Les produits locaux ne sont pas officiellement définis et plusieurs initiatives publiques ou privées déterminent leurs propres critères géographiques, de quelques kilomètres à 640 km. Ainsi, ces produits sont difficilement caractérisables.
Manger local, cela veut dire privilégier la consommation d'aliments dont la prove- nance est proche de nous, que ce soit à l'échelle pro- vinciale, régionale, ou même dans son propre jardin !
La plateforme « Fraisetlocal.fr », c'est une manière très simple de trouver ces endroits où acheter des produits frais et des produits locaux à côté de chez soi, qui sont ce qu'il y a de meilleur pour notre santé et, bien souvent, pour notre portefeuille ».
Acheter local permet de valoriser le travail des producteurs de sa région. Qu'ils soient agriculteurs, éleveurs, maraichers… En privilégiant des aliments produits près de chez vous, vous leur apportez votre soutien. Certains circuits courts permettent d'acheter directement chez le producteur.
Un produit de terroir c'est une matière première typiquement locale, parfois endémique, qui est transformée selon des méthodes ancestrales en un produit particulier qui a du sens dans son environnement géographique et culturel. C'est en quelque sorte la quintessence d'une région qui atterrit dans votre assiette!
Mais qu'est-ce que ça veut vraiment dire, « acheter local »? En gros, c'est favoriser l'achat de produits manufacturés et cultivés au Québec, faire ses achats dans des commerces indépendants du quartier ou préférer les entreprises québécoises aux grandes multinationales.
Sous cet angle, la production locale peut être perçue comme l'ensemble des produits issus de modes de production sains (agriculture) ou répondant à des savoirs faire de la tradition (filières techniques), en opposition aux approches de production intensive dans les circuits longs.
«Les produits locaux vont toujours coûter plus cher parce que le consommateur ne bénéficie pas des économies d'échelle que les grandes productions procurent au détail.
Personne, pays, entreprise qui produit un bien économique. 2. Homme qui produit les substances alimentaires qui lui sont nécessaires (ou les fait produire par un autre). [La production, qui succède à la prédation, est le deuxième stade du développement économique des sociétés humaines.]
Le principe est simple : un groupe de consommateurs s'associent et payent à l'avance un producteur de leur coin pour qu'il leur fournisse chaque semaine un panier d'aliments frais et de saison.
Les fruits locaux sont bien plus riches en vitamines et leurs qualités nutritives sont augmentées, rendant les fruits encore meilleurs pour la santé, car les producteurs en prennent soin, et le transport est court.
Le locavorisme ou mouvement locavore est un mouvement international prônant l'achat de produits alimentaires locaux (en) et la consommation de nourriture produite dans un rayon allant de 100 à 250 kilomètres maximum autour de son domicile (le rayon retenu continuant de faire débat).
local adj. Particulier à un lieu, à une région, à un pays. locale n.f. Dans un journal, rubrique particulière à une localité, une ville...
Le Cameroun n'a pas encore d'unité de transformation de pointe des produits comme le poivre, l'oignon, le persil, l'amidon ou encore l'ail, des intrants importés exclusivement par des grandes industries locales.
Une production locale pour plus de résilience
La production locale d'énergie répond à de forts enjeux tels que la volonté de changer concrètement la gouvernance des questions énergétiques, de faire progresser la neutralité carbone et de réduire la consommation d'énergie dans les territoires.
Le (très) long voyage des aliments
Privilégier l'achat d'aliments locaux permet de minimiser les émissions de gaz à effet de serre (GES) liées à leur transport, car ils sont issus de circuits courts.
Pourquoi consommer local ? Consommer local permet notamment de : Préserver l'environnement en limitant les transports (émissions de CO²) des aliments d'un point à un autre. Apporter son soutien à l'économie locale en soutenant les producteurs et les commerçants locaux.
Promouvoir le consommer local suppose nécessairement la mise en place d'un partenariat dynamique entre l'Etat, les acteurs du consommer local, la presse et la recherche qui doit assurément être réhabilitée et replacée au centre du dispositif.
À l'instar des autres villes du département de la Charente, Cognac possède une gastronomie très riche. En dehors du Pineau des Charentes, vous pouvez y déguster de nombreuses autres spécialités du terroir telles que le melon charentais, les cagouilles (escargots) ou la truite de Gensac.
Citons encore les beignets (ou merveilles), la royannette (sardine en chocolat) et les cultissimes « bois cassés » : il s'agit de bonbons en sucre cuit, originaire de Saint-Jean d'Angély, dont la forme étirée rappelle, en beaucoup plus petit, celles des bâtons drossés sur les côtes depuis l'océan.
Aussi surnommée « l'or vert » de l'île, la salicorne est un autre produit à découvrir, incontournable de la gastronomie de l'île de Ré : également récoltée dans les marais salants, cette plante est parfois appelée « cornichon de la mer » pour son caractère iodé et sa saveur salée.