(Sans majuscule) Être supérieur à l'humain et doté de pouvoirs surnaturels. (Avec majuscule) Être transcendant et créateur de l'univers pensé par les religions monothéistes.
Pour tel philosophe, Dieu sera « l'Etre absolu », principe premier de tous les êtres relatifs. Pour tel autre, Dieu se définira « la Substance unique et infinie ». Pour tel autre encore, « l'Acte pur et immuable », ou « le Bien suprême » d'où dérivent tous les biens participés, etc.
Définition "dieu"
Être surnaturel, conçu comme parfait, omnipotent et omniscient, et qui est à l'origine de l'univers et en est son gardien ; cet être est l'objet des religions monothéistes.
Le Dieu dont il est question ici est ce que l'on nomme parfois le Dieu des philosophes, à savoir le Dieu des grandes religions du Livre (judaïsme, christianisme, islam), tel qu'il a été conceptualisé par les philosophes. Ses attributs sont d'être le créateur du monde, omniscient, omnipotent, omniprésent et bon.
L'idée de Dieu n'est pas la religion. Cette notion désigne la relation intime que le croyant a avec Dieu, l'idée qu'il s'en fait. Cette relation n'a pas à être l'objet d'un cours de philosophie.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Il est celui qui se donne à lui-même et se reçoit aussi de lui-même. Dieu ne doit rien à l'homme. En retour, il doit à lui-même de se donner et de se recevoir. C'est en ce sens, positif, que notre première voie vers Dieu l'affirme en tant que Don absolu.
Principe fondateur dans les religions monothéistes, Dieu est l'être suprême, unique, transcendant, universel, créateur de toutes choses, doté d'une perfection absolue, constituant le principe de salut pour l'humanité et qui se révèle dans le déroulement de l'histoire.
Sur le fond, l'expression désigne le lieu créé par Dieu pour Adam et sa femme (que l'homme désigna par Ève, puisque c'est elle qui donnera la vie à ses descendants, Ève signifierait donc la Vie), et où ces derniers devaient vivre ainsi que leurs descendants.
La création du monde est relatée dans deux récits successifs dans les deux premiers chapitres du Livre de la Genèse. Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Être suprême. Synonyme : l'Architecte du monde, le Créateur, l'Éternel, Le Grand Architecte (de l'univers), le Père céleste, le Tout-Puissant, le Très-Haut.
Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH. C'est par suite d'une vocalisation factice que naquit " le vocable hybride Jéhovah ".
L'intelligence, d'après lui, enveloppait de la puissance ; elle ne peut être qu'une forme pure. Il en faisait une cause efficiente ; elle ne peut être qu'une cause finale. Tel est le Dieu d'Aristote ') ; et ce Dieu est grand.
Nietzsche ne dit pas : « il n'y a pas de Dieu ». Il ne dit pas davantage : « je ne crois pas en Dieu ». Il dit : « Dieu est mort » ; il n'a plus de signification, il a disparu de la conscience des hommes. Et pour Nietzsche il en est bien ainsi, car ce n'est que de la sorte que l'homme peut vraiment devenir libre.
N'écrivez pas que vous êtes « dans le secret des Dieux », mais que vous êtes « dans le secret des dieux ». « Dieu » ne prend une majuscule que s'il s'agit de celui, unique, que vénèrent les religions monothéistes. Les divinités païennes doivent, elles, se contenter de la minuscule.
Le premier affirme qu'au paradis terrestre « la chaleur est tempérée à cause de la pureté de l'air et qu'il y règne une grande égalité des saisons par la proximité de l'équateur9 ». Pour lui en effet le « paradis » est situé en Orient et il jouxte la ligne équinoxiale, penchant légèrement vers le midi.
Le jardin d'Éden, réputé proche des sources du Tigre et de l'Euphrate, devrait se situer selon des narrateurs originels établis dans la terre de Canaan (selon la tradition juive, Adam et Ève sont enterrés dans la caverne de Makhpela, à Hébron) dans les monts Taurus, en Anatolie.
Les Limbes dans le Coran
Ils se trouveront sur Al-Araf, décrit comme une immense plateforme ou un mont. Ils regarderont les croyants qui sont aux paradis et les salueront, puis leurs visages seront tournés de force vers l'Enfer.
à Bethléem en Judée » c'est-à-dire le 25 décembre.
Il prie dans le désert, il prie sur la montagne, il prie seul ou avec ses amis. Pour lui, prier est une démarche naturelle et essentielle. Il prie Dieu pour le bénir, pour le supplier, ou pour lui donner sa vie…
D'après l'écrivain Gerald Messadié, un démiurge est au-dessus de Dieu et du Démon, soit au-dessus du Bien et du Mal.
Le rapprochement entre révélation et expérience signifie que notre connaissance de Dieu est non seulement un « cheminement spirituel » [65] 348. mais aussi que nous y accédons non par un raisonnement purement rationnel et abstrait, mais à partir d'une expérience humaine historique et concrète.
Le mathématicien australien Gordon Royle, qui s'est pris de passion pour le sujet, les recense, les traque de par le monde et sa collection contient près de 50 000 spécimens. Mais aucune grille avec seulement 16 indices. Il a donc été conjecturé que le "nombre de Dieu" était 17.
Cette apologétique traditionnelle fait ainsi la distinction entre la question de l'essence (de la définition) de la religion et celle de sa vérité. Puisque la religion est essentiellement relation à Dieu, elle est vraie si Dieu existe, elle est fausse, ou du moins illusoire, s'il n'existe pas.