La fatigue professionnelle peut être décrite comme une baisse de performances empêchant le collaborateur d'effectuer correctement son travail. Cette fatigue peut être due à un épuisement physique et mental.
Le syndrome d'épuisement professionnel, ou burnout, est un ensemble de réactions consécutives à des situations de stress professionnel chronique dans lesquelles la dimension de l'engagement est prédominante.
Quels sont les signes d'un burn out ? Le burn out se traduit d'abord par des signes physiques : fatigue permanente, mal de dos, insomnies, migraine, maux de ventre, infections fréquentes, etc.
Quelles sont les différences entre burn-out et une dépression ? Le burn-out survient dans la sphère professionnelle alors que la dépression concerne tous les aspects de la vie de la personne. Le burn-out est un processus de dégradation lié au rapport au travail.
Il existe deux types de fatigue, la fatigue nerveuse et la fatigue physiologique. La fatigue nerveuse constitue les formes d'épuisement liées à une période d'anxiété ou de stress. La fatigue physiologique est associée à un manque de ressources.
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Retourner au travail fait partie du traitement.
Pour cela, la spécialiste décrit plusieurs critères : le patient ne doit plus avoir de troubles du sommeil, il doit avoir récupéré un minimum de 50% de son énergie habituelle et enfin il doit avoir déjà intégré dans son quotidien de nouvelles attitudes.
Les signes physiques du surmenage
Lorsque vous êtes surmené, vous pouvez ressentir des symptômes du surmenage comme des douleurs diffuses, des tensions musculaires, mal de dos (lombalgie), etc. D'autres symptômes du surmenage comme des vertiges ou des maux de tête peuvent apparaître.
Ils apparaissent progressivement avant de devenir présents de manière permanente. Ainsi, les signes pour reconnaître le burn out sont les suivants : Une lassitude liée à une perte de sens dans votre travail. Une fatigue excessive et chronique (liée à des troubles du sommeil et une perte d'entrain.
La première étape pour le médecin comme pour le patient est de reconnaître le burnout au double sens du terme de « reconnaissance », à savoir de l'identifier et de le nommer comme tel, mais aussi de fournir un premier lieu, un premier moment où le patient puisse se sentir « reconnu » dans sa plainte et ses difficultés.
Une baisse d'énergie, soudaine ou progressive, peut avoir des causes très variées. Elles peuvent être internes, externes, relatives à l'hygiène de vie ou à votre mode de vie. Notre alimentation influe beaucoup sur notre état de fatigue, et sur notre vitalité !
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
Pourquoi on a envie de rien ? Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Le repos émotionnel
Pour le chercheur, la solution est de changer d'air, et de se placer dans un espace calme et relaxant : "le cerveau, qui a une très grande capacité d'adaptation, va entrer en résonnance avec l'environnement serein autour de nous et naturellement baisser son niveau d'anxiété."
On parle également de surcharge cognitive ou d'épuisement par saturation. La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui.
Il existe également des médicaments de phytothérapie contenant des extraits de plantes riches en caféine, telles que le caféier, le kola, le guarana, le maté ou le thé vert, ainsi que des extraits de ginseng. Le ginseng est traditionnellement utilisé en médecine chinoise pour lutter contre le stress et la fatigue.