Les symptômes de l'emphysème pulmonaire les plus courants, et plus généralement des bronchopneumopathies chroniques obstructives, sont un essoufflement lors d'activités quotidiennes (une dyspnée), une sensation de manquer d'air et d'oppression au niveau de la poitrine, une respiration sifflante, une toux chronique ...
Dans ces deux pathologies, les premiers symptômes sont un essoufflement, une sensation d'oppression dans la poitrine et une fatigue chronique, altérant la qualité de vie. Ces signes peuvent longtemps passer inaperçus, c'est ce qui fait que l'emphysème est peu connu car il se voit peu.
La principale cause de l'emphysème est le tabagisme mais l'exposition à des substances chimiques peuvent également en être responsable. Il n'existe aucun traitement curatif mais l'arrêt du tabac, certains traitements (bronchodilatateurs) et la réhabilitation respiratoire peuvent ralentir la progression de la maladie.
Dans la plupart des cas, l'emphysème est une complication de la BPCO, mais le vieillissement entraîne également une perte d'élasticité des alvéoles, même chez les non-fumeurs. Celle-ci peut être suffisamment grave pour être considérée comme de l'emphysème.
L'emphysème pulmonaire est une destruction partielle du tissu pulmonaire. Plus de 10 % de la population souffre de problèmes respiratoires dus à l'emphysème. L'emphysème pulmonaire est une maladie des poumons, qui est l'une des causes de décès les plus fréquentes (4e place parmi les causes de décès) dans le monde.
Les symptômes de l'emphysème pulmonaire les plus courants, et plus généralement des bronchopneumopathies chroniques obstructives, sont un essoufflement lors d'activités quotidiennes (une dyspnée), une sensation de manquer d'air et d'oppression au niveau de la poitrine, une respiration sifflante, une toux chronique ...
Plus sensible que la radiographie du thorax, le scanner thoracique est l'examen de référence pour le diagnostic de l'emphysème 8.
Parmi les agonistes-bêta2, on trouve le salbutamol (Ventolin®) et la terbutaline (Bricanyl®), à courte durée d'action (4 à 6 heures), et le formotérol (Oxeze®) et le salmétérol (Serevent®), à longue durée d'action (12 heures).
Examen médical
La méthode principale pour établir le diagnostic est cependant le test de la fonction pulmonaire (spirométrie), que le médecin de famille peut aussi effectuer. Selon les cas, le médecin recourt à des méthodes diagnostiques complémentaires qui lui permettent d'exclure d'autres maladies.
L'emphysème centrolobulaire est le plus fréquemment retrouvé, plus souvent dans les parties supérieures des poumons, et correspond à la destruction des bronchioles respiratoires et des canaux alvéolaires proximaux (figure 1).
En cas d' essoufflement quotidien et/ou d' exacerbations : il est préconisé d'utiliser un bronchodilatateur de longue durée d'action : anticholinergique de longue durée d'action (LAMA) ou un β-2 agonistes de longue durée d'action (LABA) en privilégiant les LAMA en cas d' exacerbations .
L'emphysème ne peut pas être guéri, mais il est possible de ralentir la progression de la maladie et de vivre plus confortablement avec les symptômes. Le meilleur traitement contre l'emphysème est de cesser de fumer et de se tenir loin des endroits où il y a de la fumée.
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Introduisez la technique de respiration à lèvres pincées : inspirez par la bouche si vous n'êtes pas capable de le faire par le nez : pincez vos lèvres pour expirer. Ralentissez progressivement votre respiration en prenant plus de temps pour expirer que pour inspirer. Ne forcez pas vos poumons à se vider.
Au début de la maladie, les symptômes sont parfois peu nombreux. Le dommage subi par les alvéoles cause un essoufflement à l'effort qui est généralement le premier symptôme. Au fur et à mesure que l'emphysème évolue, l'essoufflement peut être ressenti même au repos.
Un simple essoufflement est habituel après un effort. Il s'agit d'une réaction naturelle de l'organisme qui lui permet de s'oxygéner normalement. Pas d'inquiétudes dans ce cas-là.
En l'absence de prise en charge efficace du facteur favorisant (le tabac), l'emphysème évolue progressivement vers une insuffisance respiratoire. Et, parfois, même lorsque le sevrage tabagique est effectué, l'emphysème gagne en intensité et la fonction respiratoire décline.
Parmi elles, figure l'HE d'Eucalyptus radié : anti-infectieuse, stimulante immunitaire et expectorante. Elle permet d'évacuer plus facilement le mucus broncho-pulmonaire. Le principe : en diluer 2 gouttes dans de l'huile d'amande douce puis appliquez le mélange sur votre sternum et le haut de votre dos en massant bien.
La marche nordique est un sport particulièrement bien adapté aux pathologies respiratoires.
Apprenez à bien respirer. Pendant l'effort, respirez le plus naturellement possible en inspirant par le nez et la bouche en même temps (expiration par la bouche). Plus l'intensité de l'exercice augmentera, plus le rythme de vos inspirations va s'accélérer pour faire jeu égal avec celui des expirations.
Les termes « emphysème » ou « bronchite chronique » sont parfois utilisés pour désigner la BPCO. L'emphysème désigne habituellement la destruction des alvéoles pulmonaires. La bronchite chronique désigne une toux chronique accompagnée d'expectorations dues à l'inflammation des voies respiratoires.
Les Huiles essentielles.
Utiliser soit un mélange respiratoire du commerce, soit les huiles essentielles suivantes: eucalyptus globulus et radiata, niaouli, ravintsara cinéole, pin sylvestre, thym linanol dans de l'huile végétale de noisette ou autre.
L'emphysème est caractérisé par l'existence de bulles d'air en nombre et en taille variables entravant l'échange alvéolo-capillaire. Au-dessus d'une certaine taille, l'emphysème est dit bulleux, et peut avoir un effet délétère sur la fonction respiratoire.
L'emphysème »paraseptal« (également appelé «acinaire distal») affecte principalement les canaux alvéolaires. La distribution de l'emphysème est également évaluée, avec une distinction faite entre emphysème «homogène» et emphysème «hétérogène».