La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
La proposition subordonnée de conséquence peut être introduite par : De (telle) sorte que. De (telle) manière que. En sorte que.
La proposition subordonnée circonstancielle de conséquence (ou consécutive) exprime le résultat du fait exprimé dans la principale. Cette proposition est introduite par une locution conjonctive de subordination ou annoncée dans la principale par un système corrélatif.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de cause (ou subordonnée causale) indique l'origine, la raison d'un fait ou d'une action. Elle est introduite par une conjonction de subordination (parce que, puisque, comme, attendu que, vu que, étant donné que, sous prétexte que, non que, soit que… soit que…)
Les termes et structures qui expriment la conséquence sont : donc, alors, ainsi, en conséquence, par conséquent, c'est pourquoi, si bien que, de manière que, de façon que, de sorte que, si … que, tellement … que, au point de/que, à tel point que, un tel … que, une telle … que, de tels … que, de telles … que, il suffit ...
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
La subordonnée conjonctive circonstancielle de cause est introduite par les conjonctions parce que, puisque, comme, vu que, sous prétexte que, etc. Il est arrivé en retard parce que sa voiture est tombée en panne.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
Définition. La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
❯ Elle peut être exprimée par une proposition subordonnée circonstancielle, introduite par : ▸ parce que. ▸ comme, puisque, étant donné que, vu que (cause incontestable) → Puisque vous êtes là, nous pouvons partir.
Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de temps est introduite par une conjonction de subordination exprimant le temps et est complément circonstanciel de temps de la proposition principale. Les feuilles tombent quand l'automne arrive.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
La subordonnée circonstancielle de temps sert à situer l'action dans le temps. Elle peut exprimer : la simultanéité : l'action de la phrase où est enchâssée la subordonnée a lieu en même temps que l'action de la subordonnée. [Pendant que je travaillais], il écoutait de la musique.
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction que et la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif que. La proposition complétive conjonctive se rapporte à un verbe tandis que la proposition relative complète un nom.
1. Ce qui est produit nécessairement par quelque chose, qui en est une suite logique : La décision est lourde de conséquences. 2. Caractéristique d'une formule résultant d'une règle d'inférence.
Suite d'un événement ou d'une action. Résultat, conclusion, répercussion retombée qui est engendré. Exemple : Des conséquences désastreuses.
Elle a froid, c'est pourquoi elle tremble. Dans l'exemple précédent, "c'est pourquoi elle tremble" exprime la conséquence de la première proposition. Elle a froid donc elle tremble. Dans l'exemple précédent, "donc elle tremble" exprime la conséquence de la première proposition.
Connecteurs exprimant la conséquence : donc, ainsi, c'est pourquoi, si bien que, de sorte que,... Connecteurs exprimant l'opposition : mais, or, pourtant, cependant, bien que, même si,... Connecteurs exprimant l'addition : et, en outre, de plus, de même que, ...
La conséquence est le résultat d'une cause, on la trouve souvent derrière « donc », « par conséquent », « si bien que », etc. Le but est une intention, on le trouve souvent derrière « pour », « afin que », « de peur que », etc.