Littéraire. Étourdir quelqu'un à l'extrême par un grand bruit ; abrutir : Le bruit des travaux m'abasourdit. 2. Provoquer chez quelqu'un un sentiment voisin de la stupeur ; consterner, stupéfier : La nouvelle de sa mort nous a abasourdis.
Fait de rester sous le choc ou la sidération d'un événement ou d'un comportement totalement invraisemblable. Exemple : Rester abasourdi. Synonyme : stupéfait, choqué, médusé.
Abasourdi se prononce normalement, s se prononçant z (comme la plupart des s entre deux voyelles). Certains font entendre un s plutôt qu'un z par analogie avec l'adjectif sourd mais cette prononciation n'est pas correcte. En effet abasourdi n'est pas dérivé de sourd ; il est tiré de l'argot bazir, « tuer ».
Frapper quelqu'un d'un étonnement extrême : La nouvelle de son départ nous a sidérés.
L'Académie répond :
Dans dégingandé, gin se prononce comme j'in dans j'invite. Ce n'est pas exactement la même prononciation que jeun ; on a les mêmes différences qu'entre brun et brin. Si l'on entend souvent, trop souvent, dé-gain-gandé, c'est à cause d'un phénomène phonétique appelé assimilation régressive.
Stupéfait. Cet adjectif invariable caractérise une personne dont le souffle est coupé par l'émotion. Rester pantois signifie le fait de rester sans réactions par un effet de surprise, par l'étonnement.
abêtir v.t. Rendre bête, stupide ; abrutir.
Étonner vivement quelqu'un, le laisser pantois. Manifester un vif étonnement ; être ébahi.
Dit-on [ gaʒœʁ ] (« ga-jeur ») ou [ gaʒyʁ ] (« ga-jure ») ? Eh bien les deux sont possibles : [ gaʒœʁ ] est la prononciation la plus courante, tandis que [ gaʒyʁ ] est celle qui est jugée correcte.
affligé n. Personne qui est profondément attristée par un malheur. affliger v.t. Frapper quelqu'un d'un mal, d'un défaut, l'en affecter d'une manière...
Être très étonné ; être sidéré, stupéfait.
Exercer sur quelqu'un un grand pouvoir de séduction. Synon. charmer, éblouir, émerveiller, fasciner, ravir. Subjuguer son auditoire.
atteinte, avarie, dégât, dégradation, détérioration, endommagement, ravage, sinistre.
Trois fois par jour, la cloche rappelle aux chrétiens le souvenir du mystère de l'Incarnation et le devoir de louange divine : c'est l'angélus, qui sonne à six heures du matin, à midi et à sept heures du soir en trois triades de tintons auxquelles s'enchaîne une volée d'environ trois minutes.
cloche-pied (à) loc. adv. En levant un pied et en sautant sur l'autre.
Il s'agit simplement de la tradition de l'Angelus "sonné". Traditionnellement, l'Angélus ou "prière de l'Ange" doit être sonné 3 fois par jour: à 07h05, 12h05 et 19h05. Le tintement des cloches de l'église a été rétabli cet été au mois d'août par messieurs Christophe Claisse et Christophe Richard.
En effet, la prononciation [ pɛʁsi ], sans le l final, qui est donnée par la plupart des dictionnaires, n'est pas en usage partout.
Cette prononciation, qui est généralement recommandée par les dictionnaires, est également très répandue en France. De la même façon, bruxellois et bruxelloise se prononcent normalement « bru-ssé-loi » et « bru-ssé-loiz ». Et chou de Bruxelles , « chou-de-bru-ssel ».