Ce sont des pertes vaginales symptomatiques d'une infection. Elles sont colorées (jaunâtres, verdâtres...) ou blanches, ont parfois une mauvaise odeur et peuvent contenir du sang. Elles sont parfois associées à d'autres symptômes locaux (brûlures, prurit...) ou généraux (fièvre, fatigue, douleurs du bas-ventre...).
De couleur blanchâtre ou translucide et à la texture gluante, les pertes blanches surviennent tout au long de la vie hormonale d'une femme, des quelques années précédant l'arrivée des règles jusqu'à la ménopause. Elles signifient que les organes génitaux fonctionnent correctement.
La cause la plus courante des pertes blanches est l'arrivée prochaine des règles. Pendant quelques jours à la fin d'un cycle et au début du suivant, les sécrétions vaginales transparentes peuvent se transformer en pertes blanches laiteuses, leur quantité augmente et leur texture devient plus épaisse.
Les pertes blanches sont des pertes vaginales parfaitement naturelles chez la femme. Elles sont blanchâtres ou transparentes et surviennent dès l'apparition des premières règles jusqu'à la ménopause. Il ne faut pas négliger leur aspect, leur couleur et leur odeur car elles peuvent révéler un problème de santé.
Les pertes blanches, appelées aussi pertes vaginales ou leucorrhées sont des écoulements naturels du vagin. De couleur blanchâtre ou translucide et à la texture gluante, les pertes blanches surviennent tout au long de la vie hormonale d'une femme, des quelques années précédant l'arrivée des règles jusqu'à la ménopause.
Habituellement ces « salpingites » ou inflammations pelviennes se traduisent par des douleurs du bas ventre, des pertes blanches, parfois de la fièvre mais les tableaux très « bruyants » c'est-à-dire avec beaucoup de symptômes sont de plus en plus rares et ces infections doivent parfois être évoquées sur des signes ...
Parce qu'elles sont sous influence de la progestérone, hormone qui va augmenter si une grossesse survient, les pertes blanches peuvent donc être un signe de grossesse, bien que le meilleur signe soit évidemment l'absence de règles et la présence de l'hormone bêta-HCG sécrétée par l'embryon.
Les pertes blanches sont des sécrétions naturelles produites par le vagin et l'utérus. Elles sont composées de glaire cervicale, substance visqueuse expulsée par le col de l'utérus. Les pertes blanches sont de couleur blanche ou jaune claire, ont un aspect transparent ou un peu laiteux, et sont généralement inodores.
Toutes les femmes, à partir de la puberté, ont des pertes blanches tous les jours. Certains jours, elles sont très abondantes, transparentes, et fluides et d'autres jours plus opaques, voire un peu jaunes. C'est parfaitement normal, car cela dépend des hormones au fil du cycle.
March 27, 2021. Préparation : Dans un bol propre, versez de l'eau bouillie, y ajoutez un peu de sel (1 c. à café) et environ 200g de clous de girofle puis asseyez-vous au dessus sans toucher l'eau chaude pour laisser la chaleur entrer dans votre vagin jusqu'à ce que l'eau se refroidisse.
Etre vigilante sur la toilette particulièrement pendant les règles. Laver la vulve (jamais l'intérieur du vagin !) avec un savon gynécologique adapté à la toilette quotidienne ou avec le savon habituel s'il n'entraîne ni irritation ni sécheresse. Changer régulièrement vos protections pour éviter la macération.
Préférez donc l'usage d'un savon doux au niveau des poils pubiens et de l'extérieur de la vulve. Évitez de frotter excessivement ou de pratiquer la douche vaginale (introduction d'eau avec ou sans savon dans le vagin).
Quand est-ce que les pertes blanches apparaissent ? Ces sécrétions vaginales apparaissent, en général, entre l'âge de 8 et 12 ans. Elles sont le signe de la mise en route du cycle hormonal chez la femme.
La glaire cervicale : c'est une sécrétion émise par des glandes situées dans le fond du vagin, au niveau du col de l'utérus, dites glandes endocervicales.
Pertes blanches abondantes
Des pertes blanches anormalement abondantes mais inodores font le plus souvent suspecter une mycose vaginale si elles s'accompagnent de démangeaisons et/ou de douleurs en urinant.
La vaginose bactérienne est traitée par un antibiotique (tel que le métronidazole ou la clindamycine). Le métronidazole par voie orale pendant 7 jours constitue le traitement de choix pour les femmes qui ne sont pas enceintes.
La FAQ des pertes odorantes
S'il est courant que les pertes blanches aient une légère odeur naturelle acide, il n'est pas normal que vos leucorrhées aient une odeur désagréable. Une mauvaise hygiène génitale ou une infection bactérienne peuvent être les responsables de sécrétions épaisses et malodorantes.
La grossesse peut être confirmée si une forme de nuage de couleur blanchâtre apparaît dans l'urine. C'est tout l'intérêt d'utiliser un verre transparent, comme cela vous pourrez voir à travers.
Le test du sel
Dans un verre, prélevez un peu d'urine et versez-y trois morceaux de gros sel. Si, au bout de deux heures, le sel a complètement fondu dans l'urine, alors le test de grossesse est considéré comme positif.
Ces douleurs sont causées par la contraction de l'utérus afin d'éliminer la muqueuse utérine. Ces maux dans le bas du ventre peuvent donc se présenter sous forme de crampes et être fréquemment accompagnées de maux de dos (lombalgie), de migraines, de fatigue ou encore de symptômes abdominaux comme des ballonnements.
Il existe de nombreuses autres causes à une douleur localisée dans le bas ventre, telles que : l'endométriose, une infection urinaire, génitale ou digestive, un kyste ovarien…
Le saignement de grossesse est généralement très léger : il se s'agit que des quelques gouttes voire des traces rouge clair à brunâtres au fond de ta culotte. À l'inverse, des règles douloureuses sont généralement associées à des saignements plus importants et, du moins, bien rouges.
Une vaginose bactérienne se développe lorsque la flore vaginale habituelle est déséquilibrée et remplacée par des bactéries pathogènes. Les pertes vaginales sont alors plus abondantes et malodorantes, cette odeur s'accentue après les rapports sexuels.
Le diagnostic repose généralement sur un examen au microscope des pertes vaginales, et la mise en évidence des « Clue cells », ou par l'odeur anormale qui se dégage spontanément de ces pertes, similaire à une odeur de « poisson pourri ».