On distingue principalement les aménagements hydro agricoles, les aménagements forestiers, les aménagements paysagers, les aménagements urbains etc.
De ce fait, on distingue généralement l'aménagement rural et l'aménagement urbain, aux dimensions à la fois locales et régionales mais plutôt thématiques, de l'« aménagement du territoire », expression qui consacre l'intervention politique à l'échelle nationale.
L'aménagement du territoire dépend en grande partie d'un organisme, la DATAR, qui fédère les actions de différents ministères afin de lutter contre les déséquilibres économiques et leurs conséquences. Les objectifs sont donc multiples : réseau routier, développement touristique, activités industrielles...
Il pose trois principes directeurs de l'aménagement du territoire européen : le développement urbain équilibré et polycentrique pour engager de nouvelles relations ville-campagne ; l'équité d'accès aux infrastructures et aux savoirs ; la promotion du développement durable.
L'aménagement du territoire est une exception française. Son objectif est d'assurer une répartition équilibrée des ressources, des activités et des hommes dans l'espace, afin de préserver durablement l'ensemble du territoire national comme lieu de vie et d'activité.
L'évolution des territoires français se trouve particulièrement concernée au XXIe siècle par trois enjeux : le développement durable, la décentralisation, et la mondialisation.
D'après cette carte, quels sont les acteurs qui financent l'aménagement du territoire ? L'État, l'Union européenne, les collectivités territoriales.
Le principal but de l'aménagement est de corriger ou réduire les inégalités entre les territoires. Les territoires ne sont pas égaux en richesse, attraits ou difficultés. Voici deux cartes qui montrent les écarts existant entre les régions et les départements face au chômage.
Le projet partenarial d'aménagement est un contrat entre l'Etat, l'intercommunalité et les acteurs locaux (public et/ou privés) afin d'encourager, sur un territoire donné, la réalisation d'une ou plusieurs opérations d'aménagement complexes destinées à répondre aux objectifs de développement durable des territoires.
L'aménagement de l'espace vise l'organisation d'ensemble, le fonctionnement global d'un territoire, où s'imbriquent différents lieux de vie, supportés par un élément fondamental : le sol, c'est-à-dire la ressource foncière, dont il s'agit notamment de rationaliser les usages.
Aménager l'espace public, c'est choisir la vie publique que l'on veut à travers le mobilier qui y sera installé. Faire vivre les citoyens ne constitue pas une menace si on stimule les comportements collectifs via l'aménagement.
L'ensemble formé par les trois espaces (ville-centre, banlieue et couronne périurbaine) est appelé aire urbaine.
La principale différence entre l'urbanisme et l'aménagement est leur orientation. L'urbanisme se concentre sur la planification et la gestion des communautés et des villes, tandis que l'aménagement se concentre sur la conception et l'organisation des espaces intérieurs et extérieurs.
1. Action d'aménager un local, un lieu ; résultat de cette action : L'aménagement d'un appartement. 2. Action d'aménager quelque chose ; arrangement, disposition particulière visant à une meilleure adéquation de quelque chose à sa destination : L'aménagement d'un texte de loi.
De favoriser le développement économique, facteur d'attractivité; De favoriser la mixité sociale et fonctionnelle sur le secteur ; D'améliorer la qualité environnementale du quartier ; D'œuvrer pour améliorer la santé des habitants.
L'État reste la principale autorité en matière d'aménagement : c'est lui qui fixe les objectifs, accorde les primes, les crédits, les aides à la localisation des entreprises ou les exonérations fiscales. En outre, il contrôle largement la répartition des fonds européens entre les régions.
L'aménagement a pour but de réduire les inégalités entre les territoires. Les acteurs de l'aménagement cherchent ainsi à développer les transports dans les zones les plus reculées, à généraliser l'accès à Internet, à permettre à tous de pouvoir accéder à des infrastructures de santé.
L'aménagement du territoire combine aujourd'hui les actions d'un grand nombre d'acteurs privés comme publics, à l'échelle nationale comme locale, à travers la signature de contrats de projets État/région ou bien encore la mise en place de schémas locaux d'aménagement du territoire.
L'urbanisme consiste à l'organisation et à l'aménagement des espaces urbains. Il s'agit de rechercher un équilibre entre le bien-être des habitants, la dynamique économique, l'amélioration des rapports sociaux sans oublier la préservation de l'environnement.
A compter de cette date, l'Etat n'est plus le seul acteur de l'aménagement et doit composer avec les collectivités territoriales (dont bien souvent les objectifs sont différents). Depuis lors, l'aménagement du territoire est devenu plus difficile car il faut obtenir le consensus de toutes les parties.
La planification territoriale traduit une vision politique dans un projet de territoire, à plus ou moins long terme. Son objectif principal : faire émerger des projets de construction et d'aménagement tout en préservant et en améliorant le cadre de vie des citoyens.
Ces projets complexes font appel à une multitude de parties prenantes, c'est-à-dire de groupes ou d'individus pouvant affecter ou être affectés par le projet : décideurs publics, acteurs économiques, société civile, professionnels de l'aménagement, etc.
en quoi ça consiste ? La différence est subtile, agencer consiste à gérer l'espace tandis qu'aménager correspond au choix des meubles ou de la décoration. Leur but est commun : optimiser l'espace existant et améliorer le confort des habitants.
Un plan d'aménagement particulier (PAP) couvre une partie du territoire communal, urbanisée ou destinée à être urbanisée en exécutant et précisant le PAG auquel il se rapporte, tout cela en respectant le mode et le degré d'utilisation du sol y défini.