Humanité, impartialité, neutralité, indépendance, volontariat, unité et universalité : ces sept Principes fondamentaux résument l'éthique du Mouvement et guident l'action qu'il mène afin de venir en aide aux personnes qui en ont besoin pendant un conflit armé, une catastrophe naturelle ou d'autres situations d'urgence.
Ces principes et ces règles ont deux objectifs : protéger les personnes qui ne participent pas ou plus aux hostilités (blessés et prisonniers militaires et populations civiles) et limiter les méthodes et les moyens de faire la guerre.
Le droit des conflits armés vise à protéger les combattants agissant dans le cadre d'un conflit armé, mais aussi les blessés, les malades, les naufragés, le personnel sanitaire et religieux, les prisonniers de guerre, les correspondants de guerre, les parlementaires, le personnel des organismes de secours et de ...
Les principes d'humanité, de neutralité, d'impartialité et d'indépendance sont fondamentaux pour l'action humanitaire.
Les principes humanitaires offrent les bases de l'action humanitaire. Les principes humanitaires occupent une place centrale dans l'établissement et le maintien de l'accès aux populations touchées, que ce soit dans le cadre d'une catastrophe naturelle, d'un conflit armé ou d'une situation d'urgence complexe.
▸ Terrorisme . Ces décisions ont donc utilement rappelé que le droit international humanitaire ne reconnaît que deux types de conflits armés : les conflits internationaux et les conflits non internationaux.
Un conflit armé non international (ou conflit armé « interne ») désigne une situation de violence dans laquelle des affrontements éclatent de manière prolongée entre les forces gouvernementales et un ou plusieurs groupes armés organisés, ou entre de tels groupes, sur le territoire d'un État.
Locution nominale. (Droit) Branche du droit des conflits armés relatif aux droits et aux obligations des belligérants dans la conduite des hostilités et aux limitations relatives aux méthodes et moyens de guerre.
Les règles du Droit International Humanitaire sont : A- Appliquer les Conventions de Genève; b- Ne pas attaquer les civils ; c- Doter les civils d'armes défensives ; d- Interdire l'usage d'armes chimiques et biologiques.
Do no Harm (ne pas nuire) est, de la part de l'aide humanitaire et de la coopération au développement, un essai de monitorage de leurs activités ayant pour but d'éviter d'aggraver le climat d'instabilité et de violence.
Le fonctionnement de la Justice est régi par trois grands principes : l'indépendance, la gratuité et la publicité. La bonne tenue d'un procès est également soumise au respect de certaines règles d'équité.
Selon le droit humanitaire conventionnel, le conflit armé international désigne les conflits armés qui opposent deux ou plusieurs États parties aux Conventions de Genève, ainsi que les cas d'occupation militaire de tout ou partie du territoire d'un État signataire et les guerres de libération nationale (GI, GII, GIII, ...
Le droit de la guerre est un droit international, qui procède largement d'usages militaires devenus coutumes, celles-ci « codifiées » par des conventions (des traités), négociées, signées, ratifiées par des États, réunis ou non en Organisations intergouvernementales, dont l'ONU depuis 1945.
Le conflit armé international est un fait juridique international, tout comme l'était ce qu'on appelait la guerre, un fait juridique qui se constate, se qualifie, qualification à laquelle sont ensuite attachés des effets légaux. Il est en effet constitué, et donc constatable, à partir du recours effectif aux armes.
Même lorsque les conflits armés prennent fin, par des moyens militaires ou la négociation, les conséquences de la confrontation violente demeurent : atrophie des institutions sociales de base, régimes démocratiques faibles, pratiques de corruption dans la distribution des ressources naturelles, circulation des armes et ...
Gasser, il est généralement admis que « les conflits armés non internationaux sont des affrontements armés qui se produisent sur le territoire d'un État, entre le gouvernement d'une part, et des groupes d'insurgés d'autre part.
Ils peuvent être des conflits d'idées, des conflits d'intérêts, des conflits de personnes ou encore des conflits de position.
En général, les déplacements de populations pendant les conflits fragilisent la cohésion et les relations sociales, ce qui peut conduire à la promiscuité. Comme indiqué, les forts taux de prévalence s'expliquent aussi par la pauvreté, qui semble également creuser les disparités entre hommes et femmes.
Des mesures doivent être prises pour assurer le respect du DIH. Les États ont l'obligation d'enseigner les règles de ce droit à leurs forces armées et au grand public. Ils doivent prévenir et, le cas échéant, réprimer toutes les violations dont ce droit peut faire l'objet.
Qu'est-ce que la protection transversale? La protection transversale est le fait d'incorporer des principes de protection et de promouvoir l'accès significatif, la sécurité et la dignité dans l'assistance humanitaire.
Le droit international humanitaire (DIH) est le droit qui réglemente les situations de conflits armés internationaux ou internes. Son objectif est double : limiter les cibles et les formes de la violence armée et garantir des secours aux populations victimes du conflit.