La mégalomanie est souvent liée à des carences affectives de l'enfance, où l'estime de soi n'a pas pu être acquérir de solidité.
Mégalomane = se dit, en psychiatrie, d'un malade atteint d'un délire caractérisé par la surestimation de soi, et, dans la langue courante, d'une personne qui manifeste des idées de grandeur, un orgueil excessifs.
Elle n'est pas disposée à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d'autrui. Elle est incapable de concevoir ce que l'autre ressent dans cette situation; La personne envie souvent les autres et croit que les autres l'envient; La personne fait preuve d'attitudes et de comportements arrogants et hautains.
La mégalomanie va de la suffisance, chez un sujet doué mais orgueilleux (dans le cadre d'un trouble de la personnalité), à l'expansion délirante du moi avec des idées de toute-puissance, de science infuse, de réalisation de projets démesurés (dans le cadre de maladies psychiatriques).
Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Une personne présentant un trouble psychotique peut, par exemple, être convaincue d'être épiée ou suivie, entendre des voix ou avoir l'impression que d'autres personnes manipulent ses pensées.
La tachypsychie pourrait se scinder en deux composantes : les « pensées accélérées » et les pensées dites « grouillantes ». Dans un état hypomane, la tachypsychie semble être caractérisée par des « pensées accélérées » résultant d'une production d'idées excessives se succédant les unes après les autres.
"Le pervers narcissique en général n'est pas conscient et le déni est une des caractéristiques à plusieurs niveaux de cette pathologie, donc il nie également et surtout sa propre pathologie.
Il cherche à plaire à tout prix, donc il se montre charmeur et sait trouver les mots que son auditoire veut entendre. Ce qui invariablement l'amènera à changer souvent d'avis ou d'idée voire de personnalité, à mentir.
On a pu voir que les narcissiques sont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
Le trouble de la personnalité
Les traits de caractère typiques de la personnalité narcissique sont un sentiment excessif de son importance personnelle, un besoin excessif d'être admiré et un manque d'empathie.
"Il ne s'agit pas d'une maladie mentale. C'est une structure, une organisation de personnalité. Elle touche principalement des personnes qui ont des troubles psychotraumatiques de départ.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
Les personnes narcissiques se sentent supérieures aux autres et sont souvent détestés, car elles sont imbues de leur personne, égoïstes, sans empathie et condescendantes. Celui dont on parle le plus, potentiellement dangereux pour ses victimes, est le pervers narcissique.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
“Je t'aime” signifie que j'ai besoin de toi parce que j'ai besoin de quelqu'un qui ne m'abandonne pas. J'ai besoin de quelqu'un que je peux utiliser comme un sac de frappe. Quelqu'un qui me fera me sentir bien.
Freud soulignait les trois blessures narcissiques que la science avait infligées à l'humanité : la blessure copernicienne (la terre n'est pas le centre de l'univers), la blessure darwinienne (l'homme est un animal comme les autres) et la blessure psychanalytique (« le Moi n'est pas le maître dans la maison »).
La perversion narcissique se fonde sur un déni de toute souffrance : Cette personnalité manifeste une absence de souffrance psychique, émotionnelle, un déni de toute vie intérieure. Ce déni est une des manifestations d'un stress post-traumatique vécu dans l'enfance.
Généralement, les proies des PN sont des personnes altruistes, généreuses, empathiques, ayant une propension à la culpabilité. Ce sont également des personnes qui possèdent des valeurs, un idéal fort. Tout ce donc le PN a besoin pour phagocyter sa proie.
Ça s'appelle l'overthinking. Bonne nouvelle : quelque part dans notre cerveau, il existe un bouton "Stop", adapté à chaque manière de "trop penser". Démonstration.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
L'anhédonie est un concept qui a été défini à la fin du 19e siècle. C'est un psychologue français, Théophile Ribot qui a créé ce néologisme du grec a "sans" et hêdonê "plaisir." De perte de la capacité à ressentir du plaisir et de l'intérêt, ce concept a évolué au cours des 20 dernières années.