D'habitude, H0 implique une notion d'égalité (exemples : égalité entre moyennes, entre variances ou encore entre un coefficient de corrélation et zéro). H0 est opposée à une hypothèse appelée hypothèse alternative, notée H1 ou Ha. Souvent, l'hypothèse alternative est celle à laquelle l'utilisateur souhaite aboutir.
Si H0 est vraie, alors la kinésithérapie est inefficace, le taux de guérison sera identique dans les 2 groupes. Si H1 est vraie, alors la kinésithérapie est efficace ou délétère, le taux de guérison sera différent entre les 2 groupes.
L'hypothèse selon laquelle on fixe à priori un paramètre de la population à une valeur particulière s'appelle l'hypothèse nulle et est notée H0. N'importe quelle autre hypothèse qui diffère de l'hypothèse H0 s'appelle l'hypothèse alternative (ou contre-hypothèse) et est notée H1.
H0 : µ = µ0 H1 : µ = µ0. 2. Calcul de la statistique pertinente avec les valeurs de l'échantillon : Z0 = X − µ0 σ/ √ n .
Pour prendre une décision, choisissez le niveau de significativité α (alpha), avant le test : Si p est inférieur ou égal à α, rejetez H0. Si p est supérieur à α, ne rejetez pas H0 (en principe, vous n'acceptez jamais l'hypothèse H0, mais vous vous contentez de ne pas la rejeter)
Une erreur de type I survient dans un test d'hypothèse statistique lorsqu'une hypothèse nulle, qui est en réalité vraie, est rejetée par erreur. Les erreurs de type I sont également connues sous le nom de « faux positifs », elles représentent la détection d'un effet positif alors qu'il n'existe aucun effet en réalité.
Niveau de signification
Si la valeur p calculée est inférieure à cette valeur, l'hypothèse nulle est rejetée, sinon elle est maintenue. En règle générale, on choisit un niveau de signification de 5 %. alpha < 0,01 : résultat très significatif. alpha < 0,05 : résultat significatif.
En statistiques, un test, ou test d'hypothèse, est une procédure de décision entre deux hypothèses. Il s'agit d'une démarche consistant à rejeter ou à ne pas rejeter une hypothèse statistique, appelée hypothèse nulle, en fonction d'un échantillon de données.
L'hypothèse nulle notée H0 est l'hypothèse que l'on désire contrôler : elle consiste à dire qu'il n'existe pas de différence entre les paramètres comparés ou que la différence observée n'est pas significative et est due aux fluctuations d'échantillonnage.
Test d'homogénéité : comparaison de plusieurs échantillons entre eux.
Les tests non paramétriques sont donc utilisés lorsque le niveau d'échelle n'est pas métrique, que la distribution réelle des variables aléatoires n'est pas connue ou que l'échantillon est simplement trop petit pour supposer une distribution normale.
Le test T est une statistique inférentielle utilisée pour évaluer les différences entre les moyennes de deux groupes. Le test T est généralement utilisé lorsque les ensembles de données suivent une distribution normale et peuvent avoir des variances inconnues.
Comment interpréter les sorties d'un test statistique : le niveau de significativité alpha et la p-value. Lors de la mise en place d'une étude, il faut spécifier un seuil de risque au-dessus duquel H0 ne doit pas être rejetée. Ce seuil est appelé niveau de significativité alpha et doit être compris entre 0 et 1.
C'est une idée que l'on va chercher à prouver par la suite. → L'hypothèse doit répondre au problème et être affirmative. Exemple : HYPOTHESE : Les feuilles mortes tombés en automne ont disparu l'été suivant PEUT-ETRE car les êtres vivants de la forêt les ont mangées.
Il existe différents types d'hypothèses. Nous distinguons quatre types : l'hypothèse descriptive, l'hypothèse explicative en termes de facteurs, l'hypothèse explicative en termes de typologie, l'hypothèse explicative en termes de processus.
Le test de Shapiro-Wilk est le plus utilisé pour évaluer la distribution Normale d'un échantillon. Il est adapté aussi bien aux petits qu'aux grands échantillons. Ce test réalisable sur un logiciel de statistique donne directement la p-value.
une hypothèse doit être plausible, c'est-à-dire avoir un rapport assez étroit avec le phénomène qu'elle prétend expliquer ; une hypothèse ne doit pas servir à démontrer une vérité évidente ; elle doit plutôt laisser place à un certain degré d'incertitude ; une hypothèse doit être vérifiable.
Pour cela, il suffit de regarder le "t-stat" (t) ou bien la P-value (P>?t?), et comparer ces valeurs à des "valeurs seuils". Pour faire simple, une variable est significative avec un intervalle de confiance de 95% si son t-stat est supérieur à 1,96 en valeur absolue, ou bien si sa P-value est inférieure à 0,05.
L'hypothèse nulle indique généralement qu'il n'y a pas d'effet, par exemple : le sexe n'a pas d'effet sur le salaire. Dans un test d'hypothèse, seule l'hypothèse nulle peut être testée ; l'objectif est de déterminer si l'hypothèse nulle est rejetée ou non.
De façon générale, un test d'hypothèse statistique vise à déterminer si une variation observée dans un échantillon de données est compatible avec un modèle “par défaut” (l'hypothèse nulle), ou si les observations sont si improbables selon cette hypothèse nulle qu'elle doit être rejetée au profit d'une hypothèse ...
Quelle est la différence entre un test paramétrique et un test non-paramétrique ? Les tests paramétriques se basent sur des distributions statistiques supposées dans les données. Par conséquent, certaines conditions de validité doivent être vérifiées pour que le résultat d'un test paramétrique soit fiable.
Cette valeur est égale à 2 fois la probabilité de la valeur que la statistique de test suppose comme supérieure ou égale à la valeur absolue de la valeur effectivement observée d'après votre échantillon (sous H 0). 2* P(ST > |1,785|) = 2 * 0,0371 = 0,0742. La valeur de p est donc ici de 0,0742.
L'idée générale est de déterminer si l'hypothèse nulle est ou n'est pas vérifiée car dans le cas où elle le serait, le résultat observé serait fortement improbable.
Choisissez un seuil de signification plus élevé, tel que 0,10, si vous souhaitez augmenter le risque de déclarer qu'un effet est significatif sur le plan statistique alors qu'aucun effet n'existe et donc avoir une plus grande puissance de détection d'un effet important.
Une autre façon de réduire la probabilité d'une erreur de type I est d'augmenter la taille de l'échantillon. Une taille d'échantillon plus grande augmente la puissance du test, ce qui facilite le rejet d'une hypothèse nulle lorsqu'elle est fausse.