Les grands secteurs de production : primaire, secondaire et tertiaire. La classification de l'économie en trois secteurs principaux selon la nature de l'activité résulte des travaux de l'économiste anglais Colin Clark sur “Les conditions du progrès économique” (1947), repris par le théoricien français Jean Fourastié.
Le secteur primaire regroupait l'agriculture, la pêche et les activités extractives, le secteur secondaire les activités de transformation et notamment l'ensemble de l'industrie, et le secteur tertiaire les services marchands et non-marchands.
Traditionnellement la répartition de l'ensemble de l'activité économique est répartie en trois grands secteurs économiques (primaire, secondaire, tertiaire).
Le secteur tertiaire recouvre un vaste champ d'activités qui s'étend du commerce à l'administration, en passant par les transports, les activités financières et immobilières, les services aux entreprises et services aux particuliers, l'éducation, la santé et l'action sociale.
Le secteur primaire regroupe l'ensemble des activités dont la finalité consiste en une exploitation des ressources naturelles : agriculture, pêche, forêts, mines, gisements.
Le secteur secondaire regroupe l'ensemble des activités consistant en une transformation plus ou moins élaborée des matières premières (industries manufacturières, construction).
Le secteur tertiaire maintenant, regroupe toutes les autres activités qui ne font pas partie des deux autres secteurs. Ce secteur produit uniquement des « services ». Ce pôle est de loin le plus important dans tous les pays développés.
Le secteur secondaire regroupe les entreprises qui ont pour activité principale la transformation de la matière première issue du secteur primaire, comme par exemple l'industrie agroalimentaire ou la construction automobile.
Le secteur secondaire comprend les secteurs de transformations des biens primaires en produits plus élaborés. Il regroupe ainsi les activités industrielles au sens large du terme ainsi que le bâtiment et les travaux publics.
Les industries primaires sont liées à l'extraction des ressources de la terre et à l'agriculture. Le secteur secondaire regroupe les activités liées à la transformation des matières premières issues du secteur primaire. Il comprend des activités aussi variées que l'industrie du bois, l'aéronautique et l'électronique…
le secteur quaternaire
Secteur d'activité qui regroupe les entreprises exerçant des activités de recherche, de conseil, de louage ou de concession de services à forte valeur ajoutée de matière grise.
Savez-vous que les principaux secteurs d'activité en France sont l'agriculture, l'industrie, l'énergie, le commerce et artisanat, tourisme, télécommunication et Internet, recherche, finance et assurance.
L'industrie fait partie du secteur secondaire et intègre des activités très variées. L'industrie comprend aussi bien l'agroalimentaire, l'automobile, les métiers du bois ou encore du papier, la plasturgie, le textile, l'aéronautique, l'électronique, les métiers du pétrole, ou encore la construction.
Nous vous proposons ici de nous attacher à trois secteurs promis à un bel avenir selon l'ensemble des analystes financiers : le commerce bio et équitable, la rénovation énergétique et les services aux personnes dépendantes.
Le secteur primaire fournit les matières premières et les sources d'énergie pour le secteur secondaire (industrie), mais également rend possible certaines activités tertiaires, comme les transports, la construction, le commerce... Actuellement c'est le secteur d'activité qui occupe le plus de personnes dans le monde.
Le secteur informel est officiellement défini comme « un ensemble d'unités produisant des biens et des services en vue principalement de créer des emplois et des revenus pour les personnes concernées.
Le secteur tertiaire est aujourd'hui le secteur qui crée le plus d' emplois en France. Son développement s'explique par la hausse du niveau de vie et l'accroissement du temps libre. La généralisation du travail des femmes est également un facteur important.
La théorie du dualisme économique suppose que le secteur moderne se caractérise par une technologie capitalistique associée à un besoin en capital humain, de qualité élevée, alors que le secteur agricole faiblement intensif en capital nécessite un niveau de capital humain plus basique.