Le symptôme principal de la lombalgie est une douleur locale au niveau des lombaires. Elle est plutôt diffuse et continue. Néanmoins, si la lombalgie est provoquée par une lésion, la douleur peut surgir de façon soudaine et intense. L'intensité de la douleur peut s'intensifier ou s'atténuer si vous changez de position.
La lombalgie, appelée communément « mal de dos », « lumbago » ou « tour de rein », est une douleur, souvent intense, au niveau des vertèbres lombaires, situées en bas du dos. En cas de lombalgie, on peut aussi ressentir un sentiment de blocage ou des difficultés à faire certains mouvements.
Le traitement du mal de dos repose sur la prescription de médicaments contre la douleur, de relaxants musculaires et, éventuellement, de séances de kinésithérapie (dont le bénéfice a plutôt été montré pour les lombalgies dites subaiguës, c'est-à-dire durant plus de 4 semaines).
Les causes de la lombalgie chronique sont multiples, difficiles à identifier et souvent intriquées : usure des disques intervertébraux, arthrose vertébrale, déformations de la colonne vertébrale, antécédents de traumatisme du dos.
Du fait de ses retentissements individuels, sociaux, professionnels et économiques c'est la forme la plus grave de lombalgie commune. Très souvent les caractéristiques de la douleur changent et la lombalgie chronique devient un "syndrome douloureux chronique".
Les douleurs du bas du dos, ou lombalgies, sont parfois qualifiées de douleurs des reins. Or c'est la colonne vertébrale, et non le rein, qui est à l'origine de ces douleurs. De nombreuses pathologies du rachis, en particulier secondaires à une arthrose, peuvent entraîner des douleurs lombaires souvent bilatérales.
La lombalgie se soigne, mais comment ? Le lumbago peut durer jusqu'à 4 mois et sa guérison est parfois longue. Sa durée dépend de l'intensité de votre douleur et du moment à partir duquel vous déciderez de vous prendre en charge. Afin d'éviter la lombalgie ou de prévenir les récidives, vous devez agir !
La position idéale pour ceux qui souffrent de maux de dos est de dormir sur le côté, c'est-à-dire dans la position fœtale classique. Cette position est excellente car elle maintient les courbes naturelles de la colonne vertébrale.
BOUGER : ne pas rester en mode "canapé"
Quand un lumbago survient, ça peut être très douloureux et rendre même le mouvement quasi impossible mais il faut bouger autant que vous le pouvez. Si possible, allez marcher, si impossible de marcher, essayez de mobiliser un peu les jambes quand même, étirer le bas du dos.
L'ibuprofène ou le kétoprofène sont des exemples typiques. Ces médicaments possèdent un effet antalgique et analgésique efficace. Ils peuvent être prescrits pour soulager l'arthrose ou, dans le cas présent, une douleur du dos. L'effet de l'ibuprofène est optimal si les prises sont espacées de 6 heures au minimum.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Les principaux actifs anti inflammatoires sont le diclofenac, l'acide niflumique et l'ibuprofene. Le diclofenac, se trouve dans Antacalm, Diclofenac Mylan, les médicaments des gammes Voltaren et Flector.
La lombalgie substitue une fatigue nerveuse à une fatigue physique. La fatigue nerveuse augmente à cause du stress : peur de la douleur, peur de ne pas guérir, … Cette fatigue perturbe le sommeil. La fatigue physique diminue parce que souvent, à tort, l'activité physique diminue.
Les signes et les symptômes de la lombalgie
Vous pourrez souffrir de douleur au bas du dos, dans les fesses, les jambes. La douleur peut aussi irradier vers le bas du ventre, dans l'aine ou les organes génitaux.
Les lombalgies peuvent être soit aiguës soit chroniques mais quand on parle de lumbago cela désigne exclusivement une lombalgie aiguë. Les symptômes du lumbago sont faciles à identifier.
Lorsque la hernie discale se situe au niveau du bas du dos, la douleur dans une jambe (la « sciatique ») peut s'accompagner de raideur, de sensations de brûlure, de fourmillements ou d'engourdissement dans la jambe ou le pied.
La gravité d'un lumbago n'est pas proportionnelle à la douleur. S'il est vrai que la douleur est intense et apparaît brutalement, elle disparaît spontanément dans 90 % des cas en 6 à 8 quelques semaines, sachant qu'une partie, près de la moitié, disparaît en 48 heures ; 10 % deviennent des lombalgies chroniques.
Le paracétamol est le médicament de premier choix, son efficacité est modérée mais supérieure à celle d'un placebo. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ibuprofène, diclofénac...)
En cas de sciatique, la douleur irradie dans une fesse et dans une jambe. A distinguer du mal rénal qui se loge dans les côtés de la colonne jusqu'en bas de l'abdomen. En cas de calculs rénaux (cristallisation de sels minéraux et d'acides), une douleur intense et soudaine dans le dos peut aussi survenir.
Douleur musculaire au dos : spasmes et contractures
Du fait de ces insertions et de la mobilité vertébrale, les douleurs musculaires vont surtout être des spasmes, des contractures, qui vont « bloquer » les vertèbres dans de mauvaises positions ou limiter la mobilité dorsale.
Une perte de mobilité au niveau de cette partie du dos entraîne des tensions tissulaires à l'origine d'une douleur. Cependant, cette lombalgie peut également avoir un impact sur les jambes. En effet, la contrainte tissulaire peut provoquer un frottement et une irritation du nerf.
Les organes du petit bassin comme la vessie, l'utérus, la prostate, les ovaires ou également les testicules seront plutôt à l'origine de douleurs lombaires, en bas du dos. Le côlon et la fin de l'intestin grêle donneront également ce type de lombalgie.
Le lumbago (ou lombalgie aiguë) se manifeste par des douleurs subites et violentes dans la région du bas du dos (tour de reins). Celles-ci surviennent à la suite d'un geste un peu brusque ou lorsqu'on a soulevé une charge lourde. Elles sont parfois tellement fortes que tout mouvement du dos devient impossible.