- supporter un changement du milieu, par exemple le climat. C'est le cas pour l'apparition progressive des poils (végétaux et animaux) ou des plumes. - échapper à de nouveaux prédateurs. Par exemple : camouflage ; changement de taille ou de forme ; vie nocturne ; vitesse de fuite, etc.
La théorie de la sélection naturelle permet d'expliquer et de comprendre comment l'environnement influe sur l'évolution des espèces et des populations en sélectionnant les individus les plus adaptés, et elle constitue donc un aspect fondamental de la théorie de l'évolution.
Adaptation des individus à leur environnement, succès reproductif et transmission de gènes avantageux, tout ces éléments forment ce qu'on appelle la sélection naturelle. Le terme "sélection naturelle" a été théorisé par Charles Darwin.
L'adaptation a donc pour objectif le maintien de la qualité de vie de ceux qui s'adaptent. Plusieurs approches d'adaptation existent. En zone côtière, les approches principales sont la protection, l'accommodation et le retrait.
protéger les personnes et les biens. éviter les inégalités devant les risques. limiter les coûts et tirer parti des avantages. préserver le patrimoine naturel.
Eh bien, l'adaptation est en fait indispensable pour protéger le bien-être de millions de personnes et d'espèces, et présente beaucoup d'avantages importants : Elle empêche des pertes futures (par ex. dégâts aux bâtiments, mauvaise santé) Elle offre des opportunités économiques.
La théorie de Darwin est une partie d'une théorie scientifique, celle de l'évolution des espèces. Selon lui, les espèces animales et végétales ont dû changer pour survivre, elles ont dû s'adapter aux variations de leur environnement.
Dérive génétique : processus par lequel les fréquences alléliques changent dans les populations à cause de biais aléatoires d'échantillonnage dans la transmission des allèles d'une génération à l'autre.
La sélection naturelle per se correspond simplement à un tri des individus les plus aptes à survivre ou à se reproduire, quelle que soit la raison pour laquelle ils possèdent une telle aptitude.
Un mécanisme évolutif : la sélection naturelle
Ainsi les mutations, la dérive génétique et la sélection naturelle, en modifiant les populations, sont les mécanismes responsables de l'évolution de la biodiversité.
La théorie de l'évolution suggère que toutes les espèces vivantes sont en perpétuelle transformation et subissent au fil du temps et des générations des modifications morphologiques comme génétiques. Ce concept a été présenté par Charles Darwin dans son ouvrage L'origine des espèces publié le 24 novembre 1859.
Oiseaux, renards et petits mammifères adaptent leur régime alimentaire au changement climatique. En conséquence, des chercheurs israéliens ont montré que la taille des animaux varie là où les changements sont les plus extrêmes.
Les animaux les plus robustes de la Terre pourraient bien vivre jusqu'à ce que le soleil cesse de briller. Également connus sous le nom d'oursons d'eau, les tardigrades, ces créatures microscopiques à huit pattes qui vivent dans l'eau, sont célèbres pour leur résistance.
On appelle adaptation le processus de modification d'un objet, d'un organisme vivant ou d'une organisation humaine de façon à rester fonctionnel dans de nouvelles conditions, ainsi que le résultat de ce processus.
Évolution de la structure génétique d'une population sur plusieurs générations successives. La dérive génétique est une modification aléatoire de la répartition et de la fréquence des différents allèles présents dans une population.
La dérive génétique est donc un mécanisme aléatoire (stochastique) qui va modifier la fréquence des allèles d'un gène dans la population en l'augmentant ou en la diminuant.
La sélection naturelle conserve les individus les plus aptes à se reproduire dans une population au cours des générations. La dérive génétique conserve aléatoirement certains allèles dans une population.
Les deux mécanismes sont vraisemblablement en jeu dans l'évolution des populations et des espèces, l'évolution des clades (macroévolution) procédant par changements graduels (rythme « reine rouge ») avec parfois des évènements de spéciation très rapide en lien avec des changements brutaux de l'environnement (« fou du ...
Ainsi, on peut en conclure, qu'alors que pour Lamarck, c'est le changement du milieu qui amène de nouveaux besoins et de nouvelles habitudes chez l'animal, ce qui le modifie, le transforme à la longue, Darwin propose un tout autre mécanisme de transformation.
Darwin était persuadé que le long cou des girafes était le résultat direct d'une sélection naturelle favorisant l'accès à la nourriture de ces grands mammifères en étant moins soumis à la concurrence.
Adaptation. Pour Piaget, l'intelligence n'est qu'une forme plus élaborée de l'adaptation biologique. L'adaptation d'un individu à son environnement est le résultat d'un processus de transformation tendant vers l'équilibre.