La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
L'hypocondrie est une anxiété excessive par rapport à la santé. La personne hypocondriaque peut passer sa vie à s'inquiéter pour des maladies imaginaires. Quels sont les symptômes de ce trouble ?
Dans la majorité des cas, la phobie se traite efficacement par des autosoins, de l'éducation psychologique en groupe, une intervention, une psychothérapie, de la médication, ou par une combinaison de certains de ces traitements.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Dans le cas de la peur, cela passe par la libération des hormones du stress : la noradrénaline et l'adrénaline. Une fois relâchées dans le cerveau et dans le sang, elles entraînent la modification des paramètres physiologiques du corps, le préparant à agir.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
1. Sentiment d'angoisse éprouvé en présence ou à la pensée d'un danger, réel ou supposé, d'une menace (souvent dans avoir, faire peur) ; cette émotion éprouvée dans certaines situations : Trembler de peur. 2. Appréhension, crainte devant un danger, qui pousse à fuir ou à éviter cette situation : La peur du ridicule.
Arrêter de juger nos pensées et nos émotions. Juste les laisser être là, les accepter, les laisser vivre. Ne plus se dire “telle sensation est négative, telle émotion est positive”. Il ne faut plus avoir peur de nos émotions et de nos angoisses.
La prise en charge des phobies relève des compétences du médecin traitant mais aussi du psychiatre, du pédopsychiatre ou du psychologue. Le médecin du travail et le médecin scolaire peuvent également faire partie du cercle de professionnels qu'il est important d'informer et de solliciter lors de cette prise en charge.
Deux types de phobophobies existent : La phobophobie accompagnée d'une phobie spécifique : le patient souffre initialement de la peur d'un objet ou d'un élément –aiguille, sang, tonnerre, eau, etc. –, d'un animal –araignées, serpents, insectes, etc.
Ils se situent dans une région du cerveau nommée complexe amygdalien (ou amygdale), structure composée de plusieurs noyaux connue pour être le siège de la peur. L'amygdale est au centre du circuit cérébral de la peur.
C'est pour cette raison que, sous l'influence du système nerveux parasympathique, notre respiration s'arrête, nos battements cardiaques ralentissent, notre système gastro-intestinal est affecté, etc. Nous restons tétanisés devant le danger potentiel.
L'anxiété généralisée ou trouble anxieux généralisé
Elle est en état de vigilance extrême vis-à-vis de son entourage et de son environnement ; différents symptômes physiques (maux de tête, douleurs musculaires, fatigue, insomnies, sueurs, palpitations...).
Trois antidépresseurs ont récemment démontré leur efficacité dans l'anxiété généralisée: la venlafaxine, la paroxétine et l'escitalopram.
Une phobie est caractérisée par la peur irrationnelle d'une situation particulière, comme la peur de prendre l'ascenseur, ou d'un objet spécifique, comme la peur des araignées. Mais la phobie se situe au-delà d'une simple peur : c'est une véritable angoisse qui s'empare des personnes qui y sont confrontées.
La peur se manifeste à plusieurs niveaux : physiologique (accélération du rythme cardiaque, sudation…), comportemental (immobilisation, fuite, combat) et subjectif (vécu émotionnel qui peut être verbalisé chez les humains).
La crainte emprunte de nombreuses voies neuronales dans le cerveau. L'amygdale représente un centre essentiel dans ce réseau. Elle est d'ailleurs capable de générer une réponse physiologique à un danger avant même que celui-ci ne soit perçu consciemment.
Les personnes souffrant de lypémanie ou dépression sévère présentent une humeur dépressive presque toute la journée, presque tous les jours, une tristesse constante voire des pleurs, une fatigue et perte d'énergie, une perte de l'intérêt et du plaisir (elles n'ont plus envie de rien et plus rien ne leur fait plaisir).
L'anxiété est fréquente en cas de dépression. Elle s'exprime physiquement mais également psychologiquement. Ainsi, la personne ressent une peur sans forcément de raison apparente. Cette angoisse peut être amplifiée par un sentiment de solitude et d'abandon.
Les signes physiques du surmenage
Lorsque vous êtes surmené, vous pouvez ressentir des symptômes du surmenage comme des douleurs diffuses, des tensions musculaires, mal de dos (lombalgie), etc. D'autres symptômes du surmenage comme des vertiges ou des maux de tête peuvent apparaître.