L'angine de poitrine, ou angor, désigne une douleur thoracique survenant derrière le sternum . Il s'agit d'une douleur constrictive, c'est-à-dire que le patient a l'impression que son thorax est pris dans un étau. Parfois la douleur est ressentie au niveau de l'estomac.
Bon à savoir : l'angine de poitrine n'a rien à voir avec l'angine blanche ou rouge, qui est maladie d'origine virale, et dont les symptômes sont très différents. Cependant, l'angine provoque des symptômes comme la toux et les maux de gorge qui peuvent rappeler la Covid-19.
Ce qu'il faut savoir sur l'angine de poitrine :
Elle ne dure généralement que quelques minutes. Si elle n'est pas traitée, elle risque d'entraîner une crise cardiaque, une anomalie du rythme cardiaque (arythmie) ou un arrêt cardiaque.
Le traitement de la crise douloureuse de l'angine de poitrine est la trinitrine sublinguale (mise sous la langue). Le traitement est à prendre dès que la douleur apparaît et tout effort doit être stoppé. Il est recommandé de garder le médicament sur soi pour l'utiliser en cas de besoin.
Quand la douleur thoracique dure plus longtemps (une semaine ou plus), les personnes doivent voir un médecin dès que possible, sauf si elles développent des signes précurseurs ou si la douleur s'aggrave progressivement ou se produit plus souvent, dans quel cas elles doivent se rendre immédiatement à l'hôpital.
Il est très commun de souffrir de stress ou d'anxiété, de nombreuses personnes peuvent éprouver cette sensation à un moment de leur vie. Mais pour certains, l'anxiété peut engendrer plus qu'un sentiment de peur et d'inquiétude et provoquer des symptômes physiques, tels que des douleurs thoraciques.
Pouvez-vous la reproduire en appuyant sur la partie sensible ? Une réponse positive à l'une de ces questions suggère davantage une douleur musculaire. Une douleur d'origine cardiaque est, quant à elle, persistante, peu importe la position ou le type de respiration.
La douleur thoracique d'origine cardiovasculaire
Une angine de la poitrine ou un infarctus du myocarde ; Une péricardite (inflammation du péricarde, l'enveloppe du cœur) Une rupture d'un anévrisme de l'aorte ou une dissection de l'aorte (dans des cas beaucoup plus rares)
l'angine de poitrine (crise d'angor) : liée à un manque d'oxygénation du cœur, les douleurs d'angine de poitrine surviennent le plus souvent à l'effort et se traduisent par un inconfort dans la poitrine, le dos, les épaules et les bras (à gauche le plus souvent), voire le cou.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
L'essoufflement est le premier signe qui doit attirer l'attention. «L'insuffisance cardiaque étant une incapacité du cœur à envoyer suffisamment de sang aux différents organes, les patients commencent par se plaindre d'être essoufflés en montant deux étages, puis un seul, puis quelques marches», explique le Pr Damy.
Une hernie hiatale se produit lorsque l'estomac remonte dans la poitrine par une ouverture dans le diaphragme, le muscle qui sépare la région thoracique de la région abdominale, en d'autres termes, qui sépare la poitrine du ventre. Cette ouverture s'appelle hiatus, d'où le nom hernie hiatale.
Chez les hommes et les femmes, l'inconfort ou la douleur thoracique est le symptôme le plus commun d'une crise cardiaque. Il est toutefois important de connaître les faits suivants : Les signes et symptômes ne sont pas toujours soudains ou graves. Certaines personnes n'éprouvent aucune douleur thoracique.
Angine de poitrine et infarctus : définition et causes
Ce sont les crises d'angine de poitrine (ou « angor »). Lorsque la privation d'oxygène est suffisamment grave pour entraîner la mort par asphyxie d'un grand nombre de cellules du muscle du cœur, on parle d'infarctus du myocarde (ou « crise cardiaque »).
Toux violente, essoufflement, poumons qui crépitent (bronchite chronique obstructive) ou qui sifflent (asthme) à l'auscultation, bronchite qui s'aggrave alors qu'elle aurait dû être complètement guérie en dix jours: face à de tels symptômes, il ne faut pas laisser traîner la situation, surtout s'il s'agit d'une ...
En résumé, tous les miels sont bons pour la santé et il est dans notre intérêt à tous de le privilégier comme produit sucrant. Il nous aide à réguler notre système immunitaire, digestif, cardio-vasculaire et même hormonal.
Quand consulter un médecin
Les personnes qui ont des sensations de ballonnements dans la poitrine, notamment si celles-ci s'accompagnent d'une douleur thoracique, doivent consulter rapidement puisqu'il s'agit de signes évocateurs de crise cardiaque.
Quels sont les symptômes de la douleur intercostale ? Douleur – Le principal symptôme de la névralgie intercostale d'origine mécanique est la douleur prenant origine au niveau d'une vertèbre. Elle peut soit être sous forme de point précis ou irradier le long d'une côte.
L'angine de poitrine (ou angor) est la manifestation d'un déséquilibre entre les apports et les besoins du cœur en oxygène. Ce déséquilibre surviant souvent à l'effort, lorsque les artères coronaires qui alimentent le cœur sont atteintes d'athérosclérose et que leur diamètre diminue.
Les produits laitiers
Contrairement aux idées reçues, certains produits laitiers n'empêchent pas une bonne digestion et permettent alors d'éviter les brûlures d'estomac. Les yaourts et les fromages à pâte cuite (gruyère, emmental, cantal, …) sont généralement bien tolérés.
L'angor se manifeste par une douleur profonde située au milieu du thorax, avec une sensation de serrement intense, angoissante. Cette douleur en barre survient à l'effort (marche rapide, en montée, contre le vent) et impose l'arrêt.
Lorsqu'il n'en reçoit pas assez, on ressent alors un serrement, une douleur ou une brûlure au centre de la poitrine : c'est ce qu'on appelle une « crise d'angine ». Dans la majorité des cas, l'angine est due à la formation de dépôts de gras dans la paroi des artères, une condition appelée « athérosclérose ».
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Essoufflement, fatigue, œdème et prise de poids doivent alerter. La première difficulté réside dans le diagnostic. Florence Beauvais rappelle que quatre signes doivent alerter. Pour s'en souvenir, un acronyme : EPOF, pour essoufflement, prise de poids, œdème et fatigue.