Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
brûlures urinaires persistantes ; spasmes de la vessie ; douleur dans le bas du dos.
Le fait de fumer du tabac est le plus important risque de cancer de la vessie. Le risque d'avoir un jour un cancer de la vessie augmente avec l'âge. Ce type de cancer se manifeste habituellement chez les personnes âgées de plus de 65 ans.
L'examen de référence pour le diagnostic d'un cancer de la vessie est la cytoscopie. Cet examen permet d'examiner l'intérieur de la vessie à l'aide d'un système optique introduit via l'urètre. Une anesthésie locale, réalisée grâce à un gel, est souvent pratiquée afin de réduire l'inconfort associé à ce geste.
Sa fréquence augmente parallèlement à celle du tabagisme qui est le principal facteur de risque de cancer de vessie. La présence de sang dans les urines est le principal mode de révélation du cancer de vessie.
Se lever plus de deux fois la nuit pour aller uriner, est considéré comme un peu excessif. En effet, à partir de plus de 2 réveils on parle de nycturie. Cela peut révéler un mode de vie non adéquat, voire un problème médical.
Bilan complémentaire en cas de cancer de la vessie
Selon les cas, ils peuvent comprendre : une analyse de sang ; un scanner de l'appareil urinaire, de l' abdomen , du thorax et/ou du bassin ; une IRM...
Pronostic et espérance de vie
Dans la majorité des cas (70 à 80%) le cancer de la vessie est détecté à un stade précoce. Avec un traitement adapté, le taux de survie à 5 ans est de 80 à 90% lorsqu'il a été détecté au stade non invasif et un peu moins de 50% lorsqu'il était déjà profond au moment du diagnostic.
Le symptôme le plus évident est la grande fréquence des mictions pendant la journée. Selon l'avis des médecins, il est normal d'uriner entre 4 et 8 fois par jour. Le faire plus souvent peut être le signe d'une vessie hyperactive ou irritable.
Les cancers de la vessie sont quatre fois plus fréquents chez les hommes et sont, le plus souvent diagnostiqués autour de l'âge de 70 ans.
Prostate et envie fréquente d'uriner
Chez l'homme, la pollakiurie peut être due à différents troubles de la prostate : un adénome de la prostate ; un cancer de la prostate ; une prostatite (infection de la prostate).
L'insuffisance cardiaque, les maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson et d'Alzheimer, le cancer de la vessie et de la prostate, le diabète, l'insuffisance hépatique, et les maladies rénales chroniques font partie des pathologies qui peuvent entraîner une polyurie nocturne.
(Cystite) On appelle cystite l'infection de la vessie. Les agents responsables de la cystite sont généralement des bactéries. Les symptômes les plus courants sont un besoin fréquent d'uriner et une douleur ou une sensation de brûlure à la miction.
La polyurie n'est pas un symptôme à prendre à la légère : elle peut être le signe de pathologies potentiellement graves et entrainer, si elle n'est pas correctement prise en charge, une déshydratation rapide.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
Le symptôme principal est la présence de sang dans les urines en fin de miction (hématurie) : ce sont les dernières gouttes d'urine qui seront teintées de sang. Le polype peut aussi se manifester par des brûlures en urinant ou par des envies douloureuses d'uriner.
Avec environ 12 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année, le cancer de la vessie est le 7ème cancer le plus fréquent en France. Généralement diagnostiqué vers l'âge de 70 ans, il affecte majoritairement plutôt les hommes que les femmes.
La cystite interstitielle est une maladie de la vessie rare mais invalidante qui a changé de nom. Elle s'appelle désormais le syndrome de la vessie douloureuse. Elle se caractérise par des douleurs au bas-ventre et des envies fréquentes d'uriner, le jour comme la nuit.
Notamment, lorsque la vessie a été retirée, le patient doit se réapproprier son corps, son image et apprendre à gérer un nouveau quotidien. Il doit retrouver une continence acceptable ou apprendre à vivre avec une stomie urinaire.
"Des urines mousseuses ou écumeuses sont le signe d'alerte d'une atteinte des filtres qu'on appelle les glomérules du rein et qui peut conduire à une insuffisance rénale, surtout si vous prenez du poids et si vous remarquez l'apparition d'œdème", prévient le Dr Tostivint.
Dans la lutte contre le cancer, la détection de la maladie à un stade précoce est essentielle. Le diagnostic s'appuie aujourd'hui sur une série d'examens comprenant les tests d'imagerie, l'analyse anatomopathologique des tissus avec les microscopes, et le dosage de certains marqueurs tumoraux dans le sang.
« Les polypes bénins dans la vessie sont très rares. Il se peut en revanche que la tumeur soit superficielle (qu'elle n'envahisse pas le muscle de la vessie), mais cela reste un cancer et nécessite un traitement et un suivi ».