Existe au format livre et ebook. La géographie économique étudie la géographie des activités économiques et leur insertion dans des circuits qui participent à la production et à la consommation des richesses.
La géographie économique se tourne ainsi vers l'écologie, la psychologie, la sociologie, l'anthropologie, l'économie, l'histoire. En agrégeant et mobilisant les forces de travail, le sous-système économique rencontre les sous- systèmes sociologiques, politiques, institutionnels.
La géographie économique tente d'expliquer l'inégale répartition des richesses et leur circulation en s'appuyant sur des facteurs économiques, environnementaux, historiques, sociaux, politiques, en prenant en compte différentes échelles spatiales (monde, continent, pays, région, ville, quartier).
La géographie économique a longtemps été caractérisée par une succession d'approches dominantes : l'analyse spatiale dans les années 1950-1970, le courant radical dans la période 1970-1980, l'approche régulationniste dans les années 1980-1990, puis le tournant culturel à partir des années 1990.
La géographie générale comporte ainsi trois rubriques : géographie physique, géographie humaine, géographie économique.
La géographie économique étudie la géographie des activités économiques et leur insertion dans des circuits qui participent à la production et à la consommation des richesses.
géographie physique qui comprend des disciplines scientifiques intégrant les sciences naturelles ; géographie humaine qui comprend des disciplines scientifiques intégrant les sciences humaines et sociales.
La géographie économique est la branche de la géographie humaine qui étudie la répartition spatiale et la localisation des activités économiques. La modélisation économique liée à la géographie économique est l'économie géographique, ou économie des territoires.
La géographie se distingue par son objet qui est l'étude de l'espace terrestre et de son organisation (cf. introduction), s'intéresse à cet espace et à son organisation dans ses composantes culturelles et naturelles. À ce concept central dans la discipline se rattache immédiatement la notion d'échelle.
Les concepts et les processus de la géographie sont présentés et illustrés à travers 16 photos de l'auteur : milieu naturel, humanisation, artificialisation, spatialisation (espace), paysage, milieu géographique. La conclusion insiste sur la nécessité de poursuivre l'inventaire géographique de l'interface terrestre.
Éclairer spatialement les grands enjeux de notre temps
Il s'agit dans ce cas d'apprendre à se servir de la géographie pour comprendre des objets qui ne sont pas spécifiquement géographiques, mais qui ont une dimension spatiale.
Une activité économique est un processus qui, à partir d'intrants, conduit à la fabrication d'un bien ou à la mise à disposition d'un service.
La géographie, c'est une discipline à la croisée de nombreux domaines comme l'environnement, la géologie, la géomorphologie, la climatologie, l'hydrologie, la biologie, la sociologie, la politique, l'histoire, l'économie ou encore la gestion territoriale.
La géographie est une science sociale qui étudie le rapport des sociétés humaines à leurs espaces. Son étymologie, d'origine grecque et latine (du grec via le latin geographia, « écriture de la Terre »), témoigne de son ancienneté et de ses buts initiaux.
Alexander von Humboldt (1769-1859) fait figure de père fondateur de la géographie moderne.
La géographie permet la compréhension des enjeux de nos sociétés, le monde, son fonctionnement. Il faut prendre en compte les différentes échelles et facteurs qui vont influer les uns sur les autres. La géographie est pluridisciplinaire et a une approche systémique.
Il s'agit d'analyser un phénomène, et non pas de réciter son cours. Il faut établir une démonstration dynamique et démonstrative, et non pas statique et informative. Il faut évoquer les causes, les conditions, les facteurs, les évolutions, les transformations.
Malgré la grande diversité de leurs objets et de leurs sensibilités, les géographes qui ont été formés en France à partir des années 1990 partagent globalement l'idée que la géographie est une science sociale, c'est-à-dire que l'espace comme l'environnement sont des constructions sociales.
Le plan est une représentation simplifiée d'un espace.
Voici les principales branches de la géographie : La Géographie physique. La Géographie biologique. La Géographie humaine.
La conclusion est claire : LA GÉOGRAPHIE N'EST PAS UNE SCIENCE ; même lorsqu'elle incorpore de la connaissance scientifique. ELLE EST UNE DISCIPLINE ! Elle n'est même pas une discipline scientifique puisque son objet dépasse la seule connaissance des liens entre nécessités naturelles.
Il rédige des rapports, croise des données informatiques et établit des cartes thématiques. Les décideurs utilisent ses recherches et les pistes qu'il propose pour mieux organiser le territoire et améliorer notre qualité de vie. La plupart des géographes se dirigent vers l'enseignement.
Le secteur primaire concerne les ressources naturelles, le secondaire l'industrie et la construction, le tertiaire les services marchands et non marchands. Un quatrième secteur, ajouté plus récemment, concerne les activités liées au numérique et à l'innovation.
Le secteur primaire regroupait l'agriculture, la pêche et les activités extractives, le secteur secondaire les activités de transformation et notamment l'ensemble de l'industrie, et le secteur tertiaire les services marchands et non-marchands.