Une sensibilité au sucre se manifeste par des malaises gastro-intestinaux, comme des flatulences excessives, des ballonnements, de la diarrhée, de la fatigue et potentiellement des carences nutritionnelles.
Il s'agit d'un dérèglement du pancréas, dont les sécrétions d'insuline sont inadaptées à l'apport de glucides alimentaires. Il faut s'en occuper rapidement, avant que cela ne se transforme en diabète ou en obésité avec surcharge du foie.
Les conséquences les plus fréquentes sont les gaz intestinaux douloureux, les candidoses intestinales, mais aussi une inflammation de la paroi intestinale augmentant le passage de toxines intestinales de l'intestin vers le sang. Les parasites comme les intestinaux prolifèrent davantage à cause du sucre.
L'allergie, appelée aussi de type 1, se déclenche quand un aliment protidique ingéré est considéré par le système immunitaire comme un ennemi : il est reconnu comme étant du « non-soi ». La réponse est immédiate ou presque : de quelques secondes à 30 minutes.
La maladie cœliaque ou « intolérance au gluten » est une maladie chronique de l'intestin grêle, entraînant une disparition progressive des villosités intestinales.
Hypersensibilité au gluten et au lactose, intolérances à certains glucides... Le sucre des aliments est parfois à l'origine de troubles digestifs qu'il ne faut pas négliger. Contrairement à l'allergie, souvent de survenance brutale, l'intolérance alimentaire se manifeste sournoisement.
Les personnes qui développent le diabète de type 2 peuvent préalablement avoir reçu un diagnostic de prédiabète. Cette condition est présente lorsque le taux de glucose sanguin est plus élevé qu'à la normale, mais pas suffisamment élevé pour poser un diagnostic de diabète de type 2.
Les sucres ou glucides contenus dans les aliments fermentent lorsqu'ils sont digérés. Résultat : ils produisent beaucoup de gaz intestinaux. Parmi les coupables, on trouve les féculents (pain, céréales pour le petit-déjeuner...) qui sont particulièrement riches en sucre.
La banane pour stimuler le transit intestinal
La banane est une bonne source de fibres alimentaires, une portion de 100 g contient près de 2,6 g de fibres, soit un peu plus que la pomme (2,4 g). Sa bonne teneur en fibres en fait un allié de choix pour améliorer le transit intestinal.
Manger trop de sucre provoque de l'hyperglycémie qui est la source de nombreuses maladies telles que les maladies cardiovasculaires, problèmes de la rétine, des reins, des nerfs, l'obésité ainsi que le diabète.
Trop de sucre tue le foie
Le syndrome du «foie gras», autrement dit l'accumulation de graisse dans les cellules du foie, toucherait ainsi 30 à 50 % des adultes aux Etats-Unis. Ces malades présentent les mêmes lésions du foie que dans l'hépatite alcoolique - alors qu'ils boivent peu ou pas du tout d'alcool.
Avant que le corps ne s'acclimate totalement, les maux de tête, la fatigue physique et mentale, les étourdissements et les troubles du transit sont fréquents. Des palpitations, des crampes et des boutons peuvent également apparaître.
Consommés en trop grande quantité, ces derniers peuvent provoquer une hyperglycémie (au-delà de 1,1G/L de sang) qui peut, si elle persiste, causer de graves problèmes de santé : obésité, diabète, détérioration des vaisseaux sanguins (maladies cardiovasculaires), des nerfs, de la rétine ou encore des reins.
Pour se désintoxiquer du sucre, mieux vaut donc changer ses habitudes alimentaires dès le réveil en privilégiant des aliments riches en protéines, en fibres et en bonnes graisses (tartines de pain complet et beurre, fromage blanc, œufs, produits laitiers frais, fruits…).
- Marchez 30 minutes par jour vous aidera à mieux métaboliser les sucres. - Mangez davantage de légumes, fruits, céréales complètes ou semi-complètes et légumineuses (lentilles, pois, fèves…). Leur index et charge glycémiques** sont plus faibles que ceux des aliments raffinés.
Le soir, le corps va stocker les graisses et même, transformer le sucre en gras au niveau du ventre, des hanches et des fesses. Logique, car il n'a pas besoin de beaucoup d'énergie pendant le sommeil.
Une prise de sang
des anticorps transglutaminase tissulaire, de classes IgA et IgG? et des anticorps anti-endomysium de classe IgA (les plus spécifiques de la maladie cœliaque). S'ils sont absents, l'intolérance au gluten est peu probable.
La maladie cœliaque ou intolérance au gluten est une maladie intestinale chronique et auto-immune liée à l'ingestion de gluten, formé à partir de la gliadine contenue dans certains produits céréaliers. Elle survient chez des personnes génétiquement prédisposées.
La diarrhée chronique est le symptôme le plus courant, mais une constipation survient parfois. Dans certains cas, la personne touchée souffre de douleurs abdominales ou d'un ballonnement associé à des flatulences (émission de gaz intestinaux). Le patient peut aussi perdre du poids.