Les symptômes liés à une allergie à une substance iodée sont : les symptômes cutanés : prurit, rougeur, urticaire, œdème. les symptômes respiratoires : asthme , rhinite. les symptômes digestifs.
Certaines personnes sont hypersensibles à l'iode et développent rapidement des symptômes tels que fièvre, urticaire, œdèmes ou hémorragies sous la peau. Suite à une prise d'iode, on peut également observer des poussées d'acné, des troubles du rythme cardiaque, des fourmillements ou une confusion, par exemple.
Utiliser un pré-traitement à base de cortisone et d'anti-histaminique : ce prétraitement est efficace pour prévenir la majorité des réactions, mais il est moins efficace pour prévenir la récidive de réactions très sévères.
Non. L'iode est un élément indispensable à l'être humain. Une allergie à l'iode est donc impossible. Mais… même si l'allergie à l'iode n'existe pas, on peut tout de même être allergique à des produits (médicaments ou aliments) qui en contiennent.
Une réaction de type I (anaphylaxie) se manifeste par des symptômes généraux d'apparition rapide12 : cutanés (érythème prurigineux, urticaire généralisé), respiratoires (rhinite, dyspnée, bronchospasme, œdème de Quincke), digestifs, cardiovasculaires (hypotension artérielle, tachycardie ou bradycardie), choc ...
Mais la réelle allergie à un produit de contraste est diagnostiquée par une élévation des marqueurs plasmatiques de tryptase et d'histamine durant la première heure suivant la réaction et par des tests cutanés intradermiques à réaliser entre six semaines et six mois après celle-ci.
Ce médicament est un antiseptique local qui contient de l'iode. Il est utilisé pour l'antisepsie de la peau avant une opération, des plaies, des brûlures superficielles peu étendues et dans le traitement d'appoint des lésions de la peau et des muqueuses, infectées ou exposées à un risque d'infection.
Il est recommandé aux personnes présentant un excès d'iode d'utiliser du sel de mer non enrichi en iode, de réduire leur consommation d'aliments contenant de l'iode, tels que les fruits de mer, les algues, les yaourts et le lait, et d'éviter de prendre des compléments alimentaires contenant de l'iode.
Effets secondaires de l'iode radioactif
Mal de gorge pouvant durer une semaine. Goût métallique dans la bouche pouvant durer quelques semaines. Nausées qui disparaissent de 1 à 2 jours après le traitement. Enflement des glandes salivaires pouvant durer quelques semaines.
À retenir. Un intervalle de 3 jours minimum doit, si possible, être respecté entre deux examens avec un produit de contraste à base d'iode. Boire beaucoup d'eau avant et après l'examen (durant 2 jours) permettra à vos reins d'éliminer plus rapidement les produits injectés.
Chez les patients ayant des antécédents d'hyperthyroïdie, l'injection de produits iodés peut perturber le fonctionnement de la thyroïde dans les semaines suivant l'examen. Les produits de contraste en IRM à base de gadolinium ont longtemps été considérés comme moins toxiques que les produits iodés en scanner.
L'iode est nécessaire à la production des hormones thyroïdiennes T3 et T4, qui jouent un rôle important dans la régulation du métabolisme cellulaire. Par l'intermédiaire des hormones thyroïdiennes, l'iode contribue à la croissance des enfants. Elle a un rôle dans le métabolisme énergétique.
Le produit de contraste est éliminé par les reins en l'espace de quelques heures. La tolérance est généralement excellente mais certains effets secondaires rares peuvent survenir : produits iodés : sensation d'échauffement, nausée, allergie.
Les doses létales d'ingestion pour un adulte sont de 2 à 4 g. L'iode et la teinture d'iode sont des poisons par suite des irritations causées au système digestif. L'antidote, tant pour les effets superficiels qu'internes, est une solution de thiosulfate de sodium à 5 % suivie d'un lavage avec une solution saline.
Cependant, ingérer des niveaux extrêmement élevés d'iode peut s'avérer dangereux et notamment entraîner des goitres qui entravent le fonctionnement de la thyroïde (mais il faudrait probablement prendre, pendant plusieurs semaines, la dose d'iodure de potassium recommandée pour que ces troubles se produisent).
Une carence en iode peut entrainer une hypothyroïdie. Fatigue, prise de poids, déprime… Les symptômes les plus courants sont accompagnés de l'apparition d'un goitre. Un surdosage provoque au contraire une hyperthyroïdie, qui se manifeste par un amaigrissement, une hypersensibilité et des troubles du sommeil.
Sur le long terme, une contamination interne à l'iode radioactif dérègle la thyroïde, ce qui augmente considérablement les risques de cancer de la thyroïde. Une exposition massive à des substances radioactives augmente également le risque de malformations génétiques.
L'iode est un oligo-élément essentiel pour l'organisme humain car il intervient dans le fonctionnement de la thyroïde, plus précisément, dans la fabrication des hormones thyroïdiennes. De fait, une carence en iode peut entraîner des troubles plus ou moins graves du métabolisme.
Côté fruits, l'ananas, les mûres et les groseilles contiennent aussi de l'iode, mais leur teneur est elle aussi très réduite. Vous avez pu le constater, nos besoins en iode sont réduits, et les aliments riches en iode ne manquent pas.
La mangue permet de booster les thyroïdes fatiguées grâce à son apport en vitamine A.
Le test de carence en iode de cerascreen® mesure la concentration d'iode par gramme de créatinine dans l'urine. Vous pouvez ainsi identifier une carence en iode et la traiter de manière ciblée. Dans les semaines à venir, nous élargirons notre gamme de produits avec de nouveaux tests de santé fascinants.
Iso-Bétadine dermique (flacon jaune) : il s'agit d'un désinfectant classique pour la peau et tout type de blessures ; Iso-Bétadine savon germicide (flacon rouge) : il s'agit d'un savon désinfectant pour un lavage antiseptique.
Il faut noter que la désinfection d'une plaie ne doit jamais être réalisée avant que celle-ci ait été savonnée, soit avec du savon, soit avec de la Bétadine rouge. Quant à son utilisation, la Bétadine jaune peut être appliquée pure par badigeonnage simple de la peau.
On utilise plutôt la chlorhexidine (Biseptine) le dakin ou le mercryl en solution aqueuse ou en compresses imprégnées.