Le risque politique correspond à "l'ensemble des évènements ou décisions d'ordre politique ou administratif, nationales ou internationales pouvant entraîner des pertes économiques, commerciales ou financières pour l'entreprise, importatrice ou exportatrice, ou investissant à l'étranger".
(Political Risk Index), du même Institut BERI, est fondé sur une technique identique. Il mesure la situation politique à six mois, un an, cinq ans ou dix ans d'un pays donné. D'autres indices, utilisant une méthode similaire, mesurent le risque- pays et notamment la capacité d'endettement des différents pays du monde.
Exemples de risques pays : instabilité politique dans un pays, corruption, mais aussi conditions climatiques extrêmes, risques sanitaires, ... Ces risques font l'objet de mesure de la part de plusieurs organismes comme la COFACE, l'OCDE, Ducroire...
2Les principaux risques financiers auxquels sont exposées les entreprises sont les risques de crédit (ou de contrepartie), liquidité, taux d'intérêt, change, actions et matières premières.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Un risque bancaire est un risque auquel s'expose un établissement bancaire lors d'une activité bancaire. L'activité bancaire, par son rôle d'intermédiation financière et ses services connexes, expose les établissements bancaires à de nombreux risques.
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Le comité de Bâle définit le risque opérationnel comme le risque de pertes provenant de processus internes inadéquats ou défaillants, de personnes et systèmes ou d'événements externes. Ces risques correspondent aux erreurs du personnel, à la défaillance des systèmes, des risques technologiques, etc.
L'évaluation du niveau global de risque pays repose sur une Note Pays structurelle, mesure du risque de transfert et de convertibilité, de confiscation et d'expropriation et de qualité de l'environnement des affaires (6 niveaux allant de AA à D) ; et un Indicateur d'Alertes à Court Terme (4 niveaux allant de 1 à 4).
Le risque de non-conformité est défini par le Comité de Bâle 1 comme un risque de sanction judiciaire, administrative ou disciplinaire, de perte financière, d'atteinte à la réputation, du fait de l'absence de respect des dispositions législatives et réglementaires, des normes et usages professionnels et déontologiques, ...
L'environnement des affaires se compose de nombreux aspects ou dimensions qui inte`grent notamment la gouvernance économique de l'État. Ces dimensions s'étendent aux domaines tels que la réglementation et la fiscalité des entreprises, les lois, l'ordre, le judiciaire, les infrastructures et les services financiers.
Pilotée par les cadres de l'entreprise, l'analyse en interne est la meilleure approche pour une véritable gestion des risques politiques au regard des spécificités liées aux projets d'internationalisation de l'entreprise, qui pourra prendre la forme de scenarii.
Leur objectif est d'évaluer le risque lié à un prêt ou à un investissement dans un pays cible, en étudiant les facteurs politiques et économiques déterminant ses perspectives. Dans les deux cas, il s'agit d'un pari sur la situation politique et les performances d'un État donné [17]
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
L'objectif d'une analyse de risques consiste à éliminer ou réduire le niveau de risques en mettant en place des mesures de prévention adéquates. Elle fait partie intégrante d'un bon système de gestion de la santé et sécurité, et permet d'assurer un lieu de travail sain et sécuritaire pour tous.
C'est un changement juridique d'importance qui marque le début du risque social. L'ensemble des événements suivants peuvent désormais être considérés comme des risques économiques et sociaux : maladie, maternité, invalidité, vieillesse, accident du travail, maladie professionnelle, décès, charges de famille et chômage.
Qu'est-ce que le risque stratégique ? Les risques stratégiques désignent les risques qui affectent une stratégie de gestion de l'entreprise ou les objectifs stratégiques. Ces risques peuvent être des incertitudes ou des opportunités et ils correspondent généralement aux problèmes clés qui préoccupe la direction.
Le risque actions correspond à la possibilité de subir une perte en capital entre le moment de l'achat et celui de la revente des titres. Cette potentialité est pris en compte par la prime de risque. À savoir, l'écart de rendement attendu d'une action par rapport à un actif dit sans risque.
Les risques non financiers recouvrent les risques qui ne sont pas volontairement pris par les banques dans l'exercice de leurs activités (contrairement par exemple aux risques de crédit et de marché) mais subits, une fois les transactions réalisées, du fait de contraintes externes de nature légale ou règlementaire ou ...