Pour qu'il y ait combustion, il faut qu'il y ait une association de 3 facteurs que sont le combustible, le comburant, et l'énergie d'activation.
Un comburant, soit une substance qui entretient la combustion, principalement le dioxygène (O2) . Une température suffisamment élevée permettant d'atteindre le point d'ignition: c'est la température qui permet de fournir suffisamment d'énergie pour amorcer la combustion.
Un comburant est une substance - liquide, gazeuse ou solide - qui, associée à un combustible, permet, grâce à un apport initial d'énergie, d'initier une réaction de combustion.
Si vous connaissez le triangle du feu, vous remarquez que l'eau arrive à bloquer deux des trois éléments nécessaires à un incendie : l'oxygène et la source de chaleur. Dans le cas de certains feux (comme le feu d'alcool), l'eau dissout l'alcool.
C'est le comburant donc le dioxygène qui est supprimé.
Les feux sont répartis en 5 classes : A, B, C, D et F. Ces classes de feu sont définies en fonction des matériaux brûlés et de leurs réactions. Comprendre ce classement est primordial puisqu'il permettra de choisir l'extincteur adapté. Il existe également les feux dits électriques, anciennement catégorisés en classe E.
- Les combustibles : Le bois, l'essence, le papier, le carton, les objets en plastique et les tissus sont des exemples de combustibles qui sont susceptibles d'alimenter un feu.
C'est parfois derrière les questions les plus simples que l'on trouve les réponses les plus étonnantes : l'eau n'éteint pas le feu parce que c'est du liquide. L'eau vient étouffer les flammes du feu et le refroidir. Regardons de plus près les flammes : pour se propager, le feu a besoin d'oxygène.
La réaction chimique de la combustion ne peut se produire que si l'on réunit au minimum trois éléments : un combustible, un comburant (dioxygène), et une énergie d'activation, chacun en quantité suffisante. C'est pourquoi on parle du « triangle du feu ».
Quand on verse de l'eau sur le feu, elle se transforme tout de suite en vapeur d'eau. Cette vapeur est un gaz, qui occupe plus d'espace que l'eau liquide. Ainsi, il repousse l'air autour de la flamme. Et sans l'oxygène de l'air, le bois ne peut plus faire de flammes !
Le point d'auto-inflammation (ou d'auto-ignition) est la température à partir de laquelle une substance s'enflamme spontanément en l'absence de flamme pilote, dans l'atmosphère normale. L'expression point d'allumage spontané est aussi utilisée.
L'acétylène, l'ammoniac, l'hydrogène, le propane, le propylène, et le méthane sont tous des gaz inflammables, également connus sous le nom de gaz combustibles. Ils brûlent quand mélangés à un oxydant et avec une source d'allumage.
Il existe essentiellement deux types de flammes ou combustion : ce sont la déflagration et la détonation ; mais il est possible, avec certaines réserves, d'en considérer un troisième, l'explosion.
Le rôle du feu : Les effets sur le sol
Le feu réduit ces matières en cendres riches en minéraux, recyclant et libérant ainsi des substances nutritives. Il crée également dans la forêt des éclaircies qui laissent pénétrer la lumière, laquelle réchauffe le sol et stimule la croissance des graines et des racines.
Les flammes apparaissent lorsque les gaz combustibles réagissent avec l'oxygène. Elles manifestent une réaction chimique libérant de l'énergie sous forme de chaleur et de lumière. La température y atteint de 1 200 à 1 500 °C alors qu'au-dessus, dans le panache de fumées, la température chute au-dessous de 600 °C.
TÉTRAÈDRE DU FEU
Pour qu'il y ait combustion, il faut qu'il y ait une association de 3 facteurs que sont le combustible, le comburant, et l'énergie d'activation. On représente de façon symbolique cette association sous forme de Triangle.
IV – Les dangers des combustions.
Risque d'incendie : si la combustion se propage à d'autres objets ; il faut donc éloigner des flammes toute matière combustible. Risque d'asphyxie : si le dioxygène de l'air est consommé par la combustion ; il faut donc éviter de boucher les ventilations.
on supprimera l'énergie
en refroidissant le foyer, c'est à dire en l'arrosant avec l'extincteur à eau pulvérisée. (Ceci afin de descendre la température en dessous du point éclair du produit combustible.)
Le bicarbonate de sodium ou le sel
Le bicarbonate de sodium suffira probablement pour éteindre un petit incendie, car il libère du dioxyde de carbone (lorsqu'il est chauffé) qui prive le feu d'oxygène.
Salée ou pas, l'eau reste un inhibiteur de combustion, donc à priori, même salée, il n'y a aucune raison de penser qu'elle ne puisse éteindre un feu !
Pourquoi ? Les cristaux de sel lorsqu'ils sont jetés sur les flammes étouffent le feu en libérant ses molécules d'eau et consomme l'énergie du feu tout en absorbant l'oxygène.
Plus la température est élevée, plus la couleur de la flamme est froide. On a les flammes blanches (comme celles du magnésium), les plus chaudes, puis les bleues (comme celles du gaz), enfin les jaunes et les rouges, les plus froides.
La partie blanche et jaune des flammes contient des petites poussières tellement chaudes qu'elles brillent très fort. La partie bleue ne contient que du gaz qui brûle. En bas, les parties rougeoyantes du bois s'appelle les braises. Elles ne sont faites que de matières solides.
On distingue quatre modes de propagation : Par conduction ; • Par convection ; • Par rayonnement ; • Par déplacement.