En résumé, le passé simple sert à désigner les actions des personnages, ce qui fait avancer l'histoire. Remarque : Le passé simple et l'imparfait se côtoient en permanence dans le récit. L'imparfait permet d'exprimer une certaine durée alors que le passé simple décrit une action soudaine, ponctuelle.
Le récit est le plus souvent rédigé au passé, sauf lorsque le narrateur a choisi de le rendre dynamique en utilisant un présent de narration. Les temps les plus courants sont alors l'imparfait et le passé simple qui alternent, ayant des valeurs et emplois bien spécifiques.
Le passé simple est un temps littéraire, utilisé presque exclusivement à l'écrit. Le passé simple implique une action courte et ponctuelle. Je regardais, est à l'imparfait. L'imparfait est utilisé pour une description, un comportement répétitif ou une action qui dure dans le temps.
Le schéma narratif d'un récit est le déroulement de ce récit et des actions qu'il raconte. On parle de schéma narratif pour les histoires telles que les contes ainsi que les romans. C'est une façon et un point de vue pour commenter et analyser un récit, lorsqu'on fait de l'analyse littéraire.
La pause. On utilise la pause pour suspendre l'histoire, ce qui a pour effet d'interrompre les actions et de ralentir le rythme du récit au maximum. On emploie alors la narration pour décrire, expliquer ou commenter certains éléments de l'histoire.
Les temps verbaux les plus employés sont le présent, l'imparfait, le passé composé et le futur simple. Le passé simple est essentiellement employé dans les textes littéraires. Seules les formes de l'indicatif expriment par elles-mêmes la temporalité.
Le temps de l'histoire (cf. narrated time/ erzählte Zeit) est le temps sur le plan de la fiction, le temps vécu par les personnages ; le temps du récit (time of narrating / Erzählzeit) est le temps du discours qui représente une histoire, celui des des pages du livre.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.
L'imparfait est principalement utilisé pour exprimer une action passée pouvant durer, être habituelle ou répétée. Il peut avoir trait au déroulement d'une action et être également employé pour faire état de descriptions.
Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
Étudier le temps dans un roman conduit à évaluer la durée des événements rapportés. Cette durée peut être brève ou au contraire étendue. Une narration ne rapporte pas toujours les faits dans leur déroulement chronologique.
Dans la littérature, on retrouve le plus souvent trois types de narrateurs : la narration à la première personne; la narration à la troisième personne alignée sur un seul personnage; et. la narration omnisciente.
Un récit est construit en suivant une structure déterminée par l'auteur. Traditionnellement, une séquence narrative suit cinq mouvements : la situation initiale, l'élément perturbateur ou déclencheur, les péripéties ou les actions, l'élément de résolution et la situation finale.
Le passé simple et le passé composé sont deux temps de base du récit: ils sont utilisés pour les événements de premier plan, les actions. Le passé simple appartient au système du passé; le passé composé appartient au système du présent.
l'élément modificateur ; les péripéties ; l'élément rééquilibrant ; la situation finale.
Le terme ''incipit '' vient du verbe latin incipire= commencer. L'incipit sert à désigner le début d'un roman. On peut dégager plusieurs fonctions : Fonction n°1 : il a une valeur d'annonce et programme la suite du texte.
Lorsqu'un narrateur raconte des évènements dans l'ordre où ils ont eu lieu, on dit que le récit est chronologique. Mais le narrateur peut aussi faire des retours en arrière (appelés flashbacks au cinéma), pour évoquer par exemple le passé d'un personnage.
Pour information, on appellera début in ultima res, un récit commençant par la fin de l'histoire. Un début in medias voire ultima res est généralement suivi d'un retour en arrière (on dit également analepse ou encore flash-back). Ce retour a souvent valeur explicative.
Analyser un récit consiste à en explorer les éléments constitutifs. Cela veut d'abord dire : permettre à un interlocuteur de se représenter un texte qu'il ne connaît pas; faire apparaître les quatre éléments essentiels de l'histoire, les caractéristiques de la narration et le système des valeurs. Il faut être précis.