fruits de mer : praires, coquilles Saint-Jacques, moules et huîtres.
Araignées, bigorneaux, bulots, coquilles Saint-Jacques, crevettes, langouste, langoustines : c'est le moment ! Mais vous pouvez aussi manger du merlan, du maquereau, du cabillaud, du tacaud, du tourteau ou encore du congre.
Certaines espèces se vendent à des prix situés généralement en dessous des 15 euros le kg. Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, le tilapia, le lieu noir, la carpe ou encore le mulet.
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix.
Mars : araignée, bar, baudroie, brochet, bulot, cabillaud, carpe, chinchard, colin, coquille Saint-Jacques, crevettes, dorade grise, églefin, haddock, huîtres, langouste, langoustine, lieu, lotte, loup, maquereau, merlan, merlu, morue, moules, perche, raie, sardines, saumon, sole, turbot.
Les poissons d'avril
En avril, on choisit de la lotte, du brochet, du cabillaud, du colin, du maquereau, de la perche, de la raie, du saumon, de la sole, du turbot ou encore du merlu. C'est aussi le moment pour vous de commencer à manger des sardines.
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie. Simplement grillés, au beurre noir, aux câpres, farcis, en papillote, ils offrent une grande variété de présentation.
On peut donc citer, dans une liste non exhaustive : le saumon, le bar de ligne ou d'élevage, le turbot, la sole, le flétan, le barbue, le Saint-Pierre, la lotte ou encore la dorade royale qui, elle porte bien son titre de noblesse.
Le dos de Cabillaud, un morceau de poisson sans arêtes
Pêché dans les Mer de Barents, de Norvège, de la Manche et Celtiques, ce poisson est très apprécié. C'est un poisson blanc comme le blanc et de nombreux autres espèces. Lorsqu'il est coupé en filets puis salé et séché, le Cabillaud se prénomme « Morue ».
L'églefin : ce poisson a une chair fine, qui n'a rien à envier à son cousin, le cabillaud.
La sole.La sole est le poisson plat par excellence que l'on déguste pendant la période des fêtes. On l'apprécie pour sa chair fine et savoureuse qui renferme d'ailleurs plein d'oméga-3, de vitamines et de minéraux.
Alose, perche, omble chevalier et autres poissons d'eau douce sont riches en minéraux.
Les poissons et les mollusques et crustacés qui contiennent des concentrations plus élevées de ces acides gras tout en présentant une faible concentration de mercure sont les suivants : anchois, capelan, omble, merlu, hareng, maquereau, meunier noir, goberge, saumon, éperlan, truite arc-en-ciel, corégone, crabe, ...
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Les sardines, les maquereaux, les dorades, le bar (ou le loup en méditerranée), le mulet, le maigre, ou encore le thon, sont des espèces qui s'adapteront parfaitement à la chaleur vive de vos braises; tout comme les crustacés tels que la langoustine ou le homard, qui adorent aussi le barbecue.
A Rungis, le filet de saumon a vu son prix s'envoler, notamment depuis le mois d'avril. En cause, à la fois le prix des aliments utilisés par les salmoniculteurs mais aussi une forte mortalité supérieure à la normale dans les élevages et des stocks congelés au plus bas.