Le risque anthropique se caractérise par un accident lié à une activité humaine (exemples : site industriel, canalisations de transport de matières dangereuses…) et pouvant entraîner des conséquences graves pour le personnel, les populations, les biens, l'environnement ou le milieu naturel.
Les risques technologiques, d'origine anthropique, sont au nombre de quatre : le risque nucléaire, le risque industriel, le risque de transport de matières dangereuses et le risque de rupture de barrage. En outre, les risques miniers (mouvements de terrains, phénomènes hydrauliques...)
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Un risque peut être d'origine naturelle ou peut avoir des causes purement anthropiques (risques technologiques, risques géopolitiques par exemple). Les risques « naturels » se rapportent à des aléas qui font intervenir des processus naturels variés : atmosphériques, hydrologiques, géologiques ou géomorphologiques.
Qualifie tout élément provoqué directement ou indirectement par l'action de l'homme: érosion des sols, pollution par les pesticides des sols, relief des digues, ... .
Une tentative de définition générale des facteurs des risques humains serait qu'il s'agit d'une catégorie de risques professionnels relatifs aux conditions de travail dont les effets portent atteinte à la santé physique et mentale des travailleurs, regroupant notamment le stress, le harcèlement (loi du 6 août 2012 sur ...
Concrètement, on peut classer les événements suivants parmi les risques sociaux : maladie, maternité, invalidité, vieillesse, accident du travail, maladie professionnelle, décès, charges de famille et chômage.
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
Le danger est la capacité à créer un dommage. C'est est un des éléments qui conditionne le risque, qui est quant à lui la combinaison d'un danger et de l'exposition à ce danger. Ainsi, un risque peut être faible voire nul, même en présence d'un grand danger.
C'est un changement juridique d'importance qui marque le début du risque social. L'ensemble des événements suivants peuvent désormais être considérés comme des risques économiques et sociaux : maladie, maternité, invalidité, vieillesse, accident du travail, maladie professionnelle, décès, charges de famille et chômage.
risque zéro l.m.
Risque considéré comme nul. Celui qui entreprend ou suscite une action considère qu'il prend un risque nul lorsqu'il espère ne prendre aucun risque en accomplissant cette action.
Défaut de qualité, erreur de planification, sous-capacité de production, dommages matériels, problème de sourcing des fournisseurs, écueil technique, rupture du flux logistique font partie des risques les plus fréquents et à l'impact opérationnel le plus fort.
Lorsque l'événement relève du domaine du probable ou du potentiel, cela renvoie à la notion de risque. En revanche, lorsqu'il est effectif, l'événement peut être qualifié de perturbation, d'accident, de crise, de désastre ou de catastrophe.
Si cet aléa peut entraîner des dommages humains ou matériels, on parle de risque. Lorsque l'aléa se produit brutalement et qu'il provoque des victimes humaines et des dégâts matériels importants, on parle de catastrophe.
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
Les missions du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) sont désormais exercées depuis le 1er janvier 2020 par le comité social et économique (CSE).
La prévention primaire vise à :
Elle a des effets positifs sur la santé et sur la performance de l'organisation à plus long terme. Elle est considérée comme la plus efficace mais c'est la moins utilisée. L'objectif que vise la prévention primaire est à la fois la clef de la réussite et le frein de son utilisation.
Le risque famille-maternité est essentiellement composé du sous-risque famille puis du sous-risque maternité : Les prestations du sous-risque famille sont composées d'allocations familiales, de rentrée scolaire, bourses d'études…
On parle des « risques sociaux » qui engendrent une baisse des revenus ou une hausse des dépenses, susceptibles de compromettre la sécurité économique de leur foyer. La protection sociale vise la retraite, la santé, la prévoyance, la dépendance, l'action sociale (aide et allocations familiales pour les bas revenus).
D'après les statistiques rendues par le site de la Sécurité sociale, c'est le régime de protection sociale le plus important, puisqu'il concerne presque 90 % de la population française. Il se subdivise en 4 branches : maladie et accidents du travail, vieillesse, famille, recouvrement.
Inondations, mouvements de terrains, incendies de forêt, avalanches, tempêtes, submersions marines, gonflements ou retraits des sols argileux, séismes, éruptions volcaniques, à des fréquences et à des degrés divers sont des évènements à l'origine de dommages plus ou moins importants, voire de catastrophes.
Les risques mécaniques englobent la coupure, la lacération ou la piqûre; l'écrasement; le contact avec des machines; les chutes de hauteur; les glissades, trébuchements et chutes de même niveau ainsi que l'effondrement des sols dans les tranchées.
Le risque environnemental peut se matérialiser par une pollution de l'eau, de l'air ou encore des sols, des sous-sols ou des eaux souterraines du site lui-même. Pour gérer ce type de risque, l'entreprise peut prendre différentes mesures. Tout d'abord, l'entreprise doit prendre des mesures préventives.