Le soja torréfié à point peut être utilisé comme source de protéines non dégradable pour les ruminants. Ils ont alors moins besoin de protéines tirées de sources moins appétentes comme la farine de viande et la farine de sang.
Ce produit est couramment donné comme aliment aux porcs, aux poulets de chair et aux poules pondeuses. tourteau de soja dégraissé, contenant des coques de soja. Les coques sont facilement digérées par le bétail ruminant. Ce produit est souvent utilisé comme complément protéique pour les ruminants domestiques.
Elle est largement utilisée dans la fabrication d'aliments industriels, la préparation de sauces pour les salades, la production de margarines. En fait, souvent, lorsqu'il est indiqué « huile végétale » sur la liste des ingrédients d'un produit, il s'agit soit d'huile de palme, soit d'huile de soja.
Pourquoi les vaches mangent du soja? Le tourteau de soja présente un grand intérêt nutritionnel grâce à ses très hautes teneurs en énergie et surtout en protéine ainsi qu'à sa composition très équilibrée. Son prix attractif en a fait un élément fréquemment utilisé dans les rations des bovins viandeux ou laitiers.
Vous pouvez remplacer l'apport en soja par d'autres sources de protéines tel que le pois, la féverole ou le tournesol. Attention en rien cela ne remplacera le soja, qui reste la céréale la plus protéinée. La poule consomme certains restes de table mais cela ne doit pas constituer la base de la ration journalière.
En effet, ces animaux possèdent dans leur rumen (un de leurs 4 estomacs) des bactéries qui dégradent la cellulose : une fibre très solide des végétaux. Cette fermentation naturelle produit du méthane qui est émis par éructation. Or, le méthane est un gaz qui contribue à l'effet de serre.
Le terme « soya » est inspiré de l'anglais soy, lui-même emprunté au japonais, tandis que le terme « soja » vient de l'allemand. Dans les communautés francophones de l'Amérique du Nord, on a adopté le dérivé anglais, tandis que dans les pays francophones de l'Europe, on a choisi la forme allemande.
Les haricots de soja (bouillis) apportent 160 calories par portion de 100 g, pour 16 g de protéines et très peu de gras. C'est donc un aliment parfait pour les personnes qui souhaitent réduire leur apport en graisses animales. Il est aussi une source de vitamines C, de fer, de calcium et de fibres.
Le Brésil et les États-Unis fournissent les deux tiers du soja consommé dans le monde (USDA, 2020). La production de soja au Brésil a progressé très fortement depuis la fin des années 1980, passant de moins de 20 à plus de 120 millions de tonnes en 30 ans.
Les saponines contenues dans le soja auraient, outre leur effet antioxydant, et leur action bénéfique sur certains paramètres du cholestérol sanguin (20), une action anti-inflammatoire (21), et une action anticancéreuse sur le cancer du colon (22) et les métastases pulmonaires (23).
Pour ces raisons, les autorités sanitaires appellent à une consommation modérée de soja. Une consommation de 50 à 100 g par jour, environ un produit par jour, représenterait en gros un apport d'environ 25 à 40 mg d'isoflavones, et serait plutôt bénéfique pour la santé.
Le soja peut avoir de nombreux bienfaits pour notre organisme, mais cette légumineuse contient également des phyto-œstrogènes. Des molécules agissant comme des œstrogènes et qui peuvent alors perturber notre système endocrinien.
Mais le pays en importe beaucoup, destiné à l'alimentation animale. Ce soja génétiquement modifié est conçu pour résister au glyphosate : de nombreuses associations environnementales dénoncent les conséquences dramatiques de l'utilisation de cet herbicide sur les populations locales, notamment en Amérique du sud.
C'est également une des productions agricoles les plus rentables. Mais, en Europe, le soja est surtout utilisé pour nourrir les animaux d'élevage (porcs, poulets, bétail, saumons...). «Le soja, on en a besoin aujourd'hui en Europe parce qu'il apporte en particulier de la protéine pour nourrir les animaux.
Son principal avantage est sa richesse en protéines végétales, très apprécié des végétariens et végétaliens. En effet, la graine de soja grillée est la leader incontestée de la teneur en protéines du monde végétal, avec une teneur en protéines de 42 % de son poids !
La cuisson des protéines de soja consiste donc simplement à plonger les morceaux dans 2 fois leur volume d'eau bouillante, et ce, durant 10 minutes environ. Il est aussi possible de faire cuire la protéine de soja dans du bouillon végétal, ou de la faire revenir dans de l'huile à la poêle.
Le soja doit être cuit
La graine de soja contient des composants toxiques pour l'homme. C'est pourquoi, elle ne doit jamais être consommée crue. Le haricot mungo, quant à lui, appartient à la famille des fabacées. Il est cultivé comme plante potagère pour ses graines.
Le soja est un légume qui fait partie des régimes asiatiques depuis des centaines d'années. Le soja est utilisé pour fabriquer le tofu, le lait de soja, la farine de soja, le miso et de nombreux autres aliments.
Plus de 50% de cette surface est en Amérique du Sud, avec le Brésil qui comptabilise à lui seul près de de 37 millions d'hectares pour la culture du soja. Les trois principaux pays producteurs sont le Brésil, les États-Unis et l'Argentine.
Le soja protège et répare notre peau, plus particulièrement grâce aux effets antioxydants des isoflavones, les extraits les plus connus de cet ingrédient. D'une part, ils agissent contre le photo-vieillissement puisqu'ils protègent la peau contre le stress oxydatif induit par les rayons UVB.
Le soja renferme une grande quantité de protéines, de glucides, de lipides, de vitamines A et B, de phosphore, de potassium, de calcium, de magnésium, de zinc et de fer. Le soja dans l'alimentation humaine est utilisé, surtout en Chine et au Japon, sous plusieurs formes.
Les boeufs émettent une grande quantité de méthane, un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le dioxyde de carbone. Leur système digestif leur fait produire beaucoup plus de méthane que les cochons, les poules ou les dindes.
En 2009, une étude de l'ONG Greenpeace pointait l'élevage intensif de bovins comme la principale cause de déforestation en Amazonie.
Quel impact les gaz émis par les vaches ont-ils sur la planète ? Si vous pensez que les gaz qu'émettent les vaches sont plus polluants que ceux des pots d'échappement de voitures, c'est faux, faux, et re-faux ! Contrairement aux idées reçues, les vaches émettent plus de rots que de pets !