On retient généralement trois types de connaissances : les connaissances déclaratives, les connaissances procédurales et les connaissances conditionnelles. Chacun des types interpelle des processus mentaux pour traiter l'information.
Il existe deux types de connaissances : celles explicites qui peuvent être acquises via un effort conscient pour les apprendre (définitions, nouveaux concepts, numéros de téléphone, règles de conduite, etc.) et celles implicites qui sont apprises à notre insu, par la répétition, l'imitation et l'expérience.
Dans les entreprises, la connaissance correspond au capital d'expertise que détiennent les êtres humains dans les différents domaines (marketing, R&D, achats, commercial, juridique...) qui constituent le cœur de métier de l'entreprise.
La démarche de gestion des connaissances repose sur quatre processus complémentaires : repérer, capitaliser, transférer et actualiser les connaissances : Repérer : il s'agit de repérer les experts et identifier les connaissances clés tacites et explicites nécessaires à l'entreprise.
La connaissance désigne un rapport de la pensée à la réalité extérieure et engage la notion de vérité comme adéquation de l'esprit et de la chose. Par extension, le terme connaissance désigne le contenu de la pensée qui correspond à la nature de la chose visée, et s'oppose à erreur ou illusion.
Elle est utile pour comprendre qui on est, comment les autres nous voient, et la façon dont nous nous intégrons au monde. La connaissance de soi nous donne le pouvoir. Peut-être qu'on n'aimera pas forcément ce que l'on voit, mais c'est un grand réconfort et une grande aide de se connaître soi-même.
La gestion des connaissances peut améliorer la coordination et améliorer un apprentissage significatif, collaboration, et application.
I -1 LA PRISE DE CONNAISSANCE GENERALE DE L'ENTREPRISE
Elle permet à l'auditeur d'assimiler les principales caractéristiques de l'entreprise, son organisation, ses responsables, ses spécificités de fonctionnement et de détecter les zones de risques éventuelles.
le savoir (connaissances) le savoir faire (compétences et habiletés) le savoir être (attitudes, postures, comportements)
Dans le premier cas, l'empirisme dit que le fondement de toute connaissance, et donc la source de la vérité se trouve dans l'observation, tandis que l'autre école disait que la fondement de la connaissance c'est « la vision des idées claire et distinctes » (théorie de Descartes par exemple).
Le fait d'écrire à la main vous aide à mémoriser les idées importantes dont vous voulez vous souvenir. Simplement lire ces informations n'aurait pas le même effet sur votre mémoire. Par rapport au numérique, ajouter une fiche dans une base de connaissances manuscrite vous demande plus de temps.
Une excellente façon d'augmenter vos connaissances, consiste à lire sur un sujet qui vous tient à coeur et qui vous passionne, car si cela vous passionne, vous resterez motivé par la lecture.
L'utilisation de ces connaissances de la bonne façon peut vous aider à faire fonctionner votre entreprise de manière plus efficace, à diminuer les risques commerciaux et à exploiter pleinement les opportunités. Ceci est connu comme étant l'avantage des connaissances.
Pour capitaliser les connaissances, il faut tout d'abord les recueillir, les traiter et les gérer pour ensuite créer des supports. Ces solutions supports permettront la mise en place de processus d'exploitation de cette base de connaissance pour profiter de tout son potentiel et la capitaliser.
La connaissance peut se définir comme l'activité théorique de l'homme, comme l'opposé de l'action dans le monde. Le problème philosophique de la connaissance est triple : – le problème de l'origine des connaissances est celui de savoir si elles procèdent de l'expérience (empirisme) ou de la raison (rationalisme).
Étymologie. ( XI e siècle) En ancien français conoisance, conoissance , connoissance ; en moyen français cognoissance par rapprochement étymologique avec le latin cognoscere. Substantivation de connaissant , participe de connaître .
Les enjeux du knowledge management
L'augmentation de la concurrence et la gestion des imprévus poussent les organisations à développer leur réactivité. Pour cela, elles doivent nécessairement compléter les systèmes automatisés par l'intervention de l'homme et de ses connaissances.
L'association de la compétitivité aux pratiques de gestion des connaissances se rapporte à l'aptitude des entreprises à construire un avantage compétitif durable, moyennant des compétences distinctives, des processus d'innovation assez développés et une bonne adaptation à l'environnement.
1. Action ou manière de gérer, d'administrer, de diriger, d'organiser quelque chose ; période pendant laquelle quelqu'un gère une affaire : La gestion d'un stock. 2. Administration d'une entreprise soit dans sa globalité, soit dans une de ses fonctions.