Les données structurées peuvent être générées par l'homme ou par une machine. Les statistiques de blog et les données relatives aux ventes, comme les codes-barres et les quantités, sont des exemples-types de données structurées générées par des machines.
Une donnée structurée est organisée sous forme d'un tableau appelé table de données. La première ligne décrit la forme des lignes suivantes : ce sont les noms de champ ou descripteurs. Les lignes suivantes sont appelées des objets : elles sont la liste des valeurs de chacun des descripteurs.
Les données non structurées peuvent être définies comme des données qui ne sont pas gérées activement dans un système transactionnel, par exemple des données qui ne résident pas dans un système de gestion de bases de données relationnelles (RDBMS).
Il existe trois formats pour représenter un tableau de données : les formats CSV, XML et JSON. Ces trois formats sont des fichiers composés d'une suite de caractères où l'on distingue deux types d'information : • Les données. Les caractères permettant de structurer ces données.
Que sont les données structurées ? Ce sont des informations organisées et classées afin de faciliter leur lecture et leur traitement. Table de données : une collection de données partageant les mêmes descripteurs peut être structurée dans une table. Les objets en lignes, les descripteurs en colonne.
« L'un des moyens les plus simples d'ajouter le balisage structuré de Schema à une page consiste à utiliser JSON-LD. Avec cet outil, vous pouvez rapidement générer le bon JSON-LD pour n'importe quelle page de votre site. » Cet outil vous permet de choisir le type de données structurées que vous souhaitez créer.
Ces données structurées sont un format normalisé permettant de fournir des informations sur une page et de classer le contenu de cette page. Par exemple, sur une page de recette, il peut s'agir des ingrédients, du temps et de la température de cuisson, des calories, etc.
Les catégories de données personnelles sont les types d'informations recueillies. Exemples : identité, situation familiale, économique ou financière, données bancaires, données de connexion, donnés de localisation, etc. Terme simplifié à privilégier : type d'information.
Le type catégoriques s'embranche en 2 type de données catégoriques qui sont "nominales" et "ordinales". Le types quantitatives s'embranche en 2 types de données quantitatives qui sont "discètres" et "continues".) Les données peuvent être divisées en 2 grandes catégories. Catégoriques et quantitatives.
Une structure de données est un format spécial destiné à organiser, traiter, extraire et stocker des données. S'il existe plusieurs types de structures plus ou moins complexes, tous visent à organiser les données pour répondre à un besoin précis, afin de pouvoir y accéder et les traiter de façon appropriée.
La plupart des bons algorithmes fonctionnent grâce à une méthode astucieuse pour organiser les données. Nous allons étudier quatre grandes classes de structures de données : Les structures de données séquentielles (tableaux) ; Les structures de données linéaires (liste chaînées) ; Les arbres ; Les graphes.
Les bases de données sont largement divisées en deux grands types ou catégories, à savoir, Bases de données relationnelles ou séquentielles et Bases de données non relationnelles ou non séquentielles ou bases de données sans SQL.
Une base de données, BDD ou encore database en anglais, regroupe un ensemble d'informations qui est organisé pour être accessible, géré et mis à jour facilement par ses utilisateurs. Les données sont organisées en lignes, colonnes et tableaux et indexées pour faciliter les recherches.
Le traitement des données structurées
Dans le premier cas, il faut créer un fichier CSV (Comma-Separated Values), avec une colonne par description et une ligne par objet. Ensuite, il faut ouvrir une feuille de calcul dans le logiciel OpenOffice et y importer le fichier CSV.
Une collection de données est un moyen de regrouper de manière structurée des objets partageant les mêmes descripteurs. Elle est généralement représentée sous la forme d'une table : les descripteurs en colonne, les objets en ligne et les valeurs dans les cellules situées à l'intersection.
C'est à cette fin que l'Anglais Edgar Codd met au point en 1970 le modèle relationnel : une représentation logique et rationnelle des données permettant de les rendre exploitable.