Souvent, le cancer du rein se développe sans provoquer de symptôme particulier. Néanmoins, il arrive qu'un cancer du rein entraîne une hématurie, c'est-à-dire la présence de sang dans les urines, une douleur dans le flanc ou qu'il se matérialise par une masse palpable au niveau des lombaires.
Les signes les plus classiques sont la présence de sang visible dans les urines (hématurie), une douleur au niveau des flancs ou la présence d'une masse lombaire palpable.
Les reins peuvent déclencher des douleurs qui peuvent irradier en bas du dos. Il s'agit principalement de : la colique néphrétique : douleur provoquée par un calcul sur les voies urinaires (une intervention chirurgicale est nécessaire dans 10 à 20 % des cas) ; la pyélonéphrite : infection haute des voies urinaires.
Vous avez mal aux lombaires, de la fièvre, des frissons et des troubles urinaires : le risque majeur est celui de l'infection rénale autrement appelée pyélonéphrite (un seul ou les deux reins peuvent être touchés). La douleur diffuse dans le bas-ventre peut s'accompagner de troubles digestifs.
Le tabagisme, l'exposition aux rayonnements ionisants, et l'obésité ou le surpoids sont des facteurs de risque de cancer du rein. Le nombre de cas de cancers du rein chaque année est estimé à 15 000 en France. Il est deux fois plus fréquent chez l'homme que chez la femme.
Souvent, le cancer du rein se développe sans provoquer de symptôme particulier. Néanmoins, il arrive qu'un cancer du rein entraîne une hématurie, c'est-à-dire la présence de sang dans les urines, une douleur dans le flanc ou qu'il se matérialise par une masse palpable au niveau des lombaires.
Le pronostic du cancer du rein est plutôt bon avec un taux de guérison relativement élevé. Après la guérison, la possibilité de métastases « dormantes » implique un suivi médical régulier pendant au moins cinq ans, voire toute la vie.
L'eau est la meilleure boisson pour la santé des reins. La recommandation officielle est de boire de 1,5 à 2 litres par jour. C'est l'équivalent de 8 verres d'eau par jour.
"Non, le café n'est pas particulièrement mauvais pour les reins", note la nutritionniste. Il est cependant recommandé d'en limiter la consommation, surtout s'il s'agit de café soluble ou de chicoré.
Riches en eau et en antioxydants, les fruits rouges ont des vertus détoxifiantes. Ceux aux couleurs sombres comme la myrtille, les mûres et les canneberges sont les meilleurs pour les reins.
"Le rein fabrique moins d'EPO (érythropoïétine) et donc moins de globules rouges, ce qui provoque une anémie, un essoufflement, une fatigue".
Une douleur à droite des lombaires peut parfois signifier une pathologie sous-jacente comme précisé ci-dessous. Attention à la hernie discale, très fréquente dans cette région car les disques n'aiment pas bien les mouvements de rotation qui sont récurrents au niveau de la colonne lombaire.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
La survie nette après 5 ans pour le cancer du rein et le cancer du bassinet du rein est de 73 %. Cela signifie qu'environ 73 % des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer du rein ou du bassinet du rein survivront au moins 5 ans.
Une maladie nommée «hyponatrémie»
Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.
Les reins sont en charge de l'équilibre de notre organisme. En filtrant le sang, ils régulent la quantité d'éléments présents dans le corps. Si vous mangez une banane par exemple, ils s'activent pour éliminer l'excès de potassium.
Les reins sont des organes silencieux et discrets. Ils peuvent être malades sans qu'on le sache... Néanmoins une douleur au rein droit, gauche ou étendue peut être le signe de calculs ou d'une pyélonéphrite qui peuvent évoluer en insuffisance rénale. D'où l'importance du dépistage.
Ces chercheurs se positionnent donc à contre-courant de la plupart des études qui démontrent un effet globalement néfaste de l'alcool sur les reins dû à une augmentation de la tension artérielle, facteur de risque de l'insuffisancerénale.
Sans traitement, la tumeur va progressivement envahir le rein, les vaisseaux qui l'irriguent (veine rénale et veine cave), les organes voisins (glande surrénale, ganglions), voire migrer sous forme de métastases dans d'autres organes : le poumon (dans 75 % des cas), le foie, les os, le cerveau, etc.
D'autres examens sont ensuite indiqués pour visualiser d'éventuelles localisations secondaires de la maladie ou métastases. Les organes les plus souvent touchés dans le cas d'un cancer du rein sont les poumons, le médiastin, les os, le foie, l'autre rein et le cerveau.
Une fine aiguille est alors introduite dans le rein afin de prélever les fragments qui seront analysés. Grâce à l'anesthésie locale, cet examen n'est pas douloureux.